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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 20:29

25 000 euros de dommages et intérêts, 5000 euros de frais de justice : C'est ce que réclame l'Ordre infirmier qui s'estime diffamé et injurié par le syndicat "anti ordre" Résilience et son secrétaire général Hugues Dechilly.


Le syndicat a ainsi reçu par voie d'huissier deux citations à comparaitre devant le tribunal correctionnel de Paris en mars 2012.

Avec à l'appui des capture d'écrans de différents sites, l'Ordre infirmier lui reproche notamment une "critique récurrente", et se plaint de l'appel au boycott du paiement de la cotisation, "en violation (...) des dispositions légales qui imposent la cotisation obligatoire."

Pour Gilles Devers, avocat du syndicat à l'initiative de plusieurs actions judiciaires contre l'institution ordinale, "L'ordre infirmier se trompe d'époque : la liberté d'expression est un droit fondamental pour un syndicat. Toutes les attaques sont justifiées par des arguments de fond. L'Ordre infirmier n'a qu'à répondre, au lieu de tenter de faire taire Résilience". 

Et face aux difficultés actuelles de l'Ordre de conclure, ironique : "Je me retrouverai peut être à plaider devant le liquidateur de l'Ordre... "

Interrogé par ActuSoins, l'Ordre infirmier considère lui être "insulté sur Internet par M. Dechilly qui a d’ailleurs constitué un syndicat dont l’unique objet est de s’opposer à l’Ordre." Il a donc décidé de "ne plus accepter de se laisser maltraiter de la sorte car, au travers de l’Ordre, c’est toute la profession infirmière qui est insultée et son honneur qui est bafoué."


Pour aller plus loin :


Nous reproduisons ci-dessous, la réponse de l'Ordre infirmier in extenso :

"L’Ordre national des infirmiers a été créé par la loi du 21 décembre 2006. C’est une institution légale qui se voit notamment conférer la mission de défendre l’honneur de la profession. Depuis des années, l’Ordre est insulté sur Internet par M. Dechilly qui a d’ailleurs constitué un syndicat dont l’unique objet est de s’opposer à l’Ordre. A cet égard l’Ordre a relevé et fait constater par huissier des dizaines d’articles et de communiqués à caractère injurieux qui ont été publiés sur divers sites et adressés systématiquement aux rédactions de presse, au Gouvernement et aux parlementaires.

L’Ordre a donc décider de ne plus accepter de se laisser maltraiter de la sorte car, au travers de l’Ordre, c’est toute la profession infirmière qui est insultée et son honneur qui est bafoué. Le 4 janvier dernier, l’Ordre a intenté devant la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris une action pour injure publique sur le fondement de l’article 29 alinéa 2 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse concernant ces publications contre M. Dechilly et contre le syndicat professionnel Résilience. Il encourt une amende de 12 000 euros, des dommages et intérêts à hauteur de 25 000 € et une publication du jugement sur les sites internet qui ont publié ses propos. L’audience se déroulera au TGI de Paris le 20 mars prochain."

 

Source : ActuSoins

 

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Published by sud-chu-caen - dans Ordre Infirmier
10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 17:34

 

 

 

  Téléchargez  nos voeux en cliquant dessus !

 

 

 

 

 

voeux SUD CHU

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Published by sud-chu-caen
9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 19:56

Le ministère de la Santé ne publiera pas le décret permettant l'inscription automatique au tableau par les infirmiers salariés.

Nouveau coup dur pour l'Ordre infirmier. Selon l'agence de presse APM, "le ministère de la santé exclut de prendre un décret concernant l'inscription automatique à l'Ordre national des infirmiers (ONI), ainsi que sur son code de déontologie".

Attendu depuis plusieurs années, ce décret devait permettre l'inscription de tout salarié au tableau ordinal, par l'employeur. Il aurait notamment permis à l'Ordre d'identifier facilement les professionnels non-cotisants et d'accélérer le processus de recouvrement nécessaire à sa survie.

Nora Berra et Xavier Bertrand l'affirment publiquement depuis plusieurs mois: l'Ordre infirmier doit se faire accepter par les professionnels.

Si le soutien logistique ministériel est bien réel et a jusqu'ici empêché l'ONI de sombrer totalement, il est désormais clair qu'aucun soutien public ne sera plus affiché.

Source :ActuSoins

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Published by sud-chu-caen - dans Ordre Infirmier
9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 19:49

Bonjour,

 

La CADAC, l'ANCIC et le Planning Familial ont déposé un recours sur la non application de la loi du 4 juillet 2010 sur l'IVG.

