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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 14:20
Pas de pause estivale pour l’austérité dans les hôpitaux

Conséquences de l'austérité, des suppressions de poste et des manques d'effectifs à l'hôpital durant l'été, des services encore plus nombreux ont été fermés, notamment des urgences (Valognes, Firminy, Saint Vallier, Dreux, Thonon-les Bains, Condom, ...), contraignant les patient-e-s à rallonger les déplacements pour bénéficier des soins, avec les risques afférents. Même le SMUR a été fermé quelques jours à Mantes la Jolie !

Ces mesures prises par les bras armés du gouvernement dans la santé, les ARS (agences régionales de santé) préparent un nouveau tour de vis dans nos établissements. La loi de santé de M. Touraine qui sera débattue au Sénat en octobre va y contribuer en obligeant tous les hôpitaux publics à se rassembler d'ici le 1er janvier 2016 au sein de « groupements hospitaliers de territoire » afin de multiplier les restructurations, les collaborations avec le privé et d'imposer de nouvelles suppressions de postes. D'ores et déjà, la ministre annonce la fermeture de nombreuses urgences... pour faire face au manque de médecins urgentistes !

… Les luttes non plus n'ont pas faibli

Le personnel et la population se sont mobilisés contre ces fermetures et les atteintes à l'accès aux soins et des grèves ont eu lieu aussi à Aigle, Châlons en Champagne, Dreux, Falaise, Saint-Dizier... mais isolées et éparpillées, elles n'ont pas permis des succès généralisés et durables.

Se mobiliser tous ensemble !

L'isolement des luttes, et les défaites, chacun de son côté, ça ne peut plus durer !

Imposons à nos organisations syndicales d'organiser et de coordonner la mobilisation d'autant plus que le gouvernement Hollande frappe toujours plus durement. Dans le cadre du « pacte de responsabilité » les employeurs sont exonérés de 10 milliards d'€ de cotisations sociales, ce sont donc des recettes en moins pour les hôpitaux et nous en subissons les conséquences : gel des salaires, conditions de travail dramatiques, et 22 000 suppressions de postes en 3 ans.

Le gouvernement prépare aussi la remise en cause de la durée du temps de travail. Lors de l' assemblée de rentrée du MEDEF, Macron, le ministre de l'économie, a déclaré son amour au patronat tout en fustigeant les 35 heures. Valls, de son coté, a affirmé ne pas remettre en cause la durée légale du travail. Une totale hypocrisie, ce même 1er ministre ayant instauré en juillet « une mission d'évaluation du temps de travail dans les fonctions publiques afin de proposer des évolutions de la réglementation » ! Nos directions remettent partout en cause les RTT. Demain, si nos collègues de l' AP-HP n'obtiennent pas satisfaction, l'offensive va s'aggraver dans tous les établissements.

En cette rentrée, plus que jamais, avec celles et ceux de l'AP-HP et tous les hospitalier-e-s en lutte, l'heure est à la coordination de la mobilisation, à un mouvement d'ensemble de tous les hôpitaux pour faire cesser l'Hôstérité.

Solidarité avec la lutte de l'AP-HP !

La lutte des établissements de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris concerne l'ensemble des hôpitaux. Le retrait des mesures que veut imposer le directeur général Martin Hirsch à ses 72 000 salariés (hors médecins) serait un formidable encouragement au combat de l'ensemble des établissements de santé pour le maintien ou la reconquête des journées de RTT et le refus de l'austérité dans la santé.

Cinq journées de mobilisation massives en mai et juin, et la forte détermination du personnel ont contraint Martin Hirsch à annoncer le 16 juin le retrait de son plan, mais il apparaissait dès cette date qu'il s'agissait d'une manœuvre.

Le directeur général de l'AP-HP n'a en effet pas renoncé réellement à son projet, en prétendant ouvrir des discussions sur l'organisation du travail dans plusieurs services, et en maintenant son plan d'économie de 600 millions d'€ en quatre ans, impossible à réaliser sans suppressions d'emplois et de fortes contraintes sur le personnel.

La mobilisation continue !

Le personnel est invité par l'intersyndicale à se réunir en Assemblée générale dans les différents hôpitaux de l'AP-HP jusqu'au 10 septembre. C'est l'occasion de discuter par exemple :

- Des actions lors la journée de grève du 17 septembre, une manifestation dans les rues de Paris pourrait ainsi être décidée dans ces AG

- Des moyens de populariser la lutte auprès de la population

- De la poursuite de la mobilisation : faut-il continuer à espacer les grèves de semaines en semaine ou décider de la grève reconductible ?

