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21 avril 2015 2 21 /04 /avril /2015 10:13
Suppression de l'Ordre infirmier : Annie Le Houérou argumente

Annie Le Houérou, députée des Côtés d'Armor (PS), a porté, dans le cadre de la Loi Santé, l'Amendement 517 supprimant l'Ordre des infirmiers. En séance publique dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, elle a exposé ses arguments. Nous la remercions d'avoir accepté de les partager avec la communauté d'Infirmiers.com

La loi du 21 Décembre 2006 portant création de l’Ordre National des Infirmiers (ONI) avait à l’époque suscitée de vives réactions émanant des infirmiers dont la majorité d’entre eux, 80 % s’opposaient à la création d’une structure ordinale ainsi qu’à l’obligation d’y adhérer.

En 2008, seulement 30 000 infirmiers ont voté lors des élections nationales et force est de constater qu’en 2014 soit 8 années après sa création l’ordre ne recueille toujours pas l’assentiment des professionnels de santé puisque seulement 161 087 infirmiers sont inscrits à l’ONI malgré la très forte incitation faite auprès des nouveaux diplômés, alors que près de 595 000 professionnels sont recensés.

Les élections des conseils régionaux qui ont eu lieu le 29 Janvier 2015, n’enregistrent guère plus de votants dans la mesure où le taux de participation est de 22 %.

Au cours des nombreuses auditions que j’ai menées dans le cadre du groupe de travail SRC à l’Assemblée, il apparait que l’ordre des infirmiers n’est pas représentatif de la profession et crée des tensions au sein d’une profession qui a besoin de se rassembler. Les arguments portés par les professionnels sont : une gestion contestée de l’ordre, un défaut de représentativité et de transparence, un constat d’insuffisances dans l’exercice de ses missions.

Cet amendement a donc pour objet d’apaiser les conflits au sein d’une profession très divisée. Par respect et reconnaissance du rôle essentiel dans la chaîne de soins du métier d’infirmier, il devient urgent de clarifier une situation juridique extrêmement précaire. En effet, 80 % des infirmiers ne sont pas inscrits à l’ONI ce qui met plus de 430 000 professionnels en situation de « pratique illégale » avec des contentieux préjudiciables y compris pour les patients.

Certaines des missions dévolues à l’Ordre mobilisent un budget conséquent et n’apparaissent pas opportunes. Elles pourraient être confiées à des instances déjà existantes et compétentes en la matière. La suppression de l’Ordre suppose donc d’apporter des précisions règlementaires sur le partage des compétences de chaque organisme. De même la situation des salariés devra être étudiée pour qu’ils puissent trouver leur place dans ces instances.

  • La garantie des « bonnes pratiques » pourrait être rendue par la Haute Autorité de Santé et le Haut Conseil des Professions Paramédicales (HCPP) qui émettent déjà un avis sur ces questions.
  • La prise en compte du patient dans sa globalité en le plaçant au cœur d’un parcours de soins et d’accompagnement plaide pour une réflexion pluridisciplinaire et transversale des compétences à mobiliser autour de ses besoins.
  • La régulation de la profession, le recensement et suivi démographique pourraient être assurés par les Agences Régionales de Santé en lien avec le fichier ADELI et le RPPS (répertoire partagé des professionnels de santé).
  • L’évolution de la profession, et son positionnement dans le parcours de soin pourrait relever de la compétence du Haut Conseil des Professions Paramédicales.

Nombres de professions de santé exercent tous les jours à raison uniquement de leur diplôme. La vérification des garanties « de compétence, de moralité et d’indépendance » requises pour l’exercice de la profession sont effectives à l’inscription à la formation après que les contrôles d’identité de de casiers judiciaires aient été effectués. Seule la détention d’un diplôme d’état venant sanctionner une formation initiale, conditionne le droit à l’exercice de cette profession. C’est le cas des ergothérapeutes, des orthoptistes ou encore des psychomotriciens mais aussi des infirmiers puisque la plupart d’entre eux ne cotisent pas à l’Ordre.

