Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 18:32

 

Malgré l’engagement de Marisol Touraine de reporter toute fermeture après les municipales, le plus vieil hôpital parisien remplace progressivement son service d’accueil des urgences par des consultations H24.

 

OFFICIELLEMENT, personne n’assume la fermeture du service d’urgences de l’Hôtel-Dieu. Ni l’Agence régionale de santé d’Île-de-France, ni l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui avait retenu la date du 4 novembre.

 

Marisol Touraine a demandé le report de cette fermeture après les élections municipales. L’Élysée voulait ainsi éviter à Anne Hidalgo, la candidate PS, de se frotter à cet épineux dossier. Nul ne conteste aujourd’hui la parole ministérielle, mais sur le terrain, la réorganisation se poursuit.

 

Les pompiers ne vont plus amener les urgences sur l’île de la Cité. Les patients qui se présentent aux urgences continuent d’être pris en charge sur place, sauf les cas graves, transférés ailleurs. « Nous avons mis en place des consultations sans rendez-vous depuis trois semaines, expose le Pr Jean-Yves Fagon, porteur du projet. Ces consultations sont assurées par les médecins urgentistes, 24 heures sur 24 ». L’AP-HP ne dévie pas de sa route. Elle transforme progressivement l’Hôtel-Dieu en centre spécialisé dans les soins de proximité. Exit les urgences pures et dures - de la même façon que l’hématologie, la réanimation et la chirurgie générale qui ont déjà quitté les lieux.

 

Des généralistes le soir à l’hôpital début 2014.

 

D’autres étapes suivront pour façonner un lieu axé sur la prévention et l’éducation thérapeutique. Y attirer des médecins libéraux est une priorité pour l’AP-HP, qui vient de marquer un point : l’Hôtel-Dieu a obtenu le feu vert pour organiser en son sein la permanence des soins ambulatoire. Début 2014, l’hôpital offrira un espace aux généralistes pour des consultations en soirée. Y aura-t-il des volontaires ? « Une quinzaine sont déjà très motivés », assure le Pr Fagon.

 

L’hôpital veut afficher 100 % de tarifs opposables : attirer des spécialistes libéraux sera une autre paire de manches. Des travaux seront menés fin 2014 pour moderniser les locaux. Le renfort sera-t-il au rendez-vous ? Le Pr Fagon espère bien. « Les médecins libéraux participeront à la gouvernance de l’Hôtel-Dieu », fait-il valoir. Un groupement de coopération sanitaire décidera de leur statut et de leur rémunération. Leurs futures conditions de travail sont à ce stade encore floues, de même que le financement de cet hôpital hybride en (re)construction.

 

« Nous avançons par étapes, plaide le Pr Fagon. D’abord, nous traitons la question des urgences qui occulte le reste dans les médias. L’Hôtel-Dieu fonctionnera de façon autonome début 2014, séparément de Cochin. Ce sera un grand pas. L’ensemble du projet devrait aboutir dans trois ou quatre ans ».

 

D’ici là, il y a le cap, plus immédiat, de la campagne municipale. Le Conseil de Paris a demandé un moratoire sur les restructurations à l’Hôtel-Dieu. La ministre de la Santé, elle, ne dit plus mot sur le dossier. La façon dont l’AP-HP mène sa barque l’arrange peut-être au fond.

 

Quotidien du médecin

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 18:16

 

Mercredi 2 octobre 2013 - 17:48

Psychiatrie: situation sociale tendue à l'EPSM Etienne Gourmelen de Quimper 

QUIMPER, 2 octobre 2013 (APM) - L'établissement public de santé mentale (EPSM) Etienne Gourmelen de Quimper, dont la situation sociale est difficile depuis l'annonce de son plan d'économies fin mars, connaît un regain de tension, a constaté l'APM auprès des syndicats et de la direction.

Une "rencontre médecins-personnels" est prévue jeudi, précise le syndicat SUD, après une assemblée générale organisée mardi par SUD et la CGT, et la diffusion d'une "motion des praticiens hospitaliers" de l'établissement.

