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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 11:33

 

 

 

 

 

Faire grève au CHU

 

 

Pour lire le tract ci dessous, en PDF, cliquez sur celui ci

 

 

Faire grève au CHU (PDF)

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 08:32

 

 

 

CHU-Cardio-630x0

 

Chu: grève en chirurgie cardiaque et vasculaire, le personnel au bord du "burn out

Les infirmières et aides soignantes des pôles de chirurgie cardiaque et vasculaire sont en grève, ce jeudi 12 juin.

 

Le syndicat SUD a déposé un préavis de grève pour dénoncer les conditions de travail du personnel soignant des unités de chirurgie cardiaque et de chirurgie vasculaire liées à une nouvelle diminution des effectifs. Distribution de tracts au restaurant de l’entreprise, une pétition signée par du personnel et quelques patients…. la journée de manifestation se passe presque dans l’indifférence générale.

July, Sarah (noms d’emprunt), respectivement Infirmière depuis 6 ans et Aide soignante, au nom de leurs et leurs camarades, qui redoutent “des représailles”, témoignent de leur situation personnelle, au sein d’un même service dirigé par deux patrons… (cf) document proposé par le syndicat.

 

P1010912

 

( Ce n'est qu'après avoir déposé le préavis de grève que les salarié(e)s ont eu la surprise d'apprendre qu'une réunion était prévue le 25 juin avec la direction.....réunion les concernant, comme il se doit.......vous en doutiez? Moralité: Si tu veux être informé dépose un préavis de grève.....mais comme nous voulons en savoir davantage...........on continue!)


Document produit par le syndicat Sud Solidaires santé-Sociaux

 

Début juillet 2013, le personnel du 9/10 (11 et 13) demandait à être reçu en urgence par la direction afin de lui expliquer à quel point la réduction des effectifs l’avait plongé dans une souffrance morale et physique. Depuis peu et de façon inexplicable, et tout aussi inexpliquée, les effectifs ont été revus à la baisse. Au niveau de l’effectif aide-soignant, un poste à 100% ainsi qu’un mi-temps syndical n’ont pas été remplacés, et malgré cela, la direction estime que l’équipe est en sureffectif de 65% d’AS.

La charge de travail restant toujours aussi élevée, l’équipe a rédigé une lettre adressée à la direction le 5 juin,

lui faisant part de son inquiétude, estimant que la direction mettait en danger les patients et la santé des

agents. (Ci-dessous extraits du courrier adressé à la direction)

 

P1010916

 

Organisation

 

« La Chirurgie cardio-vasculaire dépend de deux pôles différents donc de deux modes de fonctionnement différents. Dépendant de deux chirurgies différentes, l’activité est telle que nous enregistrons jusqu’à 45 entrées par semaine, sans compter les urgences et les patients « programmés à la dernière minute » par nos différents chirurgiens. A ce jour, nous ne pouvons toujours pas assurer un travail de qualité en étant 2 infirmières et 2 aides soignantes en poste du matin et d’après midi, 1 infirmière et 1 aide-soignante de nuit. Cela impose aussi au personnel des désinfections incessantes de chambres, qui ne peuvent qu’être imparfaites et succinctes, ainsi que des attentes inconfortables dans les couloirs, des changements de chambre fréquents, des accueils bâclés pour les patients. Outre le nombre d’entrées, il faut aussi tenir compte de la moyenne d’âge élevée des patients et des pathologies lourdes traitées dans notre service. »

« Il a été créé une unité d’hospitalisation de jour au FEH pour prendre en charge les petites chirurgies vasculaires telles que les dilatations, les créations de FAV… afin d’alléger le service. Malgré cela, sont hospitalisés tous les jours au 9-11 entre 1 et 11 patients pour ce type d’interventions, ce qui impose au personnel soignant, l’accueil, les vestiaires, les rasages, les douches antiseptiques, les bilans sanguins, les préparations au bloc, les surveillances postopératoires. »

