Dans un courrier daté du 27 aout 2010 adressé à Yves Durand, député du Nord, Roselyne Bachelot (Ministre de la santé), explique que la cotisation à l'ordre IDE n'est pas acceptable et qu'elle souhaite donc rendre l'inscription à l'ordre IDE facultative.

Pour lire le tract, en PDF, c'est ici

Et "merci" au syndicat SUD Santé Sociaux de Flers

Il faut se mobiliser pour soutenir nos collégues contractuels et défendre nos emplois

Lire l'appel de l'intersyndicale, en PDF, pour le 14 septembre 2010

A 58 ans, Serge Vautier, soutenu par les syndicats CGT et SUD, ne partira pas à la retraite comme le souhaitait son employeur le CHU de Caen.
Le tribunal administratif a ordonné, pour la seconde fois sa réintégration
à son poste d'agent de sécurité. C'est que Serge Vautier dérange.  

Le 2 septembre 2010, à l'appel de l'intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, FO, SUD et UNSA, 400 agents se sont réunis dans le hall du bâtiment Femmes Enfants Hématologie ( FEH ) du CHU de Caen, pour soutenir leurs collègues contractuel(le)s virés du CHU, certes pour fin de contrat mais de façon cavalière et technocratique. Une mesure purement comptable de l'administration en quête d'économie faisant fi de la vie privée et des réalités sociales de ces salarié(e)s.

Après les prises de paroles des représentants du personnel, certains agents se sont exprimés pour dénoncer la dégradation de leur condition de travail, ainsi que la politique menée par les gouvernements successifs en matière de santé.

Alors que les personnels présents à l'assemblée générale se préparaient à effectuer un « tour » symbolique du CHU, sensé représenter leur mécontentement, aux yeux de la direction, un salarié prenant le micro invita les agents présents à aller vers les locaux de l'administration afin d'interpeller le DG; Initiative individuelle exprimant un ressenti collectif que nous avons soutenu en accompagnant les salariés en colère.
Le D.G étant absent, ce fut Mr Lamy, directeur adjoint et Me Guerraz, DRH,
rejoints plus tard par Me Hamon-philippe qui furent amenés à répondre
aux salariés encore nombreux et à l'ensemble de leurs questions.
L'échange dura jusqu'à 16h.

  Pour lire l'article de Ouest France, en PDF, c'est ici

Pour lire l'appel c'est ici