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25 janvier 2018 4 25 /01 /janvier /2018 09:54

 

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Published by sud-chu-caen
25 janvier 2018 4 25 /01 /janvier /2018 09:44
 
Après l'annonce, vendredi, par la direction de l'externalisation de la production chaude de la cuisine centrale qui s'accompagne de la suppression de vingt postes, les syndicats se sont mis en ordre de bataille. Ils appellent à la mobilisation, à partir de vendredi.
 

C'est la crise de plus qui ne passe pas. « Il y a des départs de feu dans tous les services. Il y a un mois et demi, c'était la cardio. Cette fois-ci, c'est la cuisine centrale. Quelle sera la prochaine ? », lancent, d'une même voix, les représentants syndicaux de la CGT, la CFDT et Sud de l'hôpital. Après l'annonce de vendredi concernant la cuisine centrale (lire Le Télégramme du 20 janvier), ils se sont réunis en intersyndicale. Un préavis de grève a été déposé pour vendredi, avec débrayage de 14 h 45 à 15 h 45, devant le self. Un deuxième préavis de grève illimité et reconductible a été déposé à partir de lundi avec, tous les jours, des débrayages échelonnés de 11 h à 14 h. La perte de vingt postes à la cuisine centrale (800.000 repas par an) liée au choix de la direction d'externaliser la production chaude n'est rien d'autre qu'un « plan social », pour la CGT, la CFDT et Sud. « Ces vingt emplois perdus, ce sont vingt de plus après les cinquante, au moins, supprimés depuis 2015. Derrière toutes ces personnes, il y a des familles », rappelle Christophe Boudrot, de la CGT.

 

L'hôpital ne prend pas soin de ses agents

 

« Cette annonce est violente quand on sait que c'est pour le 1e r juin ! Et, pour le moment, à part une annonce verbale, on ne sait rien », regrette Francis Landouar, de Sud, qui, comme ses collègues, dénonce la mauvaise qualité du dialogue social. « La direction a bafoué le droit et manqué à ses obligations » en ne prévenant ni le comité technique ni le CHSCT ni le conseil de surveillance. Vendredi, la direction a indiqué avoir fait ce choix pour des raisons, notamment, d'économies. « Mais dans les hôpitaux qui ont fait le même choix, on a vu les tarifs du prestataire augmenter, parfois de 25 à 30 % », préviennent les syndicats. D'indiquer également que l'appel d'offres va devoir être relancé avec la mise en place, au 1e r janvier, du Groupement hospitalier de territoire. Pour Céline Ecke-Lucas, de la CFDT, « l'orientation de la direction va à l'encontre de l'intérêt du territoire. La solution aurait pu être de mutualiser les outils, comme à Lanmeur ». Cette nouvelle annonce de la direction est, enfin, pour la CGT, la CFDT et Sud, la preuve que « l'hôpital ne prend pas soin de ses propres agents » et de rappeler leurs inquiétudes sur « ce que subit le personnel en termes de risques psychosociaux ». Un mal-être qui se traduit dans les chiffres de l'absentéisme à l'hôpital, « qui a progressé de 2,7 % en 2017 », annonce Francis Landouar. Pour rappel, l'établissement compte 2.300 salariés.
 

 

 
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25 janvier 2018 4 25 /01 /janvier /2018 09:34

Pour deux syndicats du CHU de Toulouse, le centre hospitalier toulousain n'a plus de direction. L'ancien directeur a été nommé au ministère de la Santé. Un intérim est assuré. Mais, en raison d'une énorme erreur juridique, les décisions de l'actuelle directrice seraient irrégulières.  

Un des plus importants hôpitaux d'Occitanie privé de direction. Le scénario peut sembler incroyable. Et, pourtant, c'est le cri d'alarme lancé par deux syndicats du CHU de Toulouse. La CGT et Sud estiment que l'arrêté de nomination de la directrice par intérim n'a pas été publié. Aucune trace au Journal Officiel, sur le site de l'Agence Régionale de Santé ou dans le recueil des actes administratifs de la Préfecture. L'absence de cette formalité a une conséquence très pratique. Juridiquement, les décisions prises depuis le départ de l'ancien directeur, le 2 janvier dernier, sont nulles.

