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29 juin 2015 1 29 /06 /juin /2015 17:08

Jeudi, un appel à la grève a été lancé par la CGT de l'hôpital qui a invité le personnel à échanger sur les suites à donner face aux orientations de l'Agence régionale de la santé, applicables en janvier 2016 et ses conséquences sur le devenir du centre hospitalier.

« M. Riant, directeur de l'hôpital, a réuni le 5 juin, les cadres, chefs de pôles et représentants du personnel pour annoncer que le personnel devrait travailler à la création d'un centre de périnatalité (suivi et suite d'accouchements), à la place de notre service gynécologie-obstétrique, à la réflexion d'une autre organisation de la chirurgie, en développant l'ambulatoire et en supprimant la chirurgie complète. Sous le prétexte d'un état financier catastrophique de l'hôpital (2 millions d'€ de perte en 2013, 2,3 en 2014), la seule solution est de supprimer ces services non rentables et de se tourner vers la personne âgée, un marché porteur. Nous subissons aujourd'hui, un sous-financement qui ne nous permet plus aujourd'hui d'honorer les cotisations patronales envers l'URSSAF. Il faut que la directrice de l'agence régionale débloque immédiatement une enveloppe afin de régulariser ces obligations. Aucune banque ne répond aux besoins de l'hôpital pour une nouvelle ligne de trésorerie ainsi que pour rénover et entretenir notre patrimoine »,explique Marc Provost, délégué CGT.

Une motion

Une motion a été votée par une partie du personnel présent et a été remise à la direction de l'hôpital au moment même où arrivait Yves Riant, directeur de l'hôpital. « Je suis un gestionnaire. Il y a un déficit qui se cumule. C'est facile de demander de l'argent à l'Etat mais nous ne sommes pas les seuls. Les solutions ne sont pas faciles pour le maintien des activités car aujourd'hui, ça ne marche plus. Un jour même, on ne sera plus payés. On ne peut plus investir avec un minimum de travaux. En tant qu'individu et citoyen, je suis pour le maintien de la maternité et du plateau technique mais si on nous oblige à les fermer ou à transformer ces activités, on doit se préparer aux difficultés de ces fermetures et je suis là pour préparer l'avenir car 95 emplois sont en jeu ».

Le conseil de surveillance de l'hôpital s'est réuni hier après-midi. Véronique Louwagie, député-maire et présidente du conseil de surveillance, a déposé une motion « pour le maintien de l'ensemble des services, qui a été votée a l'unanimité », révèle la député-maire. Une pétition,« Défendons l'hôpital de L'Aigle », est en ligne depuis hier sur le site internet de la Ville.

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24 juin 2015 3 24 /06 /juin /2015 14:14

Ce 25 Juin 2015 à l’appel des Fédérations des services publics CGT, FAFP, FO, FSU et Solidaires, les TSE (Travailleurs Socio Educatifs) seront mobilisé-es avec le soutien d’ « Avenir Educ » et des Instituts de Formation en Travail Social.

Ce 25 juin les Fédérations CGT, FO et SUD des secteurs sanitaires et sociaux appellent aussi les salarié-es du public, du privé, du sanitaire du médico-social, de l’animation et de l’accueil à se mettre en grève.

Ces appels sont rejoints par l’Union Syndicale de la Psychiatrie, le Collectif Notre Santé en Danger, … Tous les cortèges feront jonction à Paris, place des 5 Martyrs du lycée Buffon vers 11h, mais partout en France, dans les régions, des manifestations, des actions de même nature auront lieu.

Il s’agit pour tous ces secteurs, piliers de la solidarité et de la cohésion sociale, de protester contre les politiques qui mettent à mal leur activité et le service rendu au public.

Nous exigeons :

-l’abandon de la refonte de la formation aux métiers du social, le retour à des formations professionnalisantes pour les métiers du sanitaire et du social, l’abandon des attaques contre les 35h et sur les organisations du travail menées dans l’ensemble de nos secteurs, l’abandon du pacte de responsabilité et les économies infligées au sanitaire et au médico-social, sans parler des lois Macron 1 et 2 et de l’accord dit de « sécurisation de l’emploi ».

-l’arrêt des restructurations de nos secteurs (fusion de syndicats patronaux, groupements hospitaliers…) qui se font au détriment des salarié-es et de la qualité de nos services.

Nous attendons une loi cadre pour le sanitaire et le social en rupture avec la loi HPST et le projet de loi santé, une loi concertée avec les professionnel-les et les élu-es qui soit à même de redynamiser nos secteurs dans l’esprit qui avait prévalu à leur genèse à la Libération.

La Fédération SUD Santé Sociaux espère que ce message sera entendu, faute de quoi la rentrée de septembre sera mouvementée.