Quant au contentieux, les tribunaux de droit commun pourraient juger de ces affaires en lien avec les ARS sur le précontentieux.

Il s’agit de redonner à chacun sa liberté, une valeur qui est fortement revendiquée par les professionnels de santé pour l’exercice de leur métier. De plus, la Liberté d’association est un droit fondamental en France. Les infirmiers qui souhaitent poursuivre les actions de l’Ordre actuel ont toute latitude pour le faire sous forme d’organisation associative ou syndicale

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Published by sud-chu-caen
20 avril 2015 1 20 /04 /avril /2015 18:38

Après 5 jours de grève, la direction de l'établissement Korian Champ de Mars maintient des négociations bidon et espionne les grévistes avec des pratiques de barbouzes.

Chez Korian la répartition du chiffre d’affaire en hausse de 64% en 2014 est très simple : tout dans les poches des actionnaires, rien pour les salaires!

Je gagne 1100€ net par mois, primes de dimanche comprises, ça fait pas lourd à la fin du mois… ni même au début d’ailleurs” lâche une aide soignante. Depuis 5 jours, avec ses collègues, épuisé-es par les brimades et les vexations d’une hiérarchie tout entière dévouée au profit des actionnaires, elles et ils se sont mis en grève.

Sur place, l’équipe de direction ne semble pas considérer la force de ce mouvement, sûrement fatiguée par les tâches qu’elle assume en remplacement des grévistes : directeur d’établissement en cuisine, directeur régional des soins aux toilettes, directrice commerciale au service. De discussions en discussions, la direction avance puis recule, engagement du samedi renié le dimanche, reniements et reculs marquent les rencontres entre grévistes et direction. D’autres salariés écœurés par ces méthodes et le peu de confiance qu’elles leur inspirent, entrent à leur tour en lutte: ce dimanche ce sont les personnels de cuisine qui ont rejoint la mobilisation.

Ce mouvement par sa durée et son dynamisme impressionne. Au lieu de favoriser une sortie de crise, la direction et le siège s’obstinent, préférant l’affrontement et le recours à des méthodes de patrons voyous ! Le 19 avril, alors même que des négociations étaient en cours, Korian a eu recours à un homme de main pour espionner les grévistes et leurs soutiens. Filmant militants syndicaux et grévistes, feignant de consulter son portable, il tentait d’écouter les conversations des grévistes. Vite repéré, et visé à son tour par les portables de deux militantes syndicales, il est parti en courant. La direction interpellée à la sortie des négociations sur ces étranges pratiques, a voulu rassurer (sic!) en indiquant que cet homme n’était qu’un huissier!

La fédération SUD Santé Sociaux dénonce ces méthodes de voyous et de barbouzes.

La fédération SUD Santé Sociaux soutient l’ensemble des revendications des salariés grévistes: reconnaissance de la pénibilité du travail, paiement des heures de travail non rémunérées, appelle toutes et tous les salarié-e-s du groupe à contacter les grévistes (https://greveurschampdemars.wordpress.com), à soutenir le mouvement et exige l’ouverture de réelles négociations..

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19 avril 2015 7 19 /04 /avril /2015 09:24
Grève au Groupe Korian: La colère des salarié(e)s enfle !

Mobilisation du 17 avril 2015, plus de 85% grévistes au 3eme jour de grève. Les salarié-es déterminé-e-s sont scandalisé-e-s que l’entreprise ne consente rien sur les salaires et les effectifs.