L'ancien patron du CHU de Toulouse, Raymond Lemoign, est le nouveau directeur de cabinet de la ministre de la Santé. Après sa nomination à Paris, le relais a été passé à une directrice adjointe, Anne Ferrer. Une décision de la direction générale de l'Agence Régionale de Santé (DGRAS) en date du 28 décembre 2017 organise un intérim. Sur cette base, depuis trois semaines, des décisions sont prises. Des délégations de signatures ont notamment été attribuées. Elles permettent aux chefs de service et directeurs de pôle de faire tourner le CHU.

Ainsi, une délégation permanente est accordée au directeur du site Purpan ainsi qu'au directeur de garde. Un directeur"habilité à signer, pendant la période de garde, tous les documents nécessaires à la continuité et au bon fonctionnement du service public hospitalier". 

Pour la CGT et Sud l'édifice mis en place après le départ de l'ancien directeur repose sur du vent. La directrice générale par intérim n'est pas régulièrement nommée et tous les documents qu'elle a pu signer sont dénués de valeur juridique. En plein mouvement de grève, une crise juridique vient donc s'ajouter à des turbulences sociales. D'ailleurs, les deux foyers d'incendie se rejoignent. 

En effet, la direction a souhaité procéder à la réquisition de grévistes. Mais les deux syndicats s'y sont opposés au motif que la mesure n'est pas juridiquement fondée. 

Ce matin, vers 8 heures, une rencontre s'est déroulée entre les syndicats et la direction des ressources humaines. Selon une syndicaliste présente autour de la table, aucune réponse n'a été formulée. La direction se serait contentée d'indiquer que les syndicats peuvent toujours saisir les tribunaux. La question de la nomination de la nouvelle directrice générale reste donc en suspens. 

Contactée par France 3 Occitanie, la direction du CHU de Toulouse n'a pas souhaité s'exprimer. L'hôpital toulousain ne confirme pas l'absence de publication de l'arrêté de nomination de sa nouvelle directrice générale. 

Pour l'Agence Régionale de Santé, il n'y a pas erreur et encore moins de faute. En effet, selon l'ARS, une nomination dans le cadre d'un intérim est exécutoire dès notification à l'intéressée, à l'établissement et au centre national de gestion de la fonction publique hospitalière. Les trois notifications ont été réalisées et il n'y a aucun problème s'agissant de la nomination de la nouvelle directrice du CHU de Toulouse. 
 

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25 janvier 2018 4 25 /01 /janvier /2018 09:15

Les vœux au CHU d'Angers ont été très chahutés ce mardi soir.

Christophe Béchu, maire d'Angers et président du conseil de surveillance de l'établissement de santé, a eu du mal à se faire entendre alors que des agents manifestaient leur mécontentement face au plan d'économies engagé sur trois ans.

Pour la première fois depuis la mise en place de la tarification à l'activité, le CHU a accusé un déficit estimé entre 10 et 13 millions d'euros en 2017, sur un budget de 500 millions.

Source: courrierdelouest.fr

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24 janvier 2018 3 24 /01 /janvier /2018 20:28
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23 janvier 2018 2 23 /01 /janvier /2018 08:22

 

Ce samedi 20 janvier, près de 1000 personnes se sont rassemblées à Ouistreham (Calvados). Un mouvement organisé par plusieurs associations d'aide aux migrants pour dénoncer le durcissement de la politique migratoire et les conditions de vie de ceux qui espèrent prendre un ferry pour l'Angleterre.

Deux jours après l'annonce du durcissement de la politique migratoire lors du sommet franco-britannique, près de 1000 personnes se sont rassemblées ce samedi sur le port de Ouistreham pour soutenir les migrants installés depuis plusieurs mois dans la ville. Le mois dernier un rassemblement similaire s'était déjà tenu.

