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20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 10:33

C’était ce mardi la dernière journée de négociation entre syndicats et direction à l’hôpital de Calais. Pas d’accord en vue : le ton se durcit. La CGT, la CFDT et SUD appellent à la grève jeudi. Près de deux cents agents se sont rassemblés ce mardi dans le hall de l’établissement.

Il y a longtemps qu’on n’avait pas vu une telle mobilisation. Ce mardi, en début d’après-midi, près de deux cents agents hospitaliers se sont réunis dans le hall de l’hôpital à l’appel des trois syndicats, qui, pour l’occasion ont mis leur discorde dans la poche. Un seul mot d’ordre dans la bouche de la CGT, de la CFDT et de SUD : « Tous en grève jeudi ». La CGT, qui avait suspendu sa grève en avril, l’a réactivée lundi. La CFDT et SUD ont déposé leur préavis. Les choses sont claires, aucun des trois n’entend lâcher la pression concernant l’accord sur les RTT. C’était la troisième et dernière journée de négociation sur le sujet. La réunion a duré quarante-cinq minutes avec le directeur Martin Trelcat. Au sortir, point d’accord en vue. « Au bout de ces trois réunions de négociation nous sortons dépités, lance aux agents Catherine Meyns, représentante de la CFDT, signataire de l’accord sur les RTT en 2002. Nous avons besoin de votre soutien pour faire bouger les choses et ne pas être spectateurs de la perte de nos acquis. »

Même son de cloche dans la bouche de Christian Boulanger pour la CGT : « Nous avons pris sur nous avec la CFDT pour nous réconcilier dans votre intérêt. Venez défendre votre pain quotidien en vous déclarant gréviste jeudi. » Valérie Gorré pour SUD « n’a pas grand-chose à ajouter sinon de défendre les acquis ».

Ce jeudi, les syndicats seront présents dans la hall de l’hôpital dès le début de la matinée. L’appel à la grève se fait en solidarité avec les agents des hôpitaux de Paris, qui protestent aussi contre le projet de réforme des 35 heures. « On prévoit également d’aller à l’hôtel de ville parce que nous avons sollicité un rendez-vous avec Natacha Bouchart (présidente du conseil de surveillance) que nous n’avons pas eu. », souligne Catherine Meyns.

Augmentation de prime, garde d’enfants, conciergerie : les contreparties de la direction

Si, par la grève, les syndicats entendent maintenir la pression sur la renégociation de l’accord sur les RTT, la marge de manœuvre est néanmoins restreinte puisqu’en théorie le directeur de l’hôpital n’a, depuis la loi Bachelot, plus besoin de la signature des syndicats pour valider le texte qu’il propose. Pour autant, Martin Trelcat explique vouloir éviter cette issue mais se trouver dans l’impasse. « Les syndicats m’ont fait des contre-propositions diamétralement opposées à ce que j’ai proposé. Il faut se rendre compte que la majorité des établissements de santé sont à 37,5 heures avec 15 RTT. La situation de Calais est exceptionnelle, ce n’est juste qu’un retour à la normale. C’est mon septième hôpital, c’est la première fois que je vois ça : 18 RTT, quatre jours de récupération, deux fêtes locales… Il y a beaucoup de remplacements parce qu’il y a trop de personnes absentes en même temps», explique-t-il.

Critiqué sur le nombre de contractuels au sein de l’établissement, Martin Trelcat précise que le centre hospitalier de Calais est « l’un des établissements de la région qui dispose du plus grand nombre d’agents titulaires (91 %). Le nombre de CDD est de 142 (sur 1 800) ce qui relativise la précarité de l’emploi».

« La prime zéro absence a presque doublé »

D’autres avancées sociales sont mises en avant avec la création d’une maison d’assistantes maternelles (dont les travaux commenceront en juin pour une ouverture en septembre) et avec le projet d’une conciergerie d’entreprise (avec différents services proposés aux agents : dépôt et envoi de courrier ou de colis, prise de rendez-vous…). « La prime pour zéro absence est passée de 180 à 330 euros», souligne encore Martin Trelcat. Après la réunion d’hier, il fera connaître sa proposition définitive dans les jours ou semaines qui suivront. « Si elle n’est pas acceptée par les syndicats, je déposerai un constat d’échec des négociations, dans ce cas la proposition du directeur s’impose.» Le protocole sera soumis aux instances les 23 et 30 juin pour une mise en application prévue au 1er janvier.