« A cela s’ajoute, les patients pris en urgence semi relative mais qui attendent (trop souvent) plusieurs jours avant d’être opérés (mais douchés antiseptiques plusieurs jours de suite et lits refaits, jusqu’à 3 ou 4 jours de suite avant 8 heures pour le bloc DATU). Ceci nous ramène à un problème délicat et néanmoins important : nous ne disposons que d’une seule douche dans le service. »

 

le-personnel-de-chirurgie-cardiaque-et-vasculaire-en-greve

 

CHARGE DE TRAVAIL AIDE SOIGNANT ET INFIRMIER


« Les patients sont généralement dépendants, et les deux aides-soignantes doivent donc réaliser une dizaine de bains de lits en moins de deux heures, ce qui vous donne un aperçu de la qualité des prestations que nous pouvons assurer en un temps aussi court ».

« Le travail infirmier se traduit, lui, par une visite médicale interminable, un enchainement de pansements lourds (qui nécessitent parfois deux personnes), une succession de préparations au bloc, des surveillances postopératoires, sans compter les sorties précipitées pour accueillir les nouveaux arrivants qui endurent

l’attente de leur entrée ».

« Et le cercle incessant recommence : les avis d’hospitalisation non faits, les dossiers médicaux introuvables, les internes et les chirurgiens rarement disponibles pour prescrire, le téléphone qui sonne sans relâche, les bugs informatiques. »

« Mais où se trouve, dans les SIIPS, le codage pour cette perte de temps quotidienne qui met nos nerfs et notre moral à rude épreuve ? »

« Il est également utile de préciser que les patients qui relèvent des soins continus reviennent en postopératoire immédiatement dans le service (AAA, TEA, carotides…). Les opérés du coeur y sont même mutés à J+2, alors qu’ils requièrent une surveillance importante et des soins de nursing plus longs. Où se trouvent le personnel et le matériel pour les soins continus ? (La commande de matériel a été faite il y a un an). »

« Nous devons également gérer les sorties. Entre deux soins, nous devons aussi réorienter les ambulanciers au secrétariat du 9-40 pour récupérer les courriers médicaux et gérer l’incompréhension, voire l’agressivité de ces derniers, car ils doivent attendre et faire attendre les patients pendant plus de trente minutes sur les brancards, afin d’obtenir bons de transports et courriers. »

« Nous n’avons plus le temps d’exécuter correctement les soins, la prise en charge des patients et des familles, les commandes de pharmacie, la désinfection du matériel, les dossiers des entrées de la semaine, et ne parlons pas de la prise en charge des étudiants (qui sont plus nombreux que nous !). »

 

P1010918

 

De nombreuses questions en suspens


« A cela s’ajoute les problèmes de plannings qui changent sans cesse. Les agents sont rappelés sur leurs

jours de repos. Les arrêts programmés ne sont pas toujours anticipés et nous devons parfois nous remplacer

nous-mêmes. A quoi sert le pool de remplacement ? »

« Nous sommes contraints à travailler des week-ends supplémentaires pendant les périodes de congés, ce qui génère des tensions au sein de l’équipe. Nous effectuons aussi de nombreuses heures supplémentaires. »

« A l’époque, nous avons tenu six mois, avant que certains agents ne sombrent dans un épuisement

professionnel total. Cette fois-ci, nous ne comptons pas laisser la situation se dégrader comme l’an passé et

nous contenter de vos paroles sans suite. »

 

P1010915

 

revendications

 

« Nous avons suivi à la lettre pour vous expliquer notre charge de travail (SIIPS) en vain. Notre cadre a également adressé des mails à la direction, dénonçant la dégradation de nos conditions de travail. »

« Nous réclamons un poste supplémentaire d’infirmier et un poste d’aide-soignant à temps plein, sur le poste

du matin, et une infirmière supplémentaire la nuit, afin d’assurer le service en étant : – Matin : (3 IDE / 3 AS) (+1 IDE + 1 AS) – Soir : (2 IDE / 2 AS) – Nuit : (2 IDE / 1 AS) (+1 IDE) « Pour la sécurité des soins et le bien être des patients, la santé et la sécurité des soignants. »