Encadrés par des forces de l'ordre massivement mobilisées, ils dénonçaient notamment les conditions de vie des migrants sans abri et l'inaction de la préfecture et de la commune. Certains disent avoir "honte de les voir abandonner à leur sort dans les rues". Le mouvement de solidarité observé pour adoucir leurs conditions de vie a été salué. Des habitants de Ouistreham mais également de Flers (Orne) et de Saint-Pierre-sur-Dives (Calvados) ont hébergé et/ou proposé à ceux qu'ils appellent "les copains" un repas ou une douche.  Un nouveau rassemblement est déjà prévu le mois prochain, probablement à Caen.

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18 janvier 2018 4 18 /01 /janvier /2018 09:04

 

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18 janvier 2018 4 18 /01 /janvier /2018 08:48

«Nous, médecins hospitaliers et cadres de santé…»

 

A l’appel des professeurs André Grimaldi, Jean-Paul Vernant et de la docteure Anne Gervais, ils sont mille à alerter sur la crise de l’hôpital.

 

 

Une nouvelle cure de rigueur budgétaire de 1,6 milliard est imposée aux hôpitaux. Leur budget n’augmentera en 2018 que de 2 % alors que les charges programmées augmenteront de plus de 4 % (les hôpitaux publics utilisent 36 % des dépenses de santé). Pour maintenir l’équilibre budgétaire, les tarifs de la tarification à l’activité (T2A) vont être une nouvelle fois revus à la baisse. Pour essayer d’assurer l’équilibre de leurs comptes, les hôpitaux sont donc condamnés à augmenter sans cesse leur activité tout en réduisant le nombre de leurs personnels. Ce «toujours plus avec toujours moins» entraîne une dégradation des conditions de travail, provoquant épuisement et démotivation des soignants et en conséquence, une baisse de la qualité des soins. Comme l’a reconnu la ministre, «nous sommes arrivés au bout d’une histoire et d’un système. Par exemple avec la T2A : ce système a fait croire à l’hôpital public qu’il devait se sentir une âme d’entreprise».

 

Nous, médecins hospitaliers et cadres de santé signataires, au-delà de toute sensibilité syndicale ou politique, soutenons la volonté exprimée par la ministre d’améliorer la pertinence des soins en réduisant la disparité injustifiée des pratiques, en supprimant la prescription d’examens inutiles, en améliorant la coordination entre la ville et l’hôpital, en favorisant la prise en charge ambulatoire à chaque fois qu’elle ne compromet pas la qualité des soins, en aidant à la construction d’un véritable service de santé de proximité. Pour l’hôpital, cela n’est envisageable qu’à cinq conditions :

 

Limiter la place de la  T2A aux soins standardisés et  programmés.

 

Assurer une stabilité des tarifs correspondant aux coûts réels.

 

Introduire pour les soins non standardisés et non programmés d’autres modes de financement, notamment le financement global d’un épisode de soins et surtout une dotation annuelle modulée en fonction de l’activité. Cette dotation globale permettrait aux professionnels d’organiser des prises en charge ambulatoires et de développer le suivi par télémédecine. La dotation annuelle modulée à l’activité redonnerait de la liberté d’action aux équipes médicales et paramédicales en concertation avec les gestionnaires.

 

Maintenir dans chaque unité de soin un taux de soignants présents permettant de garantir la sécurité des patients et la qualité des soins. A chaque fois que ces conditions ne sont pas remplies, il faut pouvoir réduire l’activité sans que cela n’entraîne de suppression automatique de personnels.

 

Regrouper l’activité quand cela est pertinent par rapport aux besoins de santé des territoires concernés, en gardant la cohérence médicale des différents sites hospitaliers. François Hollande avait promis l’abandon du «tout-T2A», Emmanuel Macron a fait la même promesse. Il faut maintenant agir vite avant qu’il ne soit trop tard !