Les raisons de la colère

La direction et les syndicats sont autour de la table des négociations pour revoir le protocole local sur les RTT, signé en 2002. Dans la proposition de la direction et afin d’avoir davantage d’agents présents chaque jour dans les services, la journée de travail serait réduite de six minutes, soit à 7 h 30. Ainsi, le nombre de RTT passerait de 18 à 15. Des temps de transmissions seraient aussi supprimés. Un tiers des 1 800 agents perdraient alors neuf jours de RTT ou de récupération, deux tiers trois jours de RTT. Les deux jours de fête locale, qui seraient également perdus, sont aussi un point de crispation. Parmi les autres sujets, les syndicats réclament la titularisation de certains agents.

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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 10:20

Touraine souligne l’attachement du gouvernement aux 35 heures « à l’hôpital comme ailleurs »

« Je veux rappeler solennellement que le gouvernement est attaché aux 35 heures, à l’hôpital comme ailleurs. Il n’est pas question de remettre en cause leur cadre réglementaire », a déclaré ce mardi Marisol Touraine à l’occasion de l’ouverture des salons santé autonomie à Paris.

Sous le regard de Frédéric Valletoux et de Gérard Vincent, respectivement président et délégué général de la Fédération hospitalière de France (FHF), et devant un parterre d’une centaine d’administratifs et d’hospitaliers, la ministre de la Santé a souhaité que le chantier de la réforme du temps de travail à l’hôpital, tout juste ouvert par l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP), soit traité de « manière exemplaire ».

Alors qu’une grève des personnels de l’AP-HP est prévue ce jeudi, Marisol Touraine a pris de la hauteur en rappelant que « Paris n’est pas la France ». « Chaque établissement est responsable de la manière dont il met en œuvre ce cadre » horaire réglementaire, a-t-elle pris soin de préciser. Adoptant une position d’arbitre, Marisol Touraine a assuré qu’elle « veillera […] au respect des droits des salariés comme aux conditions du dialogue social. »

La FHF soutient Hirsch, patron de l’AP-HP

Pour sa part, Frédéric Valletoux a réaffirmé son « plein et entier soutien » à Martin Hirsch, patron de l’AP-HP, en proie à la contestation sociale avant même d’avoir entamé les négociations sur les 35 heures avec les partenaires sociaux (prévues à partir du 28 mai).

Le président de la FHF a également demandé à Marisol Touraine la réunion d’une conférence nationale sur l’organisation du temps de travail « pour fixer un cadrage national et marquer très clairement une volonté politique sur ce sujet essentiel ». « Les professionnels de santé sont épuisés, a-t-il indiqué. Ils n’en peuvent plus des RTT accumulés et des jours de repos accordés ou non à la dernière minute. » Selon lui, « ce serait une erreur de refuser d’ouvrir ce débat ».

http://www.lequotidiendumedecin.fr

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20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 09:47
AP-HP leur combat est le nôtre !

Martin Hirsch, Directeur Général de l'AP-HP, avec le soutient de la Fédération Hospitalière de France, a entamé une croisade visant à supprimer ou réduire fortement les jours de R.T.T de 75000 agents de la Fonction Publique Hospitalière.

Face à cette offensive patronale sans précédent, nous apportons notre soutient à la résistance syndicale car leur combat est le nôtre !

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Published by sud-chu-caen
15 mai 2015 5 15 /05 /mai /2015 08:40
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Published by sud-chu-caen
14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 10:08

En ce jour où dans un discours à la nation le Président de la République François Hollande se réclame des valeurs du conseil national de la résistance, l'USP est prête à en soutenir et faire vivre dans sa cohérence son orientation notamment pour ce qui concerne la santé. Dans cette perspective, Monsieur Hollande ne peut que dénoncer avec nous ce gouvernement qui, soutenu par une majorité de députés de droite comme de « gauche » se détourne de ses principes fondateurs, alors que la richesse nationale est sans commune mesure avec celle de l'après-guerre. Il ne peut que dénoncer avec nous l'abandon du principe de solidarité et l'aggravation organisée des écarts dans la répartition des richesses. Avec l'USP, engagée depuis 2011 dans le collectif Notre Santé en Danger, le frémissement critique que constitue « la charte pour une Santé Solidaire » nécessite pour nous convaincre d’aller nécessairement plus loin en soutenant notre socle commun signé par une cinquantaine d'organisations et associations.

- Supprimons tous les parcours d'humiliation et de suspicion pour les populations précaires.

- Coupons court à la dérive assurantielle et de privatisation de la Sécurité sociale. Revenons aux principes de solidarité contre le « à ma guise » qui n'a d'autre but que l'opposition et la divisions des citoyens.

- Organisons progressivement de « vraies économies » du côté de la bureaucratie, de la gestion et de la comptabilité aveugle liée à cette discrimination, pour les réorienter vers les soins.