- De la démocratie dans la lutte : toutes les propositions du personnel pourraient être débattues lors de réunions regroupant des délégués élu-e-s représentant les AG des différents établissements. Ce serait prendre en main la lutte comme en 1988, lors de la grande grève des infirmières, ce qui avait contribué au succès de la grève.

A l'AP-HP, tous et toutes en grève le 17 septembre :

Retrait du projet Hirsch dans son intégralité !

Non à la suppression des journées RTT et de tous nos acquis !

Les 35 heures effectives !

Création d'emplois statutaires et embauches à la hauteur des besoins de chaque service ! Embauche des CDD !

Un budget à la hauteur des besoins !

Source:npa2009.org

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 14:14

Alors que les urgences de l'hôpital de Valognes sont fermées, Marisol Touraine a promis de les réouvrir. Le collectif des usagers n'y croit pas, et annonce de nouvelles actions.

Ils étaient environ 3 000 samedi 22 août à défiler dans les rues de Valognes (Manche) contre la fermeture des Urgences de cette commune de 7 000 habitants.
Depuis le 6 août, date de fermeture du service, les 60 000 habitants impactés doivent en effet se rendre jusqu'aux urgences de Cherbourg (Manche), à 40 minutes en voiture du site de Valognes, qui appartient au Centre hospitalier public du Cotentin (Basse-Normandie). Pour rassurer ces habitants en colère, Marisol Touraine a pris des engagements.

Marisol Touraine promet de réouvrir en septembre

Dans un courrier adressé au maire (DVD) de Valognes, Jacques Coquelin, la ministre de la Santé assure qu’elle a demandé « à la direction générale de l’Agence régionale de santé en lien avec le centre hospitalier de garantir cette réouverture dans les meilleures conditions, et ce, dès le mois de septembre ».
Elle rajoute : « Je suis déterminée à mettre en œuvre des solutions pérennes dans l’objectif de garantir durablement une offre de soins de qualité et sécurisée sur le Nord Cotentin ». Des promesses auxquelles ne croient pas les principaux intéressés.

Les opposants reçus le 11 septembre à l'ARS

Contacté par Pourquoidocteur, Rémi Besselièvre, président de l’Association de défense du Centre Hospitalier Public du Cotentin et de Promotion de la Santé, confie : « On vient de demander un rendez-vous à l'ARS Basse-Normandie pour le 11 septembre. Car l'annonce de Marisol Touraine est floue. Dedans, il n'y a pas de date précise sur la réouverture et on ne sait pas si elle parle des urgences de jour ou de nuit du service ».

Et à ce sujet, ce dernier rappelle justement que la date présumée d'ouverture des urgences de jour dans ce service est prévue le 15 septembre. Or, les membres de cette association ne veulent rien d'autre qu'une réouverture du service 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.
« Pour résumer, nous ne sommes pas rassurés du tout », martèle Rémi Besselièvre.
S'ils ne sont pas entendus par la ministre, ces militants annoncent déjà de nouvelles manifestations, « mais sur un autre ton », précise le président de l'association.
Par ailleurs, il rappelle qu'une action en justice est engagée. « D'une part, sur la forme, puisque la décision de fermeture est illégale. D'autre part, sur le fond, car alors que la Basse-Normandie fait déjà face à une pénurie de médecins, cette fermeture constitue pour nous une mise en danger de la vie d'autrui », conclut Rémi Besselièvre.

Source: pourquoidocteur.fr

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 10:37
PPCR : KEZAKO ?

Après un an de négociation avec le ministère de la Fonction Publique sur les Parcours Professionnels, les Carrières et les Rémunérations (PPCR), rebaptisées «pompeusement » par la Ministre : «Avenir de la Fonction Publique », le projet d’accord sera soumis à signature fin septembre.

Tract en PDF ci joint

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 08:51
L'homme qui murmure aux oreilles de la finance (par SUD AP-HP)

L’été n’est déjà plus qu’un souvenir. Certains n’auront pas eu la chance de partir en

vacances. Ceci est aussi une réalité à prendre en compte M. le directeur !

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 08:40
Six services d'urgences menacés en Normandie ?

Ouest-France

Le manque de médecins urgentistes remet en cause l'existence des petits services d'urgences qui accueillent moins de 10 000 patients par an. En Normandie, six sont concernés.

Selon une enquête du Figaro, sur les 650 services d'urgences en France, 67 sont sous la barre des 10 000 patients par an, soit moins de 1,1 patient par heure.

Le manque de médecins urgentistes place ces établissements sur la sellette.

Les 67 services susceptibles de fermer recensés par Le Figaro se situent sur l'ensemble du territoire. Ils sont six en Normandie.

