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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 18:21

 

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EPSM (ex Bon sauveur) de Caen.

Le 4 septembre, cinquante personnes vêtues de combinaisons et de masques blancs se sont allongées par terre, pour symboliser les 50 emplois que le Directeur veut supprimer dans son plan de « modernisation » devant les Jeux Equestres Mondiaux. Cette action de «die-in» est renouvelée le 9 septembre à l’ARS ou était convoqué le CTE. Les 200 personnes retenues devant les grilles de l’ARS se sont frottées aux CRS. Les élus SUD et CGT ont refusé de siéger sous contrainte policière. Une nouvelle fois, le quorum n’a pas été atteint pour que la réunion du CTE se tienne ! Le plan d’Hôstérité ne passe toujours pas !

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Le personnel toujours mobilisés tient un piquet de grève à l’entrée de l’EPSM depuis mercredi avec filtrage des admissions!

Ce jeudi 11/09, les personnes présentes à l’assemblée générale ont décidé de demander une nouvelle fois à la direction de retirer son plan et ont envahi les locaux administratifs … mais le directeur est introuvable.

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Vendredi 12, nouvelle assemblée générale à 14h 30 pour décider de la suite du mouvement.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 17:54

L'Agence Régionale de Santé d'Ile de France a (enfin) annoncé le 9 septembre l'enterrement de son projet de relocalisation à l'hôpital de Montreuil, farouchement rejeté depuis le début (juin 2013) par les personnels et les médecins de la Maternité et du CIVG des Lilas (93)...

En fait, il n'y a pas grand chose de nouveau sous le soleil ; l'abandon de ce projet était un secret de polichinelle depuis juin 2014 !

Mais nous sommes encore loin de la victoire ou de la demi victoire... C'est plutôt un coup de pub de l'ARS, dont l'annonce tardive ne doit vraisemblablement rien au hasard (si ça peut désamorcer un peu la colère dans le secteur sanitaire avant la manifestation hospitalière du 23 septembre, c'est toujours ça de pris).

Depuis 4 ans les personnels et ses nombreux soutiens sont mobilisés pour le financement de la reconstruction de la Maternité des Lilas aux Lilas. Or, à ce jour nous n'avons pas d'autre engagement des tutelles que l'annonce faite par la Ministre Touraine en juin 2014, d'un déblocage de 10 millions d'€ (somme correspondant au coût, sous évalué, qu'aurait représenté un transfert sur Montreuil), alors qu'une reconstruction aux Lilas sur le site Gütermann (un terrain réservé depuis plus de 3 ans) est estimé à 24 millions d'€.

Dans sa réponse, le 2 juillet, à la Fédération SUD Santé-Sociaux qui l'interpellait pour réclamer la reconstruction aux Lilas et son financement jusqu'au dernier euro par les pouvoirs publics, Touraine affirmait "ne pas être opposée à ce projet. Néanmoins pour devenir réalité il doit obtenir un financement complémentaire auprès d'autres financeurs que l'Etat".

En mettant bout à bout les promesses des collectivités locales (région, département, mairie des Lilas) 5 millions seraient peut-être apportés. Il manque donc toujours 9 millions dans le meilleur des cas !... Que la Ministre n'entend pas lâcher !

Que dit le communiqué de l'ARS : "... Il faut retravailler un scénario qui permette un le financement des murs et ensuite un fonctionnement à l'équilibre, ce qui n'était pas le cas du projet de reconstruction proposé par les Lilas".

Le projet de l'ARS est donc bel et bien de refuser la reconstruction exigée par le personnel et ses nombreux soutiens sur le terrain Gütermann, pour lui substituer une réhabilitation des locaux actuels totalement vétustes et exigus ("un financement des murs"). Mais vu l'accroissement important du nombre d'accouchements, un gros "ripolinage" de la Maternité sur le site actuel (rue du Coq Français) serait totalement inconséquent, abracadantesque (comme dirait l'autre), et le personnels et les usagères paieraient très cher "le retour à l'équilibre financier" (conditions de travail toujours plus éprouvantes, voire un plan social, prises en charge dégradées, etc.). C'est à terme la mise à mort programmée des prises en charge innovantes, qui font la renommée de cette Maternité de proximité, qu'orchestre l'ARS !

L'ARS d'Ile de France et le Ministère totalement obnubilés par les recherches d'économies sur le dos du secteur sanitaire (because le "pacte de responsabilité") n'ont pas satisfait la revendication du personnel et du large collectif de soutien. Le combat continue donc !