 

Ils ont besoin de connaître toutes les situations remettant en cause le droit à l'IVG, fermeture de centres ou de maternités où se faisaient des IVG, limitation d'activité, non recrutement de professionnels.... délais...

 

Merci d'envoyer toutes informations en ce sens avant mercredi 11 janvier au soir  à l'adresse suivante colcadac@club-internet.fr ou au 06 07 48 71 83.

 

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Published by sud-chu-caen - dans Elles
8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 10:36

 

 

Pour lire l'article de l'Hebdo de Charente-Maritine cliquez ci dessous

 

 

Hôpitaux en misère

 

Merci à SUD Santé Sociaux "La Rochelle"

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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 22:10

Les critiques formulées contre l’instauration d’une TVA sociale fusent, hausses des prix, cadeaux aux actionnaires et aux employeurs en échange de promesses de création d’emplois. Depuis les années 70, la droite comme la gauche ont baissé les cotisations sociales, en échange d’emplois qui n’ont jamais vu le jour à l’exception d’emplois toujours plus précaires et/ou subventionnés.

En asseyant une partie du financement sur l’impôt le plus injuste qui soit la TVA sociale, le gouvernement vient porter une atteinte supplémentaire au « Chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins », et à l’effet de redistribution des richesses sur lequel la protection sociale a été fondée. C’est contraire à l’idée originelle de restituer à la population une partie des richesses qu’elle produit sous forme de soins, de retraite, d’allocations…

Faire basculer le financement de la sécurité sociale sur l’impôt, c’est le soumettre au bon, ou mauvais, vouloir des politiques qui pourront faire varier à leur guise les sommes ainsi allouées. 

Une partie de ce financement avait déjà été confié à l’impôt par l’instauration de la CSG, et cette nouvelle mesure ne fait que renforcer le pouvoir de contrôle des politiques sur les prélèvements. Il se rajoute à celui attribué par le biais des ordonnances Juppé et le vote du budget de la sécurité sociale et de ses orientations par le parlement.

C’est une nouvelle étape dans le dépeçage de la Sécurité Sociale avec le transfert des fonds sociaux vers les assurances privés ou pseudo mutuelles.

Les 157 milliards du budget de la Sécurité Sociale sont ainsi offerts aux spéculateurs de tous poils.

 Sud Santé sociaux dénonce une politique qui ne fera qu’amplifier les attaques contre le service public de santé et  renforcera les inégalités d’accès aux soins dans un pays qui était à la pointe des systèmes de santé il y a une quinzaine d’années et où, aujourd’hui, 29% de la population renonce aux soins  ou les diffère pour des raisons financières. 

Sud Santé Sociaux revendique le retour aux principes fondateurs de la protection social.

Sud Santé Sociaux revendique la gestion de la Sécurité Sociale par les salariés ainsi que son financement par les cotisations sociales.

 Sud Santé Sociaux en appelle à la convergence des forces sociales, politiques et syndicales,  pour faire obstacle à cette TVA « Antisociale ».

Source : SUD Santé

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Published by sud-chu-caen
6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 22:10

En guise de vœux pour la nouvelle année, les infirmières inscrites à l’ordre mais non cotisantes ont reçu, le 2 janvier dernier, une ultime lettre de rappel avant poursuites. Elles ont quinze jours pour faire leur chèque… En attendant, l’ordre ne fait toujours pas recette auprès des infirmières salariées.

 

« Vous êtes inscrit(e) au tableau de l’Ordre national des infirmiers. Cette inscription entraîne le paiement obligatoire de la cotisation ordinale en vertu de l’article L4312-7 du Code de la santé publique. […] Nous vous prions de procéder à la régularisation de votre situation dans un délai maximal de 15 jours. A défaut, nous serons contraints de mettre en œuvre une procédure de recouvrement dont les frais pourront vous êtes imputés. » En fin de semaine dernière, quelque 28 000 lettres ont ainsi été adressées par l'ONI aux infirmières qui ne se sont pas acquittées de leur cotisation de l’année 2011.

Interrogé sur la nature de la procédure, et le coût qu’elle engendrerait pour les infirmières mais également pour l’instance ordinale, l’ordre n’a pas souhaité répondre à nos questions. Dans un communiqué mis en ligne sur son site, le syndicat Résilience appelle les infirmières à ne pas tenir compte de cette menace, et les engage à demander leur désinscription. Joint ce matin, Denis Basset, secrétaire fédéral de FO santé sociaux, membre de l’intersyndicale anti-ordre, maintient l’appel au boycott de l’ordre infirmier. Par ailleurs, il a indiqué qu’Annie Podeur, directrice générale de la Direction générale de l’offre de soins, avait été interpellée le 22 décembre dernier, lors du dernier conseil supérieur de la fonction publique hospitalière, afin qu’elle intervienne auprès des directions d’établissements pour que ces derniers cessent leurs pressions pour contraindre les infirmières, et notamment les jeunes diplômées, à adhérer à l’ordre. « Elle s’est engagée à donner des instructions en ce sens aux établissements ainsi qu’aux Agences régionales de santé », indique Denis Basset.