Korian « Champs de Mars » facture ses services de 4000 à 9000€ par mois à ses résident-es alors que les salaires des soignant-es, quelle que soit leur ancienneté et avec les primes de dimanches n’excèdent pas 1300 €. Les salarié-es dénoncent par ailleurs un management archaïques infantilisant et répressif avec pour exemple un avertissement au personnel pour une cuillère ou un verre oublie...
Pour rappel Korian, premier groupe français d’établissement de personnes âgées dé-pendantes, enregistre des bénéfices records et soigne grassement ses actionnaires avec des dividendes en forte hausse.
Pour la fédération SUD Santé Sociaux il est temps de sortir d’une société au sein de la-quelle les patrimoines financiers génèrent des profits indécents au détriment des reve-nus du travail. Ce sont bien pourtant les travailleuses et les travailleurs qui sont les véritables créateurs de richesses.

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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 14:58
Ordre infirmier Chronique d’une mort annoncée

L’intersyndicale CFTC - CFDT - CGT - SNICS - FSU - SUD - UNSA Santé Sociaux se félicite de la décision prise cette nuit à l’Assemblée Nationale contre la volonté gouvernementale, adoptant l’amendement de Madame LEHOUEROU et 18 députes, en faveur de la suppression de l’ordre infirmier.

Les parlementaires ont été à l’écoute des femmes et des hommes qui travaillent quotidiennement pour assurer des soins de qualité à la population, malgré des moyens insuffisants octroyés par les politiques de santé.

L’intersyndicale s’offusque de la position du gouvernement alors que lors du salon infirmier en novembre 2013, Madame la Ministre avait confirmé son intention de rendre facultative pour les salariés l’adhésion à l’ordre infirmier dans la loi santé.

L’écoute de la Ministre reste notoirement insuffisante compte tenu de son intervention à l’Assemblée Nationale hier au sujet de l’ONI « nous avons besoin de structures qui régulent….. ».

Pour un renforcement Haut conseil des professions paramédicales

L’intersyndicale dénonce l’ONI mais soutient une proposition de régulation qui était assurée antérieurement par des structures publiques et qui pourrait être confiée au Haut conseil des professions paramédicales. Cette proposition pourrait faire l’objet d’une loi spécifique.

Un ordre rejeté

Que les élus ordinaux ayant recueilli moins de 15 % de vote des 617 000 infirmiers fassent preuve de modération et ne communiquent pas trop vite sur la possibilité que l’amendement visant à la suppression de l’ONI soit rejeté par le Sénat.

Nous demandons que le gouvernement et les assemblées tant Sénat qu’Assemblée Nationale soutiennent et respectent le vote exprimé en faveur de la suppression de l’ordre voire des ordres.

Tous ensemble et plus que jamais, nous le répétons, « les ordres même gratuits, on n’en veut pas ! »

Source: sudsantesociaux.org

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Published by sud-chu-caen - dans Ordre Infirmier
14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 10:36

En déficit, le centre hospitalier doit faire trois millions d'économies. Les syndicats craignent la perte de 80 emplois. La direction confirme des suppressions de postes.

"Le déficit cumulé depuis 2010 atteint 5 millions, explique Olivier Ferrendier, directeur du centre hospitalier. J’estime qu’il faut faire un effort de 3 millions pour revenir à l’équilibre." Pour y parvenir, le directeur envisage une réorganisation de l’hôpital général, la rationalisation du patrimoine foncier, l’optimisation des plateaux techniques ou encore "des économies dans les dépenses générales…"

Un point qui suscite la colère et l'inquiétude dans les rangs de l'intersyndicale. "Cet effort de 3 millions pourrait se traduire par l’économie de 80 emplois, lance Jean-Paul Hamel, responsable CGT. La direction va remettre à l’Agence régionale de santé un plan de réorganisation des services." Viviane Moncé, responsable CFDT poursuit : " Qui dit réorganisation dit restructuration des services."

"Il y aura forcément des suppressions d’emploi, reconnaît le directeur. Des non-remplacements de départ à la retraite et des non-renouvellements de contractuels. Mais rien n’est encore validé."

Source :ouest-france.fr

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 11:28
8ème A.G des Hôpitaux en Lutte

8 ème AG des Hôpitaux en lutte, tract ci dessous en PDF

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Published by sud-chu-caen
13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 10:41
Ordre des Infirmiers: Des salaires de directeurs !