Dans le Calvados :

- la Clinique de la Miséricorde à Caen

- le centre hospitalier d'Aunay-sur-Odon

- le centre hospitalier de Vire

Dans la Manche :

- le centre hospitalier de Saint-Hilaire-du-Harcouët

Dans l'Orne :

- le centre hospitalier de Mortagne-au-Perche

- le centre hospitalier intercommunal des Andaines à La Ferté-Macé

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 10:47

Samedi 15 août, plus de 2 000 personnes ont manifesté à Valognes dans la Manche pour protester contre la fermeture des urgences durant l’été et s’opposer à l’éventuelle suppression de ce service.

Le 6 août dernier, les urgences et le smur de Valognes (équipe locale du samu 50) ont fermé. La direction de l’hôpital et l’Agence régionale de santé (ARS) ont invoqué le manque de médecins urgentistes et l’impossibilité de trouver des médecins intérimaires. Il faudrait 24 médecins pour que le service fonctionne normalement, et il n’en reste que 15 actuellement. Le smur a repris son activité le 15 août, mais les urgences restent fermées. Les plus proches se situent à Cherbourg, à 20 km. Pour se rendre aux urgences, les habitants des villages les plus éloignés ont jusqu’à 40 km de trajet.

Et le cas de Valognes n’est pas isolé. Les urgences de l’hôpital de Saint-Vallier dans la Drôme et celles de Firminy dans la Loire sont fermées la nuit. Le smur de Condom dans le Gers a fermé 23 nuits et deux jours. La deuxième équipe de jour a été supprimée plusieurs semaines à Bourgoin-Jallieu dans l’Isère. Partout, c’est le manque de médecins urgentistes qui justifie les fermetures.

Cette carence est indéniable : selon la Fédération hospitalière de France, 12 % des postes de médecins sont vacants dans les hôpitaux. Ce n’est pourtant qu’un aspect de l’insuffisance du nombre de médecins. Depuis quarante ans en France, depuis l’introduction du numerus clausus qui limite arbitrairement chaque année le nombre d’étudiants en médecine, on ne forme pas assez de médecins et il en manque un peu partout : dans les régions rurales, dans les quartiers pauvres, dans certaines spécialités, et donc aussi dans les services d’urgences. Il sert aujourd’hui de prétexte à de nombreuses fermetures de services hospitaliers ou de maternités.

Dans les services d’urgences, quand une partie des médecins prennent leurs congés l’été, les listes de gardes deviennent très difficiles à remplir. Les hôpitaux recourent alors à l’intérim, qui s’est développé ces dernières années mais qui entraîne des surcoûts importants. Les fermetures de services, par contre, sont vues comme des économies par les directions des hôpitaux et les ARS.

Pourtant, ces fermetures représentent une mise en danger de la vie des patients, en introduisant des délais supplémentaires dans leur prise en charge y compris dans les cas les plus graves, quand l’équipe du samu disponible la plus proche se trouve à plusieurs dizaines de kilomètres.

François Hollande avait promis durant sa campagne électorale, et répété ensuite en 2013, que « aucun Français ne doit se trouver à plus de 30 minutes de soins d’urgences ». Cet été, cela n’a pas été le cas dans bien des endroits, et c’est bien la politique de son gouvernement qui en est responsable.

Source: L.O

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 10:44
Marseille: la direction de l'Hôpital Nord fait l’autruche

Le syndicat Sud solidaires dénonce à son tour les conditions de travail au sein de l’Hôpital Nord.

Après la CGT qui a tenu à alerter par courrier Marisol Touraine, ministre de la Santé, c’est au tour du syndicat Sud solidaires de rendre publiques les graves conditions de travail qui perturbent la bonne marche de l’hôpital Nord. Et le syndicat de dénoncer le mutisme de la direction de l’AP-HM quand « la totalité ou presque des services survit avec un sous effectif » alarmant. Un état des lieux jugé « catastrophique » par l’organisation syndicale, « du jamais vu jusqu’alors », précise-t-elle. Que penser de ces services qui fonctionnent, durant cette période estivale « avec aucun ou un seul aide soignant », laissant le soin aux infirmiers d’assumer ces tâches au détriment de leurs propres responsabilités à l’égard des patients. Et malgré les annonces de la direction générale qu’il n’y aurait « aucune fermeture de service pour l’été », le manque de personnel contraint à en supprimer certains par manque de personnel.