Une réunion du collectif de la Maternité des Lilas devrait se tenir dans les prochains jours et des personnels de la Mater et du CIVG des Lilas seront bien présents le 23 septembre devant le Ministère de la Santé au côté de leurs collègues hospitaliers venus de tout le pays, pour manifester contre "l'Hôstérité" dans la santé, à l'appel de la "convergence des hôpitaux en lutte"!

 

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 10:02

La vie des patients pourrait être en jeu lorsque les infirmières sont surchargées de travail, selon une étude conduite dans 9 pays.

 

 

L'étude, parue dans la revue médicale The Lancet, met le doigt sur un point sensible alors que dans bien des pays, les budgets santé sont sous pression.

 

Les chercheurs ont relevé les taux de survie après des opérations chirurgicales dans 300 hôpitaux et les ont mis en relation avec la charge de travail et le niveau d'éducation et de formation des infirmières (données pour les années 2007-2010).

 

Les interventions chirurgicales concernaient plus de 420 000 patients de plus de 50 ans qui ont subi des opérations courantes comme celles de la hanche ou du genou, de la vésicule biliaire, des interventions vasculaires ou encore de l'appendicite.

 

Le nombre de patients morts à l'hôpital dans les trente jours suivant l'admission était très faible en moyenne : de 1 à 1,5%, selon les pays. Cependant au sein d'un même pays, ce taux de mortalité varie largement : inférieur à 1% dans certains hôpitaux, il pouvait dépasser 7% dans d'autres.

 

La charge de travail et le niveau de formation sont deux facteurs majeurs

 

Deux facteurs majeurs sont liés à cette mortalité plus élevée : une charge de travail plus importante et un niveau de formation plus faible des infirmières. La dotation en personnel infirmier et le niveau de formation varient grandement d'un pays à l'autre et même d'un hôpital à l'autre, notent les auteurs. En Espagne et en Norvège par exemple toutes les infirmières ont l'équivalent du niveau de licence contre 28% en Angleterre, d'après eux.

 

Dans les hôpitaux où chaque infirmière est chargée de six patients en moyenne et où 60%, ou plus, de l'équipe a le niveau licence, le risque de décès du patient dans les 30 jours est pratiquement inférieur d'un tiers à celui des établissements où chaque infirmière a à sa charge huit patients et où seulement 30% d'entre elles possèdent ce degré d'éducation, selon les auteurs.

 

L'étude conduite dans neuf pays européens

 

A chaque patient supplémentaire par infirmier correspond une hausse de 7% du risque de mort pour le patient. Et, chaque augmentation de 10% de la proportion d'infirmière qualifiée niveau license se traduit par une baisse de 7% de la mortalité, calculent-ils.

 

La réduction des effectifs infirmiers par souci d'économie pourrait affecter l'état de santé des patients, avertissent les auteurs pour lesquels mettre davantage l'accent sur l'éducation de cette profession pourrait réduire les décès évitables à l'hôpital.

 

L'étude a été fait en Belgique, Angleterre, Finlande, Irlande, Pays-Bas, Norvège, Espagne, Suède et Suisse. Au Canada et aux Etats-Unis, des études abondent dans le même sens.

 

"Ces résultats suggèrent qu'un niveau sûr de personnel infirmier pourrait contribuer à réduire la mortalité chirurgicale, et remettre en question l'idée largement répandue que l'expérience des infirmières et plus importante que leur formation/éducation", estime le Pr Linda Aiken (Etats-Unis, University of Pennsylvania's School of Nursing), responsable de ce travail, dans une déclaration accompagnant l'article.

Source:Ouest-France

 

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 09:57

La lettre du directeur décrivant une situation « préoccupante » ne suffit pas au syndicat. D’autant que, selon Sud Santé, l’activité de l’hôpital de Brest va mieux.
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Ce vendredi 5 septembre, le syndicat Sud santé a rencontré, à sa demande, le directeur et le directeur des ressources humaines de l'hôpital de Brest. Objectif : obtenir de réponses alors que « l'inquiétude grandit auprès du personnel », indiquent les représentants du syndicat, Françis Landouard et Pascale Robardet.

 

Le déficit du CHRU brestois est établi à ce jour à 8,7 millions d'euros. Un plan de rééquilibrage budgétaire a été lancé impliquant notamment des suppressions de postes. Le premier chiffre avancé de 183 postes serait aujourd'hui passé à 168, selon le syndicat.