En 2010/2011

Alors que la rémunération brut mensuelle aujourd'hui est d'environ 1580 € brut pour une ou un IDE débutant(e)........

Source:syndicatresilience.com

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Published by sud-chu-caen - dans Ordre Infirmier
13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 10:14

Selon la CGT, le centre hospitalier de Mâcon va perdre 80 lits d’ici la fin d’année. Un nombre qui n’a pas été confirmé par la direction, qui préfère parler « de virage vers l’ambulatoire ».

Jeudi, une partie des salariés du centre hospitalier de Mâcon était en grève. Dans le viseur des agents hospitaliers : la suppression de 80 lits d’hospitalisation d’ici la fin d’année au centre hospitalier de Mâcon. « Pour les usagers, il s’agit d’un obstacle supplémentaire pour l’accès aux soins et en particulier aux services publics de santé », protestent les représentants syndicaux de la CGT.

Des mesures supplémentaires de rigueur qui ont du mal à passer. Depuis plusieurs mois, la notion d’optimisation financière génère un « climat tendu » au sein de l’établissement. « Sans compter que l’hôpital est plein tous les jours », souffle un agent du centre hospitalier de Mâcon. « En hiver, lors des périodes de grippe, les patients sont dans les couloirs », déplore un autre salarié.

Sur les 80 suppressions de lits, le directeur de l’hôpital est formel. « C’est totalement faux », scande Laurent Flot-Arnould, même si d’autres agents ont confirmé ce nombre au JSL. « Rien n’a été arrêté pour la fin d’année, complète le directeur, avant d’ajouter. Nous sommes dans un projet à long terme de développement de l’hôpital, et notamment de la chirurgie ambulatoire. »

« Le virage de l’ambulatoire », ajoute même le directeur. Un mode de prise en charge soutenu par le ministère de la Santé, qui permet de raccourcir la durée d’hospitalisation. « Une source d’économies importantes pour les hôpitaux », reconnaît Laurent Flot-Arnould. Le patient arrive le matin pour être opéré le jour même et ressortir le soir. D’où une diminution progressive du nombre de lit. « Aujourd’hui, les techniques médicales et chirurgicales permettent aux patients de rentrer chez eux le soir », commente le directeur, qui entend également développer le service d’hospitalisation à domicile.

Une mesure qui peut satisfaire une catégorie de la population, pas franchement emballée à l’idée de passer plusieurs jours à l’hôpital. Mais pour les personnes les plus âgées, ou celles vivant seules, ce mode de prise en charge n’est pas toujours le bienvenu. « Je comprends les inquiétudes, rétorque le directeur. C’est pour cela que nous faisons de gros efforts pour bien préparer le retour à domicile. Notamment, en échangeant avec les proches du patient. »

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Published by sud-chu-caen
13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 08:41

HOSPIMEDIA

S'opposant au Gouvernement, une poignée de députés a adopté dans la nuit du 9 au 10 avril un article additionnel au projet de loi de Santé supprimant l'Ordre des infirmiers. Suscitant la colère de ses responsables et de l'Ordre des médecins mais la joie de ses opposants. L'examen du texte censé être voté ce mardi s'est par ailleurs poursuivi.