- Exigeons un audit du coût direct et indirect (gestion, détournement, amputation et appauvrissement des soins) de l'actuel financement de l'hôpital.

- Exigeons une vraie réforme du financement pour un service public de santé et l'abandon d'une association budget activité (T2A), notamment en psychiatrie où la simple idée d'une mise en œuvre a déjà provoqué des dégâts considérables. Engageons-nous pour une véritable lutte contre le renoncement aux soins. Avec le collectif NSED, défendons le 100 % Sécurité sociale pour tous.

Pour le Conseil National : Pierre Paresys

Vice-président Délégué NSED

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 10:01
Marche Mondiale des Femmes

Le programme de la Marche Mondiale des Femmes qui se tiendra à Tours les mardi et mercredi 2 & 3 juin

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Published by sud-chu-caen - dans Elles
14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:39
Les syndicats de l’hôpital de Saint-Denis veulent saisir le défenseur des droits

La coupe est pleine au service pédiatrie de l’hôpital Delafontaine à Saint-Denis. Le personnel était en grève ce mardi, pour la première fois. Deux cents personnes se sont ralliées à l’appel des syndicats, CGT CFDT et SUD.

Pour Stéphane Degli’Innocenti, délégué SUD, beaucoup d’indicateurs sont au rouge et les moyens humains et financiers ne suivent pas. Il cite la mortalité infantile « plus élevée que la moyenne régionale. Or sur le terrain, les moyens ne sont pas à la hauteur ».

Département défavorisé, la Seine-Saint-Denis et notamment Delafontaine accueillent toujours plus de patients précaires. « Ils représentent un tiers des séjours hospitaliers, poursuit-il, alors que l’enveloppe réservée aux situations précaires est gelée depuis 2010 et la dotation attribuée à la pédopsychiatrie est loin de couvrir les besoins de notre territoire ».

Face à cela, ils mettent en évidence la progression des admissions + 7 % et le boom des naissances sur trois ans, de + 30 %. Après le mouvement de grève ils ont décidé de programmer d’autres actions. La plus symbolique sera certainement la saisine du défenseur des droits et le dépôt symbolique d’un recours pour discrimination territoriale, le mois prochain.

A l’AP-HP, les syndicats boycottent les réunions sur les 35 heures

Pour mener à bien la renégociation des 35 heures, Martin Hirsch, le patron de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), va devoir engager un bras de fer avec les syndicats. Une semaine après l’annonce de son projet de réforme et à dix jours d’une grève riposte, le cycle de réunions qu’il a entrepris cette semaine avec les représentants du personnel pour dresser un « état des lieux » risque d’être abrégé. CFDT, CGT, FO et SUD-Santé : tous ont décidé de boycotter les rencontres. « Quand nous avons eu connaissance de son calendrier, nous avons fait savoir à Martin Hirsch qu’il n’était pas question d’accepter de négocier dans des conditions imposées », explique SUD-Santé. L’organisation assure aussi avoir « depuis belle lurette procédé à l’état des lieux, avec les salariés, de la dégradation de nos conditions de travail ».

Source: leparisien.fr

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:19

À la suite de l’adoption par les députés d’un amendement au projet de loi de santé visant à supprimer l’Ordre national des infirmiers, son président Didier Borniche s’est assuré du soutien de Matignon, de l’Élysée et de 25 organisations professionnelles du monde de la santé (en majorité infirmière) afin de rétablir cette instance dans le texte de loi lors du débat au Sénat.

« Le gouvernement souhaite le rétablissement juridique de l’Ordre », a ainsi assuré le chef de cabinet de Manuel Valls dans une lettre adressée au Conseil international des infirmiers (dont la France est membre) et datée du 6 mai, que s’est procurée le « Quotidien ». Marisol Touraine « veillera à ce que cette position soit entendue dans la suite de la discussion parlementaire », insiste Matignon.

Bon sens

Dans une autre lettre adressée le même jour à la même instance, le chef de cabinet de François Hollande précise que l’amendement voté dans la nuit du 9 au 10 avril avait reçu un avis défavorable du gouvernement. « Marisol Touraine a réaffirmé son soutien à l’Ordre national des infirmiers en saluant notamment le travail d’apaisement accompli par la nouvelle équipe », lit-on.

« J’ai bon espoir que le bon sens l’emportera et que le Sénat réinscrira dans le projet de loi de santé le rétablissement de l’Ordre infirmier », veut croire Didier Borniche après avoir cité ces deux courriers devant la presse ce mardi, en présence de 25 organisations réunies aux côtés de l’Ordre infirmier pour la Journée internationale de l’infirmière.