Un plan d'économies a été engagé fin mars pour résorber son déficit d'1 million d'euros en 2012, sur un budget de 67 millions d'euros (cf APM HMQDH003). "Sans mesures d'économies, le déficit serait mécaniquement monté à 2 millions d'euros en 2013", a expliqué le directeur de l'EPSM, Pascal Bénard, joint par l'APM mercredi.

Les mesures d'économies engagées par l'hôpital concernent notamment des gels de postes et la suspension de trois jours de RTT pour les agents (hors cadres, médecins et directeurs).

Pour la première mesure, "l'idée est de geler un équivalent temps plein (ETP) en année pleine pour chacun des huit pôles, ce qui représente 0,8% de l'effectif en ETP de l'établissement", a expliqué Pascal Bénard. Mais la fin de l'année approchant, les pôles qui n'ont pas encore effectué cette opération peuvent être amenés à geler un ou deux postes supplémentaires, afin de récupérer les sommes à économiser. "Nous essayons de faire cela intelligemment, au cas par cas, en respectant le rythme de vie des services", a assuré le directeur.

Néanmoins, "cette mesure suscite une incompréhension entre la direction et la CME [commission médicale d'établissement]. Les praticiens sont inquiets", a reconnu Pascal Bénard.

De fait, une "motion des praticiens hospitaliers de l'EPSM refusant les gels des postes imposés par la direction" a été diffusée à l'issue d'une réunion des médecins en début de semaine dernière.

Les praticiens y annoncent notamment "la participation de la communauté médicale à la mobilisation de l'ensemble des personnels", et y décident "de ne plus participer aux instances et aux différentes commissions" de l'établissement.

Dans cette motion, les médecins regrettent que "malgré les votes négatifs qui se sont succédés [à travers les instances de l'EPSM], la direction a décidé de passer en force, décision contrainte par le positionnement dogmatique de l'agence régionale de santé [ARS]". Ils en appellent d'ailleurs à plusieurs reprises à l'ARS Bretagne dans leur texte, réclamant notamment qu'elle "reconsidère sa position en revoyant le financement de l'EPSM".

L'ARS de Bretagne a opéré en 2013 une péréquation entre établissements sur la dotation annuelle de financement (DAF), qui a abouti à un taux de reconduction à zéro pour l'hôpital (cf APM HMQEG001). "Le déficit de Gourmelen est structurel. Même si ces chiffres sont à prendre avec précaution car il peut y avoir des biais significatifs, le coût par patient y est de 6.299 euros, contre 4.115 euros en moyenne régionale", a précisé mercredi à l'APM Pierre Bertrand, directeur général adjoint de l'ARS.

Pierre Bertrand a ainsi évoqué un double mouvement qui impacte directement cet établissement: le rééquilibrage opéré en faveur de l'hospitalisation alternative et du médico-social, "la région Bretagne [étant] celle qui consomme le plus de soins psychiatriques" et le fait que les indicateurs de l'ARS "sont plutôt défavorables à l'EPSM".

Selon les médecins signataires, le déficit de l'EPSM est aussi lié "au non-financement d'une partie [de son] activité". Ils demandent "l'ouverture rapide de réelles discussions en présence de l'agence régionale de santé, notamment sur l'absolue nécessité de récupérer le financement auprès du Chic [centre hospitalier intercommunal de Cornouaille à Quimper] de l'activité importante réalisée par le personnel de l'EPSM au sein des urgences".

"C'est un vrai sujet, mais qui ne va pas résoudre le problème de déficit de Gourmelen", a estimé Pierre Bertrand. "L'ARS a demandé aux deux directeurs de ces établissements de faire une proposition d'accord d'ici la fin du mois d'octobre", a-t-il précisé.

Concernant le climat social au sein de l'EPSM, Pascal Bénard promet "une réunion de concertation la semaine prochaine".


Jeudi 3 octobre 2013 à 13h30,

Une assemblée générale sur l'EPSM Gourmelen a réuni environ 250 personnes (300 selon certains médecins). Cette assemblée était composée de médecins , personnels administratifs, techniques et soignants (Photos en pièces-jointes).