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24 juin 2015 3 24 /06 /juin /2015 14:00
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24 juin 2015 3 24 /06 /juin /2015 11:11
Une soixantaine de personnes a bloqué le conseil de surveillance du centre hospitalier des pays de Morlaix. | Ouest-France
Une soixantaine de personnes a bloqué le conseil de surveillance du centre hospitalier des pays de Morlaix. | Ouest-France

A l'appel de l'intersyndicale (CFDT, CGT et SUD santé), une soixantaine de personnes bloque le conseil de surveillance du centre hospitalier, ce mercredi matin.

Une soixantaine de personnes s'est mobilisée pour bloquer le conseil de surveillance du centre hospitalier des pays de Morlaix. Ils dénoncent la dégradation de leurs conditions de travail, alors que la feuille de route de la direction prévoit d'importantes économies.

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24 juin 2015 3 24 /06 /juin /2015 11:01
Communiqué de presse du Syndicat de la Médecine Générale

Le SMG, Syndicat de la Médecine Générale appellent ses adhérents et les citoyens à s'associer aux manifestations du 25 juin 2015 dans les grandes villes de France. Manifestations organisées par les syndicats de salarié(e)s du secteur médico-social contre la politique d'austérité du gouvernement en matière de santé et de protection sociale.

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23 juin 2015 2 23 /06 /juin /2015 10:05

Les données brutes déposées par les établissements ont peu de signification en elles-mêmes : en revanche, elles illustrent des situations vécues dans les structures, la sensibilisation des acteurs et l’encouragement aux actions de prévention. C’est la raison pour laquelle l’ONVS engage depuis sa création des efforts importants de mobilisation des établissements afin que la plateforme de déclaration soit davantage utilisée.

Ainsi, l’ONVS encourage à l’exhaustivité en incitant les établissements à déclarer systématiquement les faits de violence afin de mieux connaître le phénomène et de mieux le traiter. Par son biais, le ministère s’investit pour une baisse des situations de violence tout en encourageant une hausse des déclarations de violence : en effet, plus le nombre de signalements est important et plus la parole des professionnels ainsi que leur refus de la violence s’expriment.

Les données recueillies doivent donc être appréhendées avec précaution : le nombre de signalements ne reflète pas la dangerosité d’un lieu de soins mais le nombre de fois où les professionnels ont signalé. Ceci est très variable d’un établissement à l’autre, d’un service à l’autre au sein d’un même établissement, voire au sein d’un même service de soins, d’une année à l’autre. Par ailleurs, les éléments statistiques présentés dans le rapport annuel sont issus des signalements des établissements eux-mêmes sur la base du volontariat. Ils ne prétendent pas à l’exhaustivité mais présentent les incidents que les services ont tenu à signaler.

Les chiffres clés 2013
  • 12 432 signalements d’atteintes aux personnes et aux biens (contre 11 021 en 2012), effectués par 353 établissements (contre 352 en 2012)
  • 2 catégories pour les signalements : les atteintes aux personnes (72% soit 9 387 signalements) et les atteintes aux biens (28% soit 3 685 signalements). A noter que dans la logique d’un système déclaratif, les établissements font remonter majoritairement des atteintes aux personnes, type d’atteinte le plus mal ressenti par les personnels et pour lequel ils sont souvent le moins bien préparés.
  • parmi les services déclarant le plus de faits de violence, la psychiatrie (24%), les urgences (14%), la médecine (9%) et la gériatrie (9%), ces chiffres reflétant une quasi stabilité depuis quelques années.
  • 20 778 victimes recensées en 2013, dont 78% de professionnels
  • 9 852 auteurs de violences aux personnes, dont 90% de patients, de visiteurs ou d’accompagnants. Dans 25% des cas, la cause portait sur la prise en charge d’un patient, dans 5% sur un temps d’attente jugé excessif, dans 5% sur l’alcoolisation déclarée la cause de la violence et dans 4% sur un refus de prescription.
  • 2 257 dépôts de plainte et 260 mains-courantes : 29% de ces démarches concernaient des faits d’atteintes à la personne.

Par le biais de nombreuses visites sur le terrain, l’ONVS travaille directement et individuellement, sur demande, avec les établissements afin de poser un diagnostic de situation, d’identifier des solutions « sur mesure » parmi le panel à disposition, d’aider à prévenir et à gérer les situations de violence auxquelles ils sont confrontés. Par ailleurs, des mesures existent pour, d’année en année, faire reculer les situations de violence dans les hôpitaux et les cliniques.