Coup de théâtre dans la nuit du 9 au 10 avril à l'Assemblée nationale. Examinant en séance publique le projet de loi de Santé, les quelques députés présents dans l'hémicycle ont voté par 19 voix contre 10, contre l'avis du Gouvernement, la suppression de l'Ordre national des infirmiers (Oni). C'est l'amendement n° 517, défendu par la députée Annie Le Houérou (apparentée au groupe socialiste, Côtes-d'Armor), et devenu article 30 bis A qui a été voté. Un texte qui, selon elle, a pour objet de "supprimer l'Ordre des infirmiers" mais aussi "d'apaiser les conflits". Et de pointer dans l'Oni "une mauvaise gestion (...), qui a fait l'objet d'un plan de redressement", "un défaut de représentativité et de transparence", ainsi qu'"un constat d'échec dans ses missions ou, à tout le moins, de grosses insuffisances". Par conséquent, "l'ordre crée des tensions au sein de la profession, qui a besoin de se rassembler", estime la parlementaire. Pour sa part, devant ce sujet "vieux comme la création des ordres", la ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, Marisol Touraine, a reconnu que des évolutions s'avèrent "nécessaires". Pour autant, "peut-on se passer d'un cadre institutionnel, avant que ces évolutions aient été réalisées ? Le Gouvernement ne le pense pas", a-t-elle indiqué sans toutefois être entendue lors du vote qui a suivi les échanges.

Le Cnom et le Clio prennent fait et cause pour l'Oni

Par communiqué, l'Oni a pour sa part certifié que l'Assemblée nationale n'a pas supprimé l'Ordre des infirmiers. "Les conseils national, régionaux et départementaux continuent de fonctionner et de remplir leurs missions au service des infirmiers et de leurs patients grâce à leurs bénévoles et employés". Pour son président, Didier Borniche, "si quelques députés ont manifesté leur incompréhension du rôle et des missions de l'ordre, cela ne remet en question ni la place de l'ordre dans la profession ni notre fonctionnement quotidien. Le projet de loi de Santé et l'ensemble des amendements qui ont été apportés seront discutés au Sénat et, si nécessaire, en commission mixte paritaire d'ici la fin de l'année. Nous savons pouvoir compter sur le bon sens de nombreux parlementaires y siégeant, qui nous ont déjà témoigné leur soutien." Un constat nullement partagé par le syndicat FO qui, tout en restant "prudent", a pris acte de cette décision face à un ordre qualifié par communiqué d'"inutile" et de "coercitif". Même satisfecit chez Résilience. L'organisation salue par communiqué "cette bonne nouvelle qui vise à redonner un peu de sérénité" aux infirmiers, "notamment en supprimant la précarité juridique de plus de 450 000 professionnels qui œuvrent dans l'illégalité ordinale au quotidien".

De son côté, le président du Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom), le Dr Patrick Bouet, a vivement déploré le vote des députés lors de l'ouverture de l'assemblée générale de son ordre le 10 avril. "Il suffit qu'à minuit, trente parlementaires soient présents pour que la loi soit faite", a-t-il déploré. Le médecin souhaite que le Gouvernement propose un amendement pour réinstaurer l'Oni. "Les ordres des professions de santé sont une garantie pour la sécurité de l'ensemble des citoyens dans ce pays", a-t-il insisté. Enfin, pour sa part, faisant état par communiqué d'"une véritable stupeur parmi les professionnels et leurs organisations", le Comité de liaison des institutions ordinales (Clio), association réunissant les seize ordres ou chambres de professions réglementées, demande "d'urgence audience" au président de la République.

Tract SUD Santé AP-HP ci dessous en PDF

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9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 17:05
9 avril manifestation contre la loi Macron

A l'appel des organisations syndicales CGT - FO - FSU et Solidaires, ce sont plusieurs milliers de manifestant(e)s qui ont investi les rues de Caen sous le soleil, pour dire "Non" à cette loi Macron arme de destruction sociale.

Après ce 9 avril, continuons à organiser les luttes dans l'unité, car nous pouvons gagner!

D'autres Photographies sur Résistances Caen

Manifestation contre la loi Macron 9 avril 2015 caen
Manifestation contre la loi Macron 9 avril 2015 caen
Manifestation contre la loi Macron 9 avril 2015 caen
Manifestation contre la loi Macron 9 avril 2015 caen

Manifestation contre la loi Macron 9 avril 2015 caen

9 avril manifestation contre la loi Macron

Manifestation préparée dès le 7 avril.......par l'occupation au rond point de L'os à moëlle près du CHU ci dessus

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