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24 septembre 2017 7 24 /09 /septembre /2017 10:17
Bonjour, 
 
Cette nuit le squat des soudanais, situé sur la presqu'île, a brûlé. L'AG de lutte contre toutes les expulsions appelle à une réunion de crise aujourd'hui à 14h, ouverte à toutes et à tous, au squat de Venoix (17/19 rue Maréchal Gallieni, ancien hôtel les cyclades)
Les besoins sont importants : couvertures, fringues et chaussures chaudes hommes, matelas, bouffe, vaisselle et tout pour vivre !
 
Merci de partager l'info dans vos réseaux respectifs.
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24 septembre 2017 7 24 /09 /septembre /2017 08:53
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23 septembre 2017 6 23 /09 /septembre /2017 09:02

 

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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 15:38
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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 15:07
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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 09:19

Sept infirmiers, quatre aides-soignants, une puéricultrice… D’ici la fin de l’année, ces contrats en CDD ne seront pas renouvelés par l’hôpital Jacques-Monod. Rigueur budgétaire oblige.

Dans son bureau de l’hôpital Jacques-Monod, David Teuma a les traits tirés et la barbe naissante. Celui qui, depuis début juillet, est directeur par intérim de l’hôpital vient d’annoncer la mauvaise nouvelle à son personnel : 27 contrats, des CDD, ne seront pas renouvelés d’ici la fin de l’année.

« Il y a un impératif absolu de redressement », glisse-t-il. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le déficit s’élève à 26 millions d’euros, auxquels s’ajoutent 20 millions d’euros de dette fiscale. « Avec un tel déficit, on ne pouvait plus fonctionner », détaille David Teuma.

On connaît aujourd’hui les postes qui seront touchés : quatre aides-soignants, sept infirmiers, quatre agents des services hospitaliers qualifiés, trois postes administratifs, quatre auxiliaires de puériculture, une puéricultrice, un technicien de laboratoire…

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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 08:46

Les agents du service public bénéficieront d'une «compensation» mais pas, comme les salariés du privé et une grande majorité des indépendants, de «gain de pouvoir d'achat»... contrairement aux promesses de Macron.

Aux fonctionnaires, Emmanuel Macron a fait une promesse : «J’augmenterai votre pouvoir d’achat, comme celui des salariés des entreprises : vous paierez moins de cotisations et votre salaire net sera augmenté d’autant», écrivait-il, candidat à la présidentielle, dans une «Lettre ouverte aux agents publics» publiée onze jours avant le 1er tour. Eh bien les fonctionnaires vont devoir attendre un moment avant de voir la couleur de cette «plus juste rémunération».

Selon nos informations, ces derniers seront les seuls actifs - avec les travailleurs indépendants qui gagnent plus de 4 000 euros nets par mois - à ne pas bénéficier de «gain de pouvoir d’achat» comme en profiteront les salariés du privé et 75% des travailleurs indépendants en 2018. En effet, les fonctionnaires seront impactés, comme la grande majorité des Français, par la hausse de 1,7 point de la CSG au 1er janvier mais n’auront droit, comme le répètent les ministres de Bercy depuis plusieurs semaines, qu’à des «compensations». Pour rappel, les salariés du privé et la grande majorité des indépendants bénéficieront, eux, d’une baisse importante de leurs cotisations salariales, accordées en deux fois en 2018 : 258 euros en année pleine - soit 2019 - pour un salarié au Smic, 456 euros pour une personne à 2000 euros net par mois. Mais pour les agents de la fonction publique ce sera donc… zéro.

 

Déception des syndicats

 

Forcément, du côté des syndicats de la fonction publique, ça passe mal… «Si c’est ça, nous serons forcément déçus», fait savoir Mylène Jacquot à la CFDT. «On demande juste au gouvernement de respecter la parole du Président lorsqu’il était candidat», renchérit Luc Farré à l’Unsa. Lequel prévient Bercy : «La compensation au centime près est le minimum qui puisse avoir lieu». Pour l’instant, l’exécutif reste très discret sur les leviers qu’il pourrait actionner dans les prochaines lois de finances pour éviter que les fonctionnaires voient leurs salaires nets baisser l’an prochain. Plusieurs pistes sont étudiées par les hauts fonctionnaires du ministère des Finances comme la suppression des quelques cotisations prélevées sur les fiches de paies des agents du service public.

Par exemple, puisque les cotisations chômage payées par les salariés du privé vont disparaître, la «contribution exceptionnelle de solidarité» de 1% prélevée sur les fonctionnaires pourrait être supprimée. Cette dernière est destinée, depuis 1982, à financer un «fonds de solidarité» pour les actifs victimes de chômage. «Mais ça ne couvrira ni la totalité de la hausse de CSG, ni tous les agents : ceux de la catégorie C, avec les plus basses rémunérations, ne paient pas cette cotisation», fait valoir Mylène Jacquot à la CFDT. Parmi les «pistes» préférées par les syndicats : l’augmentation de la valeur du point d’indice ou «toute augmentation de pouvoir d’achat qui toucherait le traitement brut», insiste Jean-Marc Canon, secrétaire général de l’union des fédérations des fonctionnaires à la CGT, qui rappelle que depuis la réforme des retraites Fillon sous le quinquennat Sarkozy, «les cotisations retraites des fonctionnaires augmentent chaque année». «Résultat, notre pouvoir d’achat baisse tous les 1er janvier», insiste-t-il.