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23 juin 2015 2 23 /06 /juin /2015 09:52

« Au vu la situation de plus en plus dramatique que nous connaissons au plan national, nos fédérations CGT, FO et Sud ont lancé un appel à la grève le 25 juin », explique René Sale, UD FO. Un mouvement qui aura lieu alors que, dans le même temps, se dérouleront au Pharo les États Généraux de l’AP-HM. « Nous nous rassemblerons à 9h30 sur le Vieux-Port pour aller au Pharo où nous demanderons à être reçu par Paul Castel, le directeur de l’Agence régionale de santé, pour réclamer le retrait du retour à l’équilibre financier ». Un retour à l’équilibre qui arrive « dans une situation déjà insupportable et qui va mettre en cause la survie même de l’hôpital public », considère Gérard Avena, Sud Santé. Et de plaider : « pour une annulation de cette dette pour laquelle ni les Marseillais, ni le personnel, ne sont pour quelque chose ».
Danielle Ceccaldi, CGT AP-HM dénonce : « On vit des moments difficiles dans la santé et cela se passe dans un contexte où il n’y a jamais eu autant d’attaques contre les droits des salariés ». « On parle, poursuit-elle, de 22 000 suppressions de poste dans les hôpitaux sur l’ensemble du territoire.Les établissements de Martigues, Aubagne, La Ciotat, Arles, l’AP-HM sont en difficulté. Partout on parle de fermeture, et cela se passe dans un département où l’on compte plus de lits privés que publics ».
De son côté Audrey Jolibois, FO AP-HM, espère « la venue le 25 juin de la ministre de la Santé. La dernière fois qu’elle devait venir elle a finalement renoncé. Pourtant nous aimerions la rencontrer afin de lui dire que Marseille doit être traitée de façon équitable. A Paris l’indemnité de résidence est prise en charge par l’État contrairement à Marseille, résultat un coût de 8,5 millions d’euros pour l’AP-HM. Et puis, pourquoi ne pas espérer un petit chèque pour Marseille ? ». « On détricote, s’insurge-t-elle, le service public, on crée des déserts médicaux ».
Les conditions de travail sont de plus en plus dures selon Danielle Ceccaldi : « Il y a de plus en plus de conseils de discipline. Des gens sont virés. On travaille sans moyens matériel et humain. On vous téléphone à 23 heures pour vous dire qu’il faut venir le lendemain matin. On fait maintenant des astreintes gratuites et des heures supplémentaires non payées et après on s’étonne qu’il y ait de l’absentéisme ».
Audrey Jolibois enchaîne : « Il arrive qu’une infirmière se trouve seule pour 30 patients. Dernièrement, à l’Hôpital Nord, une infirmière, seule, a dû faire le choix entre deux urgences, elle a fait le choix de l’âge et la personne la plus âgée est décédée le lendemain. Et on s’étonne que l’infirmière soit absente mais vous imaginez dans quel état d’esprit elle se trouve ? ».
Pour Gérard Avena : « On n’utilise plus aujourd’hui le mot de flexibilité, on parle de mutualisation, de polyvalence. Il faut que les patients le sachent, ils peuvent se trouver avec un infirmier qui n’est pas habitué au service. Ce n’est pas parce que la pathologie peut être la même, que le service structuré de la même façon ». Et René Sale de dénoncer la logique des futurs groupements hospitaliers de territoire qui verrait le personnel susceptible de se déplacer sur l’ensemble du territoire concerné... ainsi que les patients. « Une personne ayant subi un AVC à Briançon devra se rendre à Aix et, comme on considère que l’hélicoptère coûte trop cher, on parle de faire le trajet en ambulance ». Et de conclure : « Nous sommes déjà dans une telle situation que, par le jeu des réquisitions, il y a plus de personnel les jours de grève qu’en temps normal ».

Source: destimed.fr

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23 juin 2015 2 23 /06 /juin /2015 09:48
Eu: Une grève prévue jeudi 25 juin devant l'hôpital

Le personnel soignant du centre hospitalier annonce une grève jeudi 25 juin, de 13 h à 15 h, devant les locaux. Leur but ? Obtenir le soutien des élus et de la population face aux craintes sur l'avenir de la structure.

« Hôpital en danger. Population sacrifiée ». Le slogan est simple, les craintes réelles. Les représentants syndicaux du personnel appellent à la grève, le jeudi 25 juin, de 13 h à 15 h, devant l’établissement de santé.

Les causes ? Elles sont nombreuses. Parmi les revendications : « le retrait du pacte de responsabilité et du projet de loi santé. L’abandon de toutes les mesures d’économies qui asphyxient les établissements et les services. Le maintien de tous le spostes et l’embauche d’effectifs qualifiés en mesure de répondre aux besoins de la population avec des conditions de travail décentes. Et l’augmentation générale des salaires ». Mais c’est surtout l’annonce de la fermeture de 18 lits de médecine pour la saison estivale qui inquiète.