 

Loin du compte

Côté chiffres, nous en savons désormais davantage sur la répartition par type d’exercice des inscrites et cotisantes à l’ONI. Dans un courrier adressé le 8 décembre dernier au député Pierre Méhaignerie, président de la Commission des affaires Culturelles, Familiales et Sociales à l'Assemblée Nationale, et que nous avons pu récemment nous procurer, Didier Borniche, président de l’ordre, indique en effet que sur les quelque 108 000 inscrites au tableau ordinal, 48 % sont des infirmières libérales et 49 % des infirmières salariées. Les 3 % restant étant non renseignés, il pourrait s’agir d’infirmières ayant une double activité (libérale et salariée) ou en recherche d’emploi.

Concernant les cotisations, Didier Borniche écrit également que le taux d’infirmières inscrites et ayant cotisé serait de quelque 74 %. Pour mémoire, rappelons que le 5 décembre, Karim Maneri, secrétaire général de l’ordre, précisait dans nos colonnes que quelque 80 % des inscrites étaient à jour de leur cotisation. Cherchez l’erreur… Pourtant un écart de 6 % dans une trésorerie ne passe pas inaperçu. Pour résumer, si l’on se base sur un effectif de 500 000 infirmières en activité, dont 77 000 infirmières libérales, le pourcentage des adhérentes salariées demeure extrêmement faible : un peu plus d’une infirmière sur dix est aujourd’hui inscrite à l’ordre, et moins d’une sur dix y a cotisé en 2011. L’ordre semble donc encore très loin du compte. Un bilan qui pourrait inquiéter sa banque, son principal créancier, mais aussi les conseils départementaux de l’ONI, dont certains peinent déjà à payer le loyer de leurs locaux…

Source: EspaceInfirmier.com

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Published by sud-chu-caen - dans Ordre Infirmier
6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 10:55

La cour d'appel de Rennes rejugeait ce jeudi 5 janvier deux Carhaisiens, militants pour la défense de la maternité de l'hôpital de la ville du centre-Bretagne. En mai 2010, le tribunal correctionnel de Quimper les avait condamnés à 150 € d'amende chacun, pour tentative de destruction par incendie. Le 19 juin 2008, une soixantaine de manifestants avaient allumé deux incendies de pneus, à côté de la sous-préfecture de Châteaulin.

Peines de prison demandées

Aujourd'hui, à Rennes, les deux militants ont nié être les auteurs de ces deux incendies. Tout en assumant leur combat pour la maternité, gagné en 2008. L'avocat général a demandé quatre mois de prison ferme contre l'un, six mois avec sursis et 5 000 € d'amende contre l'autre. La cour d'appel rendra son arrêt le 16 février.

Une cinquantaine de personnes étaient venues soutenir les deux prévenus, ce jeudi à Rennes.

 

 


 

Ouest France Carhaix                            

Une cinquantaine de personnes étaient venues soutenir les deux prévenus,

ce soir à Rennes. Christian Troadec (à droite), maire de Charaix a fait le déplacement.

 

Source (texte et photographie) : Ouest France

 

 

 

La tête au Carhaix

 

 

 

 

Résistance Carhaix

 

Sources : "La tête au Carhaix"

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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 10:29

Après avoir supprimé l’encombrant bouclier fiscal, non sans avoir allégé considérablement l’impôt sur la fortune au passage, Nicolas Sarkozy relance l’idée de la TVA sociale, chère au MEDEF.

 Il s’agit de supprimer tout ou partie des cotisations sociales patronales et d’augmenter la TVA, impôt indirect, sur les prix des biens et services.

 Cette mesure vise à faire payer la majorité de la population et à exonérer une fois de plus le patronat du versement de ses cotisations. L’argument du coût du travail trop élevé, notamment vis-à-vis de l’Allemagne, occulte le fait que le coût du travail est identique sauf qu’en France les cotisations sociales garantissent une sécurité sociale solidaire alors qu’en Allemagne le coût des systèmes privés pèse sur le pouvoir d’achat des ménages.

 Cette mesure n’aura qu’un seul effet, comme l’ont montré toutes les expériences passées, celui de l’augmentation des prix. Les employeurs en profiteront pour augmenter leur taux de marge et les dividendes aux actionnaires. Tous les consommateurs seront touchés, qu’ils achètent des biens produits en France ou importés.