 

Liste des signataires voir le lien ci dessous

 

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17 janvier 2018 3 17 /01 /janvier /2018 16:52

Maintenant poursuivons la lutte pour l’avenir de la ZAD

Après des décennies de résistance, le projet d’aéroport dans le bocage de Notre Dame des Landes est enfin abandonné. C’est une victoire historique face à un projet inutile, climaticide, néfaste pour l’emploi et la préservation des terres agricole.
Ce résultat est le fruit d’une résistance collective large qui a su faire converger, paysan-­‐nes, habitant-­‐es anciens et nouveaux, élu-­‐es, associations, syndicats, partis politiques localement avec le soutien de nombreuses organisations sur le plan national.
Cette résistance victorieuse montre la voie et renforce la détermination de tant d’autres luttes contre les destructions écologiques et sociales, conséquences des diktats de l’économie libérale et financière.

L’Union syndicale Solidaires, investie dans cette lutte depuis des années, renouvelle son soutien à l’ensemble des composantes de lutte sur la ZAD de Notre Dame des Landes et son opposition à toute tentative d’évacuation de la ZAD.
L’Union syndicale Solidaires appelle à manifester sa solidarité si le gouvernement engageait une telle opération et soutiendra toutes initiatives qui permettront le maintien et la poursuite des lieux de vie de la ZAD qui prennent soin de leurs habitant-­‐es dans toute leurs diversités, du bocage environnant, de sa flore et de sa faune.
La priorité aujourd’hui, est d’ouvrir rapidement une phase de dialogue dans le sens de l’appel lancé par les différentes composantes du mouvement contre l’aéroport et pour l’avenir de la ZAD.

L’Union syndicale Solidaires soutient les bases communes pour l’avenir de la zad établies par l’ensemble des usager.e.s actuel.le.s de ce territoire :

  • la nécessité pour les paysan-­‐nes et habitant-­‐es ayant refusé la vente amiable à AGO-­‐Vinci et étant allés à l’expropriation de pouvoir recouvrer pleinement leurs droits au plus vite ;

  • le refus de toute expulsion de celles et ceux qui sont venus habiter ces dernières années dans le bocage pour le défendre et qui souhaitent continuer à y projeter leurs vies et leurs activités ;

  • une volonté de prise en charge à long terme des terres de la zad par une entité issue du mouvement dans toute sa diversité ;

  • le fait que les terres sauvegardées aillent à de nouvelles installations et pas à l’agrandissement d’exploitations existantes ;

  • la nécessité de continuer à préserver et faire vivre ensemble les patrimoines naturels et agricoles exceptionnels de cette zone.

L’Union syndicale Solidaires appelle à converger vers la ZAD le 10 février pour « Enraciner l’avenir sur la ZAD”. D’ores et déjà, l’Union syndicale Solidaires appel à rejoindre tous les rassemblements de soutien prévus dès aujourd’hui.

Voir également en pj le Communiqué commun du mouvement anti-aéroport, suite à la décision du gouvernement

 

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17 janvier 2018 3 17 /01 /janvier /2018 07:09

– STOP AU HARCÈLEMENT DES MIGRANTS ET DE LEURS

SOUTIENS, À OUISTREHAM COMME AILLEURS !

– PERSONNE À LA RUE ! IL LEUR FAUT UN ABRI !

– NON À LA CHASSE AUX MIGRANT-E-S ET AUX EXPULSIONS MASSIVES VOULUES PAR LE GOUVERNEMENT !

– LIBERTÉ DE CIRCULATION ET D’INSTALLATION !

 

Dénuement, froid, faim, harcèlement permanent, confiscation des affaires personnelles et des couvertures : le traitement inhumain réservé, depuis des mois, aux réfugiés à Ouistreham, mais aussi dans les autres ports du nord de la France et à la frontière franco-italienne, est intolérable.

Une première manifestation d’un millier de personnes à Ouistreham le 16 décembre a permis de rendre publique la situation dans ce petit port normand, de briser le mur du silence et de la peur, de construire un début de rapport de force en soutien aux exilé-e-s mais leur situation reste dramatique. Aucun lieu d’accueil et d’hébergement ne leur est proposé localement alors que l’hiver est là, que leur santé se dégrade et que le pire est à craindre en cas de gel.