 

CHU-Vasculaire-630x0

 

 

 

 

Pour lire le tract ci dessous, en PDF, cliquez sur celui ci 

 

9 UF 10 tract

9 UF 10 (2) tract

 

 

En raison d'un manque de personnel et d'un surplus d'activité au CHU, une grève a été déclenchée aujourd'hui.
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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 06:34

 

 

 

 

9UF 10 (4)

9UF 10 (1)

9UF 10 (2)

9UF 10 (3)

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 12:26

Après 5 jours de grève, les personnels de l'Ehpad Clos Les Muriers obtiennent gain de cause

 

Les personnels de l'Ehpad Clos Les Muriers du groupe Korian et la direction ont signé un protocole de fin de grève mercredi dernier. Les personnels réclamaient, entre autres, 13e mois et postes supplémentaires.

 

Après 5 journées de grève, l'Ehpad du groupe Korian, Clos des Muriers (Fondettes, Indre-et-Loire), a signé mercredi 4 juin un protocole de sortie de conflit avec les quelque 25 salariés qui manifestaient depuis samedi pour l'amélioration de leurs conditions de travail. Une partie de l'équipe de cet établissement de 85 lits, qui associe une unité d'hébergement pour personnes âgées désorientées (Uhpad), un accueil de jour et une unité de gérontopsychiatrie, avait en effet cessé son activité depuis samedi matin 30 mai, suite à l'annonce d'une modification du planning, l'une des aides-soignantes (ASD) étant assignée à l'accompagnement d'une professionnelle en remplacement.

 

"Cela a mis le feu aux poudres, résume Isabelle Jalais, IDE au Clos des Muriers. Nous manquons de personnel, nous l'avions signalé depuis le mois d'octobre, mais on ne nous entendait pas." L'établissement dispose pourtant de 20 postes d'ASD/AMP pour 85 lits. "Mais le site est organisé en 6 petites unités de vie, sur un grand volume de locaux, ce qui pèse sur la charge de travail et génère une réelle souffrance au travail", reconnaît Christophe Kohn, responsable de coordination RH opérationnel au groupe Korian.

 

Dans l'urgence, l'établissement a donc fait appel aux professionnels des autres sites du groupe alentour. "Nous avons même vu des directeurs arriver d'autres Ehpad pour faire les toilettes des résidents", souligne Isabelle Jalais. Des négociations ont immédiatement été entamées avec la direction régionale du groupe. Les salariés grévistes demandaient la création de postes supplémentaires, l'attribution d'un 13e mois, un support matériel, l'amélioration de leur formation professionnelle. "Nous avons presque tout obtenu", s'enorgueillit Isabelle Jalais. Presque tout, sauf le 13e mois...

 

Ainsi, une ASD/AMP supplémentaire - en CDI - viendra compléter l'effectif l'après-midi, période la plus chargée selon l'équipe. Deux CDD de trois mois seront également recrutés en attendant le renouvellement de la convention tripartite avec l'ARS et le conseil général. Tous ces postes sont en équivalent temps plein. "Nous avons également obtenu la garantie que tous les faisant fonction d'ASD/AMP se verraient proposer une validation des acquis de l'expérience pour obtenir leur diplôme", poursuit l'IDE. Ce qui constitue un réel effort pour le groupe qui devra abonder son plan de formation en conséquence.

 

"Par ailleurs nous avons obtenu une dotation en matériel : des adaptables, un véhicule pour accompagner les patients en consultations, un ordinateur supplémentaire..." note Isabelle Jalais. Pour améliorer la communication au sein de l'établissement, il a également été décidé que la responsable RH régionale installe désormais son bureau dans l'établissement. "Il s'agit de fluidifier et clarifier la communication, explique Christophe Kohn. Les équipes ne savaient jamais à qui s'adresser pour avoir des réponses pour leurs congés, leurs dates de formation etc. Elles étaient parfois prévenues le matin pour l'après-midi... Donc l'objectif est de travailler avec la direction pour que chacun sache qui fait quoi."