Pas de personnel de ménage au bloc opératoire

Quant à celles et ceux qui restent, comment s’étonner, dans de telles conditions, d’un tel épuisement ? A la fonction ménage, « sur 24 agents, 10 sont en maladie, 8 en congés et, cerise sur le gâteau, le personnel doit pallier l’absentéisme au bloc opératoire et, ce sans formation spécifique, alors que le ménage de ce secteur ne s’improvise pas ». La liste est longue des graves manquements à l’hygiène de l’hôpital, mais aussi des conséquences sur les soins mêmes des patients. Mais même si la colère gonfle au sein des personnels, la direction, jointe par nos soins, persiste à ne vouloir faire aucun commentaire.

Source: lamarseillaise.fr

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 09:52
Grève lundi à Gabriel Martin pour dire "non" à la direction commune

Une nouvelle grève est annoncée lundi 31 août à l’hôpital Gabriel Martin de Saint-Paul. Un préavis dans la continuité de la grève de l’intersyndicale CFDT-FO-Unsa de juillet dernier.

Lundi après-midi se déroulera le conseil de surveillance de l’établissement hospitalier qui devra décider de la signature de la convention de direction commune entre Gabriel Martin et l’EPSMR de Grand Pourpier.

Les syndicats s’y opposent. Ils s’appuient sur deux avis similaires rendus récemment par le comité technique d’établissement et la commission des soins infirmiers médico-technique et de rééducation. Ces deux instances ont voté contre à l’unanimité.

La mobilisation de lundi est présentée comme "un moyen de pression" que tente d’envoyer les syndicats sur le président du conseil de surveillance, Joseph Sinimalé. "On dira au président du conseil de prendre en compte ces avis", explique Dominique Legros, secrétaire de section CFDT du CHGM. "Nous sommes contre cette direction commune là. Négocions pour en préparer une autre, mais pas celle avec un seul DRH pour deux établissements."

De son côté, le CTE de l’EPSMR a voté pour cette fusion.

Source: zinfos974.com

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 09:41
Hôpital de L'Aigle. Une manifestation pour la chirurgie ambulatoire

Véronique Louwagie, député-maire, a fait une demande d'activité auprès de l'Agence régionale de santé. Motion de soutien, pétition et rassemblement sont mis en place.

Lundi, Véronique Louwagie, député-maire, a provoqué en mairie une réunion entre le directeur adjoint de l’ARS, la direction de l’hôpital et des représentants des médecins de l’hôpital. « À la suite d’échanges nourris et animés, j’ai adressé à la directrice générale de l’Agence régionale de santé (ARS) une demande officielle d’autorisation de chirurgie ambulatoire, expose l’élue. Cela va dans le sens de la Ministre de la santé demandant de favoriser ce dispositif, pour des raisons de confort des malades et d’économies pour les hôpitaux. »

Fin juillet, l'ARS demandait au centre hospitalier de L’Aigle de cesser ses activités de chirurgie ambulatoire. L’annonce avait déstabilisé les équipes de l’hôpital et provoqué l’émotion des élus et habitants

Le député-maire invite ses collègues des communes voisines à voter une motion de soutien à l’hôpital. Tandis qu’une pétition est mise en place pour les habitants, la municipalité co-organise une manifestation, le samedi 19 septembre à 15 h, place de l’Europe.

Source: ouest-france.fr

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 04:43
Urgences à Valognes. Des milliers de manifestants réclament la réouverture

Entre 1 500 et 3 000 personnes, dont de nombreux élus, ont réclamé ce matin la réouverture des Urgences de l'hôpital de Valognes.

Entre 1 500 personnes, selon la gendarmerie, et 3000, selon les organisateurs, se sont réunies à 11h ce matin dans la mairie de Valognes pour défendre les Urgences de Valognes.Des milliers de manifestants réclament la réouverture

Elles répondaient à l'appel de l'Association citoyenne de défense de l'hôpital public du Cotentin.

La population, les agents du centre hospitalier, et de nombreux élus locaux étaient présents. Notamment Stéphane Travert, député socialiste de Coutances-Valognes, Philippe Gosselin, député LR (ex-UMP) de Saint-Lô, Jean-Michel Houllegatte, maire de Cherbourg et un nombre certain de maires et présidents de communautés de communes du Nord-Cotentin.

Les Urgences de l'hôpital public de Valognes sont fermées depuis le 6 août, faute de médecin pour assurer leur fonctionnement.

L'ARS, l'Agence régionale de santé, est soupçonnée par l'ensemble de la population, et la plupart des élus locaux, d'utiliser ce prétexte pour fermer définitivement ce service comme elle a tenté de le faire plusieurs fois.

.Après une prise de parole de Rémi Besselièvre, président de l'association de défense, et de Jacques Coquelin, maire de Valognes (intervention enregistrée, il est en vacances), les manifestants se sont rendus dans le calme jusqu'à l'hôpital de Valognes.

Le rassemblement s'est dispersé ensuite.

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