 L’argument anti délocalisation est tout aussi fallacieux. Le différentiel de salaire avec les pays de l’Europe centrale ou de la Chine est tel que ce n’est pas une baisse de quelques points de cotisations patronales qui changera cette situation.

 La TVA sociale ne répond à aucun des objectifs affichés. Ce gouvernement poursuit en réalité sa politique de cadeaux au patronat et aux classes aisées qui assèche les finances publiques.

 Ce projet est aux antipodes de la justice fiscale et du partage des richesses produites au profit des salarié-es.

Source : Solidaires

 

Pour lire le communiqué en PDF, cliquez ci dessous

 

Icone PDF

 

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Published by sud-chu-caen
6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 10:10

Tout le monde sait que l'Hôpital Public va mal:

Plus de 80 % des hôpitaux subissent un manque de financement et sont endettés, à Lisieux nous sommes à 12 millions cumulés.

Les plans de restructurations se succèdent avec des pertes d'emplois, toujours à Lisieux en moins de 10 ans plus de 250 emplois en moins alors que l'activité ne cesse d'augmenter.

La gestion économique étant l'unique façon de gérer logiquement les arrêts de travail, les accidents de travail et les risques psycho sociaux augmentent et les risques de gravité aussi, nous risquons dans un avenir proche si rien n'est fait de nous retrouver dans le même cas que France-Télécom car c'est le même type de gestion.

http://www.lepoint.fr/societe/pathologies-liees-au-travail-les-risques-psychosociaux-en-hausse-depuis-dix-ans-04-10-2011-1380779_23.php

Dans ce contexte, les organisations syndicales et les représentants des CHSCT qui sont les garants de la prévention des risques pour les personnels se devaient de réagir et c'est tout naturellement que les demandes d'expertises se sont multipliées face à des projets imposés sans concertation au détriment et aux risques des salariés voire des patients.

"Pour faire bref, dans la Fonction Publique Hospitalière nous dépendons du droit administratif hormis pour cette instance où s'appliquent les articles du code du travail sous couvert de l'inspection du travail et du juge pénal, cela a d'ailleurs était étendu aux autre fonctions publiques, ce qui ouvre la possibilité de demande d'expertise lors de changement d'organisation de travail ou de risques graves, les cabinets d'expertises étant agréés par le Ministère du travail".

Les Directeurs d'Hôpitaux pour ceux qui ne sont pas totalement réfractaires ont beaucoup de mal à accepter ce qu'ils considèrent comme une atteinte à leur pouvoir et qui pour eux entrave leur gestion macro économique, la loi Bachelot leur donnant presque tout pouvoir beaucoup ont du mal à comprendre les risques graves qu'ils font prendre à leurs salariés et souvent ses risques sont aussi pour les patients.

Certains ont donc décidés de contester ces demandes d'expertises en saisissant les tribunaux d'instances, une obscure avocate croyait avoir trouvé la faille en invoquant la loi sur les marchés publics qui interdirait au dit comité d'hygiène et de sécurité et des conditions de travail de désigner les experts et qui imposerait un appel d'offre, cette avocate a trouvé une clientèle de circonstance.

Il s'est trouvé un ou deux tribunaux de première instance pour valider ce raisonnement, peut être une porosité entre notables, ou un anti syndicalisme primaire ont permis ces jugements anachroniques, reste que la majorité ont renvoyés les Directeurs dans les cordes, deux cour d'appel aussi et enfin la cour de cassation a définitivement tranché le sujet:

http://portail-web.aphp.fr/daj/public/index/pdf/col/date_fiche/orderby/DESC/id_fiche/9919

A Lisieux nous sommes concernés, comme Toulouse, Bordeaux Saint Malo et d'autres, et il faut avouer qu'une démarche juridique c'est un peu la galère nous y sommes depuis août 2010, certes en cour d'appel nous n'avons pas encore gagné mais au moins ce motif qui était le motif central de notre Directeur est tombé!

Il faudra que les Directions s'habituent à une démarche qui si elle ne résout pas tout, est une démarche de prévention voire de résolution  de certains risques professionnels certainement plus efficace que les nombreux audits fort couteux qui encombres les tiroirs de nos technocrates.

Je reste pour ma part étonné que ce jugement n'ai pas eu plus d'écho médiatique que cela, c'est certes un sujet complexe mais au final c'est une bonne nouvelle (et en ces temps de crise permanente, c'est rare) tant pour les personnels hospitaliers que pour les patients.

Voilà, mes meilleurs vœux de santé pour cette année 2012, pour ceux qui ont tenu jusqu'à la fin de ce post!

Source : Le post (par Comhique)

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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes

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