"Nous avons été soutenus par les syndicats FO, Sud et CGT, mais aussi par les familles, qui avaient signé une pétition, tient à signaler Isabelle Jalais. Et même des résidents ont affiché leur support en se collant un autocollant sur le torse..." La direction des ressources humaines a également tenu à saluer le professionnalisme de l'ensemble de l'équipe, gréviste ou non, et le respect qui a marqué toute la durée de la négociation.

 

 

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 09:30

Dans une ordonnance, le tribunal administratif de Melun ordonne ce 5 juin à l'intersyndicale CFDT, CGT, FO et Sud de "libérer sans délai" les locaux administratifs et la cour d'honneur qu'elle occupe depuis le 2 juin au GH Paul-Guiraud de Villejuif (Val-de-Marne) et ce, dans le cadre d'une mobilisation contre un projet de refonte de la durée quotidienne du travail. Celle-ci doit passer le 1er août de 8 heures à 7 heures 36, engendrant une baisse du nombre de jours de RTT de 27 à 23,5 jours cette année, puis à 18 jours en 2015 (lire ci-contre). Pour le juge, cette évacuation présente "un caractère d'urgence et d'utilité eu égard à la circonstance que cette occupation empêche le fonctionnement régulier du service public hospitalier". Il pointe un risque sur la confidentialité de certains dossiers (qualité et gestion des risques, finances et contentieux) et la sécurité (accès rendu difficile pour les services de secours), une direction "susceptible d'être paralysée" et des dégâts matériels. À défaut d'évacuation spontanée, le tribunal ne retient pas d'astreinte financière mais autorise l'établissement à recourir à la force publique.

 

Par communiqué, la direction de l'hôpital psychiatrique réaffirme son intention de "discuter avec les organisations syndicales à tout moment, pourvu que la protestation qu'elles conduisent prenne des formes qui respectent le cadre de la loi". Et de souhaiter, suite à l'ordonnance, que ces négociations puissent se tenir dès que possible. Une position nullement partagée par l'intersyndicale qui, elle, campe sur sa position. Ce 5 juin a ainsi été décidée la reconduction de la grève et le maintien de l'occupation. Quant à Sud-Santé, qui accuse par communiqué la direction de vouloir faire passer les occupants pour des squatters et dénonce l'instrumentalisation du tribunal, ses responsables n'excluent pas un éventuel recours devant le Conseil d'État.

 

Pour sa part, le Syncass-CFDT prend fait et cause par communiqué pour la direction sous le titre "Halte aux comportements irresponsables !" Évoquant des actes contraires à tout dialogue social, le syndicat de directeurs estime que ces "dérapages", vécus comme "une insulte aux personnes", "déconsidèrent l'action prétendument syndicale et donne de l'engagement collectif une piètre représentation". Au passage, le Syncass-CFDT rappelle combien la durée de travail quotidien actuellement en vigueur à Paul-Guiraud s'avère "inhabituelle", engendrant un surcoût élevé et non financé, une réduction concomitante de l'emploi permanent et un déséquilibre entre les hôpitaux. Par conséquent, la remise en cause de ce nombre "exceptionnel" de jours de RTT, en réponse aux injonctions de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et de l'ARS Île-de-France, n'est "que le retour vers les caractéristiques communes de la plupart des hôpitaux en matière de congés. Faire croire à l'opinion que les hospitaliers seraient préoccupés, avant tout, par l'accumulation de congés, est insultant."

 

Et

Ils lâchent la CFDT!


Pour lire l
'article ci dessus,en PDF, cliquez sur celui ci

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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 18:55

Alors que le mésothéliome est une maladie à déclaration obligatoire depuis janvier 2012, l'Institut national de veille sanitaire incite les médecins à plus de vigilance.