« Pas de promesse de réouverture »

« Un mouvement national intersyndical CGT/FO/Sud était prévu le 25 juin, et nous avions prévu d’y participer. Nous n’avions rien envisagé localement » explique Sylvie Saint-Yves, secrétaire de la section CGT au centre hospitalier eudois. « C’était avant d’apprendre mercredi dernier la fermeture de 18 lits à partir du 1er juillet pour l’été ». Un fait qui, d’après la syndicaliste, ne s’était jamais produit auparavant dans la ville royale. « C’est courant dans les grands centres, mais pas chez nous. Officiellement, ils seront fermés jusqu’au 20 septembre. Mais nous n’avons pas reçu à ce jour la certitude que tous les lits seront rouverts après cette date ».

Cette décision a été justifiée par la nécessité de faire des économies. « Comme ça, on n’embauche pas de personnel de remplacement. Et le personnel de médecine sera redispatché dans les autres services. Honnêtement, je ne pense pas que les économies seront très importantes ». Autre inquiétude mise en avant par le syndicat :

« Que l’ARS réagisse »

Les futurs grévistes en appellent donc au soutien des élus et de la population. « Si on ne se mobilise pas, il ne restera bientôt plus que l’EHPAD. On souhaite au moins que l’Agence Régionale de Santé (ARS) réagisse. On l’impression d’être sacrifiés ». Allant plus loin, Sylvie Saint-Yves explique : « nous avons peur qu’un projet de fermeture se mette en place doucement, qu’on ne nous ait pas tout dit ». Le personnel a rencontré la direction et a pu posé ses questions. « On jette pas la pierre à notre direction. Elle aussi a des directives et des ordres à respecter. Nous savons bien qu’il s’agit d’une volonté gouvernementale de réduire les dépenses publiques. Tous les établissements y seront contraints. Nationalement, 22 000 postes de la fonction hospitalière sont mis en balance, et les petites structures seront les premières touchées ».

Sylvie Saint-Yves souligne le « fort soutien des élus et des communautés de communes, qui sont derrière nous et qui veulent garder le centre hospitalier ». Elle espère que la mobilisation sera forte parmi le personnel et les habitants.

A savoir : le préavis de grève sera donc déposé vendredi et des tracts seront distribués sur le marché eudois vendredi matin. Jeudi prochain, le 25 juin, de 13 h à 15 h, les soutiens pourront signer une pétition, et les grévistes prévoient un petit espace convivial pour expliquer leurs revendications, devant le centre hospitalier eudois.

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 12:23
Projet de fermeture de lits: inquiétude à l'hôpital de Brignoles

Un projet de fermeture de lits dans les services de chirurgie viscérale et orthopédique soulève l’inquiétude notamment du personnel soignant, qui s'est invité ce jeudi après-midi à la table du conseil de surveillance.

A Brignoles, dès qu'un projet de réorganisation apparaît à l'hôpital, le spectre d'une fermeture qui a trop souvent réellement menacé refait surface.

Ainsi, une restructuration des services de chirurgie viscérale et orthopédique prévoit, dès de 1er juillet, la fermeture de plusieurs lits. De quoi faire naître une vive inquiètude, notamment chez le personnel soignant.

Ce jeudi après-midi, plusieurs dizaines d'infirmières et aide-soignantes se sont ainsi invitées à la séance du conseil de surveillance, pour exprimer leurs craintes et obtenir des réponses.

Elles craignent, à long terme, "une fermeture de l'établissement" et, plus vite, "une dégradation de la qualité des soins prodigués dans ces services, de la sécurité des patients et de nos conditions de travail".

Elles ont été reçues par la présidente du conseil de surveillance, le député-maire Josette Pons, et le directeur de l'établissement Jean-Louis Dassonville, qui ont répondu, en partie au moins, à leurs interrogations.

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 12:19
Opération escargot: les agents hospitaliers de Pierrefeu sont arrivés à Toulon

Quelque 200 agents hospitaliers de l'hôpital Henri-Guérin de Pierrefeu ont démarré une opération escargot, ce jeudi matin. Rassemblés à l'initiative d'une intersyndicale CFDT-FO-Sud, ils entendent protester contre une baisse de budget de l'établissement

Motif de cette mobilisation: la péréquation régionale décidée par l'Agence régionale de Santé en mai dernier, qui a conduit à une baisse du budget de l'établissement de 10 millions d'euros sur la période 2015-2018.

Cette baisse de moyens doit, selon Force Ouvrière, se traduire par "200 suppressions de postes sur les trois ans, dont 25 cette année".

Partis de Pierrefeu vers 9 heures, ils sont arrivés à Toulon en milieu de matinée. Sur les coups de 10h30, les quelque 80 voitures se trouvaient sur le boulevard de Strasbourg, perturbant fortement la circulation dans le sens Nice-Marseille.

Les agents hospitaliers sont ensuite arrivés à l'Agence régionale de santé, avenue Lazare-Carnot dans le centre-ville de Toulon. Ils doivent y être reçus à 11 heures.

Source: Var-Matin

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