 

« La direction nous l'a bien dit : il ne s'agit pas d'un plan social, mais des départs en retraite non remplacés, des contrats non renouvelés, c'est un plan social déguisé ! » martèle Françis Landouard, secrétaire adjoint départemental Sud santé. À ce jour, 150 postes seraient concernés dans le para-médical et 18 au niveau médical sur les 6 500 personnes qu'emploie le CHRU.

Sud santé organise une assemblée générale mercredi 10 "afin que le personnel puisse s'exprimer". L'occasion de dire également que l'activité de l'hôpital se porte mieux depuis le début de l'année. « Nous avons gagné un point sur les hospitalisations complètes et 3,8 points sur les consultations. »

Source:Ouest-France 

 

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 09:41

Les agents titulaires ou contractuels vont perdre cinq jours de réduction de temps de travail (RTT).

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La mobilisation syndicale du premier semestre n'y aura rien changé. Une note de service diffusée au milieu de l'été par la direction de l'hôpital Alençon - Mamers stipule que « l'ensemble des agents titulaires ou contractuels » vont travailler dix minutes de moins par jour à compter du 1er octobre. Et perdront « cinq jours de RTT et/ou de récupération en année pleine à partir de 2015. Sur 2014, son effet sera limité à un jour RTT pour les agents en 7 h 30 ».

 

La mesure ne s'applique pas « au personnel de nuit », ni « au personnel en 12 h sur des roulements annuels 24 h/24 h ». D'autres « dispositions seront prises, par note de service, concernant les cadres et le personnel des établissements d'accueil pour personnes âgées (EHPAD et USLD) de Mamers et d'Alençon ».

 

Le directeur de l'établissement de santé Yves Geffroy justifie ces décisions. « Le budget anticipé de l'année présente un déficit de plus de 3,3 millions. Les recettes n'augmentent pas. Il nous faut donc diminuer les dépenses comme nous le demande l'Agence régionale de santé ».
Source: Ouest France

 

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 21:10

Communiqué

de la COORDINATION NATIONALE des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de proximité

Hospitaliers, Usagers, citoyens,

manifestons toutes et tous ensemble contre l’"hôstérité",

le 23 septembre à 11H00 devant le ministère de la santé

 

Dans la Santé, il faut que ça change !

 

Fermeture de la réanimation à Briançon, Chaumont, Dôle, menaces sur les maternités de Saint Jean d’Angély, Orthez, Thann, Vitry le François, Les Lilas, Lourdes, fermeture de la chirurgie à Sarlat, disparition de centres d’IVG, suppression de dizaines de lits d’hospitalisation, réductions des personnels, manque de moyens, attentes interminables aux urgences, patients sur des brancards faute de place, maisons de retraite scandaleusement sous-dotées en personnel, santé mentale en déshérence, déserts médicaux, délai de plusieurs mois pour consulter un spécialiste, dépassements d’honoraires, inégalités d’accès aux soins, privatisation, démantèlement de la Sécurité Sociale… ça ne peut plus durer.

La loi de Santé en préparation ne fait qu’aggraver la situation malgré ses généreuses apparences. Et pour cause !

Il s’agit de réaliser les 50 Milliards de réduction du budget des Services Publics. En particulier du Service de Santé Publique, de l’ordre de 20 Milliards !

Aussi la Coordination Nationale des Comités de Défense des Maternités et Hôpitaux de proximité a t-elle décidé de se joindre à l’Appel de syndicalistes et personnels hospitaliers pour l’organisation d’une Journée Nationale Santé, de Défense des Hôpitaux Publics.


Il est temps d’élever le ton, de crier haut et fort que les malades ne sont pas responsables des déficits publics.

Qu’ils doivent tous être également bien soignés. Que les Hôpitaux doivent être des lieux de soins mais aussi d’accueil.

Qu’il est insupportable que la santé devienne une marchandise aux mains des Assurances et des trusts pharmaceutiques. Qu’une future mère doit avoir une bonne maternité à proximité de son lieu de vie…

 

De manifestations en communiqués le sentiment d’être méprisés, pire, d’être combattus, devient insupportable et attise la volonté d’agir, de lutter pour que ça change et que ce ne sont pas les déclarations prometteuses du sommet de l’Etat qui transforment favorablement la situation, mais bien l’action unie et déterminée de tous : soignés et soignants, citoyens malades et bien portants.

 

Nous serons toutes et tous mobilisés le 23 Septembre contre l’"hôstérité" ,

MANIFESTATION à 11 heures, pour stopper la dégradation de l’accès à des soins de qualité, et pour le droit à la santé.