 

 

Par décret du 16 janvier 2012, le mésothéliome est devenu la 31e maladie à déclaration obligatoire en France. L'Institut national de veille sanitaire (InVS) publie aujourd'hui le premier bilan la concernant. Selon les estimations, depuis la publication du décret et jusqu'au 30 avril 2013, entre la moitié et les trois quarts des cas ont été notifiés par les médecins. Ces proportions sont certes insuffisantes, mais les experts jugent ces résultats "encourageants" pour une première année. Ils doivent néanmoins "être améliorés par une participation exhaustive des médecins amenés à poser un diagnostic de mésothéliome", selon le document de l'InVS.

 

En pratique, tout nouveau cas de mésothéliome, quel que soit son site anatomique (plèvre, péritoine, péricarde, vagin, testicule...), doit être notifié au médecin de l'agence régionale de santé (ARS), par tout médecin (pathologiste et clinicien) exerçant en France métropolitaine ou ultramarine qui en pose le diagnostic. Entre janvier 2012 et avril 2013, ce sont 618 nouveaux cas de mésothéliome qui ont été diagnostiqués et notifiés. Mais le nombre attendu était évalué entre 800 et 1 200. Les spécialistes de l'InVS ont aussi remarqué d'importantes disparités de déclaration selon les régions, certaines "s'approchant de l'exhaustivité". Preuve que c'est possible !

 

Le mésothéliome est donc la plus récente des maladies à déclaration obligatoire (il rejoint le botulisme, le charbon, l'hépatite B, la tuberculose ou encore la rougeole). Devant chaque cas, le médecin est tenu de transmettre des informations concernant le malade : son âge, son sexe, son lieu de domicile, sa profession lorsqu'elle peut avoir un lien avec la maladie. Il doit également donner des informations sur la nature des symptômes, les résultats des analyses de dépistage réalisées, les circonstances d'acquisition de la maladie, ainsi que sur les traitements, voire les mesures préventives prises pour la personne atteinte et son entourage.

Mieux connaître les facteurs d'exposition

 

Certes, cette déclaration ne changera pas la vie quotidienne des victimes de ce cancer de l'amiante, autre nom donné à cette affection en raison du rôle majeur joué par ces fibres (le mésothéliome est d'ailleurs une maladie professionnelle). Mais, comme le souligne l'InVS, elle a pour objectif d'améliorer les connaissances des facteurs d'exposition professionnelle et environnementale dans trois populations jugées par les experts comme insuffisamment connues : les personnes présentant un mésothéliome en dehors de la plèvre, les hommes de moins de 50 ans et les femmes présentant un mésothéliome pleural. Autant d'informations qui devraient aider à mieux protéger les individus à l'avenir.

 

Des enquêtes d'exposition sont d'ailleurs menées actuellement dans huit régions métropolitaines volontaires (Aquitaine, Alsace, Basse-Normandie, Bretagne, Franche-Comté, Limousin, Picardie, Poitou-Charentes) et dans une région ultramarine (La Réunion). Un déploiement national progressif des enquêtes pourrait être envisagé dès 2015, en fonction des moyens disponibles. Concernant les moyens, c'est surtout une indemnisation décente que réclament aujourd'hui toutes les victimes de l'amiante et leurs familles.


 Source : Le Point.fr

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Published by sud-chu-caen - dans Amiante
6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 17:56

 

 

Pour lire l'appel en PDF, cliquez sur celui ci

 

 

Appel à une révolte citoyenne de la santé !

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 05:33

 

 

 

Pour lire les tracts en PDF, cliquez sur ceux ci

 

18 juin

La risposte

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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes
3 juin 2014 2 03 /06 /juin /2014 17:56

 

 

 

 

EPSM 03 juin

 

 

 

Pour lire le tract ci dessous, en PDF, cliquez sur celui ci

 

 

EPSM 5 juin

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3 juin 2014 2 03 /06 /juin /2014 17:51

 

 

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Vire (1)

Vire (2)

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