Par ailleurs, le gouvernement a dernièrement édicté plusieurs circulaires répressives et encouragé plusieurs projets de lois inquiétants visant à instaurer une véritable chasse aux migrant-e-s afin de les identifier, de les trier et d’expulser un maximum d’entre eux et elles du territoire français.

D’autre part, les pratiques en préfecture autour des démarches permettant d’obtenir un titre de séjour se durcissent (exigences dissuasives, refus de dossier, non renouvellement de titre) ce qui a pour conséquences de ramener à la situation de « sans papier » ou de les y maintenir des personnes qui peuvent pourtant prétendre à une régularisation de leur situation.

Sont visé-e-s par le gouvernement tous-tes les sans-papiers, les débouté-e-s du droit d’asile, les dubliné-e-s (migrant-e-s dont les empreintes ont été prises dans un autre pays de l’Union Européenne avant leur arrivée en France et qui sont donc censé-e-s, d’après les accords de Dublin, demander l’asile dans le pays européen où ils et elles ont été fiché-e-s pour la première fois). Les assignations à résidence dans les Centres d’Accueil et d’Orientation, les centres du PRAHDA, les mises en détention dans les Centres de Rétention et les expulsions risquent de se multiplier rapidement.

C’est pourquoi nous pensons qu’il faut rester collectivement mobilisé-e-s et continuer à faire pression sur les autorités à travers de nouvelles manifestations. Partout en France, des initiatives de solidarité et de lutte se développent également.

À l’appel conjoint de nombreuses personnes, collectifs, associations, syndicats, partis, nous invitons la population de Normandie, dans toute sa diversité sociale et philosophique, à intensifier son soutien matériel et moral aux réfugié-e-s, à rendre publique sa volonté de voir cesser PARTOUT leur harcèlement par les autorités, à manifester pour qu’ils et elles soient abrité-e-s de l’hiver, à protester contre la politique de fichage, de tri et d’expulsions massives que le gouvernement cherche à mettre en place.

 

RASSEMBLEMENT ET MANIFESTATION

À OUISTREHAM, SUR LE PORT

SAMEDI 20 JANVIER À 14H30. 

 

NE SOYONS PAS COMPLICES !

DÉFENDRE LA LIBERTÉ ET LA DIGNITÉ DES MIGRANT-E-S, C’EST TOUJOURS, EN MÊME TEMPS, DÉFENDRE LES NÔTRES.

DANS LA RUE POUR QUE PERSONNE N’Y VIVE !

FAITES TOURNER L’INFORMATION AUTOUR DE VOUS.

Cet appel est en train de circuler. La liste des collectifs, associations, organisations syndicales et politiques qui le rejoignent sera rendue publique dans les jours qui viennent.

LISTE DES SIGNATAIRES, par ordre alphabétique (Mise à jour au 16 janvier):

Alternative Libertaire Pays d’Auge, Assemblée Générale Contre Toutes les Expulsions, Association de Solidarité avec Tous-tes les Immigré-e-s 14, CCFD-Terre Solidaire, CGT de l’Association Calvadosienne de Sauvegarde de l’Enfant à l’Adulte, CGT de l’Etablissement Public de Santé Mentale de Caen, CIMADE,  Collectif d’Aide aux Migrants de Ouistreham, Collectif Loupiacien de Soutien aux Migrant-e-s, Collectif Opendan, Collectif de solidarité avec les migrant-e-s de Cambremer, Collectif Solidarité Réfugié-e-s Caen, Ensemble ! 14-61, Fédération Syndicale Unitaire de l’éducation, Front Social Caen-Calvados, Koordination des Intermittent-e-s du Calvados, Le Temps d’Un Toit, Lutte Ouvrière, Médecins du Monde Normandie, Mouvement de la Paix 14, Nouveau Parti Anticapitaliste, Planning Familial 14, Racailles, Réseau d’Accueil Solidaire des Exilé-e-s, Réseau Ecole Nomade de Caen, Syndicat SUD Collectivités Territoriales Basse-Normandie, Union Locale CGT Hérouville, Union Syndicale Solidaires 14…

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