Prudence de Marisol Touraine

Voté par 19 voix contre 10, l’amendement de suppression défendu par la députée apparentée socialiste Annie Le Houerou (Côtes-d’Armor) avait reçu le soutien du groupe communiste et écologiste. Marisol Touraine s’était prudemment prononcé contre. À plusieurs reprises pourtant, la ministre de la Santé a fait preuve de scepticisme sur la légitimité de l’adhésion obligatoire à cet ordre professionnel mis en place sous le précédent gouvernement.

Selon ses chiffres, l’Ordre national des infirmiers recense 170 000 inscrits (sur 600 000 infirmiers en exercice), 1 200 élus de terrain et salarie 70 collaborateurs.

Source:lequotidiendumedecin

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:10

Je demande l'arrêt, sans sanction, des procédures disciplinaires engagées contre ces deux soignantes ; j'exprime mon refus inconditionnel de toute forme de discrimination au sein de l'entreprise Korian-Medica ; et j'exprime le souhait que des dysfonctionnements, des souffrances et des difficultés professionnelles au travail puissent être communiquées librement.

Résumé de la situation : le 7 mai 2015, peu de temps aprés que de nombreux salarié-e-s du Champ de Mars se soient mis en gréve pour revendiquer notament des pratiques manageriales assainies, deux de ces salariées ont fait l'objet de procédures discpliniaires (dont une avec mise à pied conservatoire) juste aprés avoir fait remonter des problémes manageriaux pour l'une et de santé pour l'autre qui est travailleuse handicapée.

Pour envoyer ce formulaire, remplissez-le dans Google Forms

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 08:56

Bonjour à toutes et tous,

Sur la région ile de France, L'hôpital Ste-Anne, l'hôpital de Maison-Blanche, l'hôpital de Perray-Vaucluse, les Hôpitaux de Saint-Maurice (anciennement l'hôpital Esquirol) et l'Association en Santé Mentale du 13ème (ASM13), ont en charge l'ensemble du territoire parisien pour la psychiatrie adulte et la pédopsychiatrie.

L'ARS nous a imposé une Communauté Hospitalière de Territoire (qui préfigure les GHT qui s'imposeront partout avec la loi Touraine).

En clair les tutelles sont en train de fusionner et de démanteler ces 5 structures. C'est environ 8000 agents qui sont en train d'être regroupés dans une usine de soins psychiatriques. Les conséquences sont catastrophiques pour les usagers et les salariés :

- destruction de la politique de secteur en psychiatrie au profit du territoire

- fermetures par fusion de nombreux services techniques, administratifs, logistiques ou de soins

- licenciement de tous les agents non titulaires et mobilité forcée des titulaires sur l'ensemble du territoire

- délocalisation des services d'hospitalisation sur paris avec diminution du nombre de lit

- revente des bâtiments des sites hospitaliers d'origines une fois vidés

- fusion des structures extra-hospitalières, avec un CMP pour 200 000 habitants (actuellement un CMP c'est 70 000 habitants)

- conditions de travail fortement dégradées, dans des immeubles inadaptés sans espaces extérieurs, ni parcs ou jardin, et disparition des services complémentaires comme les services d'esthétiques et de coiffure, les cafétérias ou les services des sports...

- capacité d'hospitalisation insuffisante, entraînant des conditions d'accueil dégradées, des sorties prématurées...

- afflux de patients trop important pour un nombre de lit et de soignants très réduit...

- harmonisation des pratiques avec mise en place de protocole par pathologie afin à terme d'instaurer la T2A

- suppression des acquis sociaux, et mise en place des mêmes mesures que celles annoncées pour l'APHP

Etc...

Les Sections SUD des 4 hôpitaux Ste Anne/maison-banche/Perray-Vaucluse/ les HSM, ont lancé un mouvement contre le démantèlement et la fusion de leurs hôpitaux.

La CGT s'est ralliée à notre initiative.

L'information massive aux salariés des 4 hôpitaux dans la lutte est en cours. Des AG ont été programmées dans chaque hôpital, une première AG à eu lieu le 7 mai pour l'hôpital de Perray -Vaucluse, l'unité la plus large à été demandée par les salariés, ainsi que l'accélération du mouvement pour faire des actions efficaces.

Nous avons besoin de soutien car ce qui nous arrive est monstrueux et n'est que l'exemple de ce qui va se passer pour tous les hôpitaux publics. Aussi, nous souhaiterions que des représentants fédéraux soient sur le dossier pour nous aider à organiser le mouvement, le relayer, et nous apporter un soutien matériel et humain.

Les sections SUD Santé-Sociaux des 4 hôpitaux.

 La psychiatrie Parisienne en danger !
 La psychiatrie Parisienne en danger !
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