Il en résulte la constitution d'un collectif élargi, une coordination de lutte pour la défense des services publics hospitaliers. Les attaques actuelles sont dans l'instant extrêmement virulentes contre les services de psychiatrie, secteur qui est le notre, les services de soins généraux vont rapidement être confrontés à ces attaques, avec un ONDAM (objectif national des dépenses d'assurances maladie) de 2,4% acté en 2014, et de 2,3% en 2015.

Pour rappel à l'EPSM Gourmelen, nous sommes à zéro cette année, ce qui veut dire qu'en 2014 et 2015 la situation sera encore plus catastrophique. Ceci est inacceptable sur un plan éthique pour les personnels de l'EPSM, ceci se traduirait par une remise en cause du projet médical, (pourtant établi au plus "serré"), et entrainerait des fermetures de services et/ou des opérations de délestages de missions de service public vers le privé ou l'associatif.

Le collectif inter-professionnel de l'EPSM se réunira lundi 7 octobre au matin, pour préparer et organiser l'action de la semaine prochaine, vous serez informé(e)s rapidement de l'action envisagée.
Pour la défense d'un service public hospitalier de qualité au plus près des usagers,  unissons nous, mobilisons nous!!!

La fatalité n'existe que si on l'accepte.

 

2013-10-03 13.55.36

2013-10-03 13.56.03

2013-10-03 13.57.30

Hopital-Gourmelen.jpg


Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 11:45

 

 

 

banderole

 

 

L’hôtel-Dieu est occupé, agents hospitaliers, usagers, syndicats et élus ont fait irruption dans l’hopital de l’APHP (Assistance publique des hopitaux de Paris), le plus vieil hôpital de Paris, situé sur l’île de la Cité.

 

Le comité de défense de l’Hôtel-Dieu, qui se bat contre la fermeture de l’établissement, prévu initialement en novembre prochain, entend mettre la pression sur l’APHP.

L’intersyndicale (SUD Santé et CGT) a annoncé qu’elle comptait y passer la nuit.

 

L'occupation est circonscrite à une salle de l'Hôtel-Dieu. «Nous avons décidé d'occuper la salle Notre-Dame depuis 16h00 dimanche puisque la direction l'AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris) a donné des consignes à partir de mardi de re-router les patients ailleurs, via les pompiers et le Samu», a expliqué à l'AFP Gérald Kierzek, médecin urgentiste à l'Hôtel-Dieu.

 

«La direction va clairement contre la décision de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, le 10 juillet dernier de ne plus fermer les urgences», ajoute le médecin, précisant que les urgences (ophtalmologiques, médico-judiciaires et médico-chirurgicales) «accueillent 300 patients par jour».

 

Il indique également indiqué que «les pressions sur le personnel continuent pour les obliger à partir».

 

La direction de l'AP-HP et les responsables de la communauté médicale, qui ont un projet de reconversion de l'Hôtel-Dieu en «Hôpital universitaire de santé publique», ont fait procéder depuis quelques mois à un déménagement progressif de plusieurs services de l'établissement.

 

Ils avaient décidé de fermer le service d'accueil des urgences le 4 novembre prochain. Mais Mme Touraine a décidé de repousser la date de fermeture à une date indéterminée, que l'on suppose postérieure aux élections municipales de mars 2014, ce conflit prenant un tour très politique.

 

 

 

LeParisien.fr

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 21:04

La réouverture de la maternité de Vire (Calvados) n'aura pas lieu. Pour la deuxième fois consécutive (lire notre sujet du29/01/2013), le directeur général de l'ARS Basse-Normandie, Pierre-Jean Lancry, n'a pas renouvelé son autorisation. En suivant l'avis de la commission spécialisée de l'organisation des soins, réunie le 27 juin dernier, largement défavorable à la réouverture de la maternité. Pour quelles raisons ? "Les candidatures médicales proposées par l'établissement ne permettent toujours pas de remplir les conditions réglementaires liées à la sécurité et la qualité des soins", énonce pudiquement l'ARS dans un communiqué.