 

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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes
9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 21:05

Le dernier tract de la section Sud Santé Sociaux de l'Hôpital Psychiatrique d'Albi, qui a bien conscience que par la désinvolture et l'inconsistance de la Direction, l'Hôpital va laisser s'échapper des pans entiers de son activité, glisser vers une mort lente. Sauf que derrière tout ça, il y a des patients, des salariés et des emplois.


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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 18:46

 

 

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 18:32

 

 

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  Pour la manif du 23 sept des bus partiront de Caen (EPSM) à 7h45.

 Prendre contact à l'EPSM avec SUD 02 31 30 50 50 poste 5363

ou la CGT poste 5361 

 

Retour vers 20h

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 00:48

Dans un rapport confidentiel de l'IGAS et de l'IGF que s'est procuré Le Point, les auteurs douchent quelque peu les espoirs du gouvernement sur le développement de la chirurgie ambulatoire.

Capture-d’écran-2014-03-04-à-21.18.56-250x173Marisol Touraine, la ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Manuel Valls, le chef du gouvernement, avaient déclaré en avril dernier que le développement de la chirurgie ambulatoire - le patient arrivant le matin dans l'établissement et sortant le soir même - permettrait d'économiser près d'un milliard d'euros.

Ils avaient fixé comme objectif dès 2016 qu'une opération sur deux soit pratiquée selon cette modalité. C'était l'un des axes forts du plan d'économies sur les dépenses de santé contribuant au pacte de responsabilité.

Dans un rapport confidentiel de 44 pages de l'Inspection générale des finances et de l'Inspection générale des affaires sociales (IGF/Igas), terminé en juillet dernier, que Le Point s'est procuré et a dévoilé dans son édition "Hôpitaux et cliniques, le palmarès" 2014 (n° 2188), les auteurs les mettent en garde et douchent quelque peu leurs espoirs.

Tout d'abord, en s'appuyant sur la progression réelle de cette pratique entre 2007 et 2013 dans les établissements français, ils relèvent "l'absence d'inflexion significative du tendanciel de croissance de la chirurgie ambulatoire sur la période considérée".

"Il sera donc nécessaire, avertissent-ils, de passer à un rythme nettement supérieur pour atteindre, et a fortiori, dépasser, l'objectif national d'une chirurgie ambulatoire majoritaire à l'horizon 2016."

Suppression de postes

Ensuite, quid des économies possibles ? La mission IGF/Igas se montre extrêmement précise quant au volume que pourrait occuper cette organisation nouvelle de la chirurgie et "a déterminé un potentiel national maximal de chirurgie ambulatoire, qui s'élève à 64 % des séjours de chirurgie", d'ici 2018.

Soit beaucoup moins que le taux de 80 % fixé par l'Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé (ANAP) qui a ensuite servi à un calcul théorique promulgué par la Cour des Comptes fixant à 5 milliards d'euros les économies attribuables au développement de cette chirurgie.

Lequel calcul avait déjà été remis en cause par la FHF ou le CISS.

Réaliste, la mission détaille les conditions et les phases pour qu'une telle réforme produise des économies. Elles "sont de deux ordres : des économies de personnel ; des économies de charges variables liées à la logistique et à l'hôtellerie.

Trois phases d'économies sont envisageables. Une première phase, réalisable à court terme, correspond à "la suppression de lits d'hospitalisation et aux économies de fonctionnement associées." "Une deuxième phase, réalisable à moyen terme, correspond aux gains de productivité liés au fonctionnement d'une unité de chirurgie ambulatoire."

En clair, il s'agit de suppressions de postes d'infirmiers, d'aides-soignants, de brancardiers, d'agents techniques et administratifs et d'équipes, de requalification, de mobilité du personnel, de prise en compte des départs à la retraite, etc. Autant de mesures potentiellement explosives, en tout cas délicates, sur le plan social.

"Une troisième phase, réalisable à moyen-long terme, suppose la disparition de l'activité chirurgicale des établissements où le développement de la chirurgie ambulatoire rend quasiment impossible le maintien d'une activité d'hospitalisation complète."

Autrement dit, cela signifie fermer les blocs opératoires et les services attenants à faible activité, ce qui a toujours suscité l'opposition farouche des élus locaux. Marchant sur des oeufs, la mission IGF/Igas se garde donc de chiffrer clairement un montant d'économies.

Rédaction ActuSoins, avec Le Point

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