 

De fait, trois gynécologues avaient été recrutés par le CH de Vire mais aucun d'eux n'étaient inscrits à l'Ordre des médecins. "Pour qu'un service puisse fonctionner en H24, il faut que les médecins qui y exercent soient inscrits à l'Ordre", précise l'ARS. Les médecins dont il est question étaient diplômés de l'Union Européenne et originaires d'Espagne et de Roumanie.

 

Si la maternité n'est pas réouverte, en revanche le Centre périnatal de proximité (CPP) avec hébergement mis en place depuis janvier dernier "continuera d'assurer les consultations prénatales et postnatales, les cours de préparation à la naissance, l'enseignement des soins aux nouveau-nés et les consultations de planification familiale". Par ailleurs, Pierre-Jean Lancry a déclaré lors d'un point presse le 1er juillet, qu'il souhaitait réunir les élus locaux pour "réfléchir à l'organisation de l'offre de soins dans le bocage", rapporte l'agence contactée par Hospimedia. Il s'agit, précise-t-elle, de faire face aux problèmes de démographie médicale pour répondre aux besoins de la population.

 

Le comité de défense de la maternité de Vire a manifesté le 27 juin devant les portes de l'ARS Basse-Normandie, pour réclamer la réouverture de la maternité. "La population de Vire crie haut et fort sa volonté de défendre sa maternité publique et son hôpital [...] Elle refuse son innommable injustice qui prétend aujourd'hui réduire les dépenses de santé publique et faire de la santé de tous, une marchandise comme une autre", a-t-il déclaré dans un communiqué.

 

Hospimédia

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 18:48

"C'est même à cela qu'on les reconnaît !"

Dédicace à un amateur éclairé des "Tontons flingueurs.... de maternité!"

 

 

 

 

La CSOS du 27/06 a donné son verdict hier en fin de journée concernant le dossier de réouverture de la maternité déposé par le centre hospitalier de Vire:

21 contre et 7 pour. Le directeur de l'ARS Pierre-jean LANCRY doit donner sa décision en début de semaine prochaine, mais on sait déjà qu'elle ira dans le sens de la CSOS.

Pour Vire, la maternité c'est donc terminé!!! et un certain nombre de services devraient suivre dans les années à venir puisque le but de l'ARS est de faire de cet hôpital, à plus ou moins long terme, un centre de gérontologie.

 

juin 2013 018

"Non à l'Ayraultport"....un autre combat

juin 2013 019

Non, ce n'était pas l'ARS, il parait même qu'on dérangeait... un service public !!!

juin 2013 020

MENTEUR - TRICHEUR - FOSSOYEUR

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 08:08

 

 

 

Hopitaux-de-St-Maurice.jpg

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 08:51

Les personnels du Centre Hospitalier Spécialisé en psychiatrie le Mas Careiron, se sont mobilisés le jeudi 20 juin 2013 à l'appel de l'intersyndicale SUD et CGT.

Un appel à la grève était lancé avec un débrayage de 4h.

 

Nous avons été plus d'une cinquantaine à nous retrouver sur le piquet de grève au long de cette journée malgré le service minimum qui nous est imposé.

Des camarades de Solidaires 30 sont venus nous soutenir ce qui a été très apprécié.

Les organisations syndicales ont été reçues par la Direction qui reste sourde aux revendications et à la mobilisation du personnel.

 

En effet , la Direction met en œuvre une politique d'austérité dans le cadre de restrictions budgétaires imposées par L'ARS (Agence Régionale de Santé) qui veut priver l’hôpital de 265 000 euros par an pendant 5 ans.

 

Ces restrictions sont une asphyxie programmée de la psychiatrie et de l’hôpital public dans le cadre de la loi Bachelot ( HPST : Hôpital Patient Santé Territoire). Cette loi non remise en cause par le gouvernement met en concurrence structures sanitaires publiques et le secteur privé, organise la fermeture de nombreux hôpitaux de proximité et de maternités, et instaure a pénurie de moyens pour fonctionner.

L' ARS de Languedoc Roussillon impose à notre hôpital de quantifier les actes de soins pour conditionner l'attribution de budget de fonctionnement alors que la loi prévoit que le secteur de la psychiatrie soit épargné par la tarification à l'activité (T2A) !

Elle devance les projets gouvernementaux en prenant le plein pouvoir par des décisions arbitraires.

 

La Direction du CHS s'appuie sur ces restrictions pour supprimer des postes, organiser le non-remplacement du personnel dans les services, maintenir les contractuels en emplois précaires et institutionnaliser la précarité. Elle fait peser également l'incertitude sur le devenir de certains services en évoquant des fermetures de lits, c'est à dire une diminution de l'offre de soins à la population. En même tant que l'ARS exige une « production plus importante d'actes », elle casse l’hôpital et réduit les moyens pour fonctionner au détriment des patients et du personnel.

Notre travail ne saurait être quantifier réellement de manière comptable, il s'agit juste d'un outil ad hoc de démolition de l'hôpital public : le thermomètre n'est pas objectif et les remèdes proposés ont pour but de tuer le patient !

 

Nous refusons catégoriquement de payer une crise budgétaire organisée volontairement par les gouvernements successifs : il s'agit non seulement de se battre pour l'emploi et les conditions de travail mais également de défendre le service public hospitalier accessible à tous.

Derrière la diminution des emplois c'est une psychiatrie humaniste qui est attaquée alors que s'accentue une logique de soins sécuritaires depuis plusieurs années ainsi que le lobbying des laboratoires pharmaceutiques.

 

La psychiatrie de secteur, qui nécessite avant tout des moyens humains,est particulièrement visée par l'idéologie et la logique de diminutions des coûts.

On nous présente des choix politiques comme une fatalité !

 

Derrière la « mutualisation des moyens » ce sont les conditions de travail, le sens au travail, la qualité des soins qui sont attaqués.

 

Les personnels sont invités à une nouvelle mobilisation le jeudi 27 juin 2013.

Soyons encore plus nombreux et nombreuses pour défendre nos revendications !

Les camarades de Solidaires sont invités également à nous soutenir sur le piquet de grève entre 11h et 15h.

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 08:56

 

 

Pour lire le tract en PDF, cliquez ci dessous

 

 

Il lâche tout

Il lâche tout 2 

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 18:06

 

 

 

130618173037198 89 000 apx 470

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 15:07

 

 

130618173037198_89_000_apx_470_.jpg

 

 

Mardi à 17 h, la réunion de la commission médicale d’établissement (CME) du centre hospitalier spécialisé (CHS, ex-Bon-Sauveur) s’est déroulée dans un climat tendu. Selon Bruno Lechaftois, délégué CGT), « les explications ont été houleuses entre le directeur et les médecins ».

 

La rencontre a même été abrégée, et les médecins ont voté à l’unanimité une motion de soutien au personnel en lutte. « Si le directeur ne retire pas son plan d’économies, c’est la rupture avec la communauté médicale » se réjouit le syndicaliste.

 

Demain matin, l’intersyndicale CGT, Sud et CFDT en parlera sans doute lors d’une nouvelle entrevue avec la direction.

 

Rappelons que, depuis le 13 juin, les salariés du CHS contestent une batterie de mesures prises sans concertation, qui prendraient effet à partir du 1er juillet. Et se traduiraient par la disparition ou l’amputation de services, des suppressions de postes, une diminution des RTT et des temps partiels, ainsi que le non-renouvellement des contractuels en CDD.

 

Le CHS emploie 1 200 personnes, dont 60 médecins et environ 80 CDD. Il accueille 350 patients en permanence, des lits ayant même dû être rajoutés depuis le début de l’année.

 

Source : Ouest-France

 

La motion de soutient

 

motion-CME-18-06-2013.jpg

Partager cet article
Repost0
Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte

Présentation

  • : Le blog de sud-chu-caen
  • : Site du syndicat SUD Santé du CHU de CAEN
  • Contact

Recherche

Archives