 

«Rendez-vous salarial» le 10 octobre

 

L’exécutif n’est absolument pas prêt à toucher au point d’indice, gelé dès l’arrivée de Darmanin à Bercy. En 2016, le gouvernement de Manuel Valls avait mis fin à six années sans augmentation de salaire pour les fonctionnaires. Les syndicats de la fonction publique réclament eux que soit appliqué l’accord signé avec le précédent gouvernement et qui prévoit des coups de pouces salariaux pour les catégories A, B et C. «Le gouvernement actuel semble tenté d’en reporter l’application, regrette Luc Farré (Unsa). Nous en exigeons la poursuite.»

Plusieurs réunions sont programmées en septembre entre organisations syndicales et Darmanin, avant un «rendez-vous salarial» le 10 octobre, date à laquelle sera annoncé le détail des mesures destinées à «compenser» la hausse de CSG. Seule bonne nouvelle pour les syndicats : reçus jeudi matin à Bercy, Darmanin s’est engagé devant eux à ne pas être «le ministre qui remettra en cause le statut des fonctionnaires». Ça aussi, Macron le promettait dans sa lettre.

Selon nos informations, ces derniers seront les seuls actifs - avec les travailleurs indépendants qui gagnent plus de 4 000 euros nets par mois - à ne pas bénéficier de «gain de pouvoir d’achat» comme en profiteront les salariés du privé et 75% des travailleurs indépendants en 2018. En effet, les fonctionnaires seront impactés, comme la grande majorité des Français, par la hausse de 1,7 point de la CSG au 1er janvier mais n’auront droit, comme le répètent les ministres de Bercy depuis plusieurs semaines, qu’à des «compensations». Pour rappel, les salariés du privé et la grande majorité des indépendants bénéficieront, eux, d’une baisse importante de leurs cotisations salariales, accordées en deux fois en 2018 : 258 euros en année pleine - soit 2019 - pour un salarié au Smic, 456 euros pour une personne à 2000 euros net par mois. Mais pour les agents de la fonction publique ce sera donc… zéro.

Déception des syndicats

Forcément, du côté des syndicats de la fonction publique, ça passe mal… «Si c’est ça, nous serons forcément déçus», fait savoir Mylène Jacquot à la CFDT. «On demande juste au gouvernement de respecter la parole du Président lorsqu’il était candidat», renchérit Luc Farré à l’Unsa. Lequel prévient Bercy : «La compensation au centime près est le minimum qui puisse avoir lieu». Pour l’instant, l’exécutif reste très discret sur les leviers qu’il pourrait actionner dans les prochaines lois de finances pour éviter que les fonctionnaires voient leurs salaires nets baisser l’an prochain. Plusieurs pistes sont étudiées par les hauts fonctionnaires du ministère des Finances comme la suppression des quelques cotisations prélevées sur les fiches de paies des agents du service public.

Par exemple, puisque les cotisations chômage payées par les salariés du privé vont disparaître, la «contribution exceptionnelle de solidarité» de 1% prélevée sur les fonctionnaires pourrait être supprimée. Cette dernière est destinée, depuis 1982, à financer un «fonds de solidarité» pour les actifs victimes de chômage. «Mais ça ne couvrira ni la totalité de la hausse de CSG, ni tous les agents : ceux de la catégorie C, avec les plus basses rémunérations, ne paient pas cette cotisation», fait valoir Mylène Jacquot à la CFDT. Parmi les «pistes» préférées par les syndicats : l’augmentation de la valeur du point d’indice ou «toute augmentation de pouvoir d’achat qui toucherait le traitement brut», insiste Jean-Marc Canon, secrétaire général de l’union des fédérations des fonctionnaires à la CGT, qui rappelle que depuis la réforme des retraites Fillon sous le quinquennat Sarkozy, «les cotisations retraites des fonctionnaires augmentent chaque année». «Résultat, notre pouvoir d’achat baisse tous les 1er janvier», insiste-t-il.

«Rendez-vous salarial» le 10 octobre

L’exécutif n’est absolument pas prêt à toucher au point d’indice, gelé dès l’arrivée de Darmanin à Bercy. En 2016, le gouvernement de Manuel Valls avait mis fin à six années sans augmentation de salaire pour les fonctionnaires. Les syndicats de la fonction publique réclament eux que soit appliqué l’accord signé avec le précédent gouvernement et qui prévoit des coups de pouces salariaux pour les catégories A, B et C. «Le gouvernement actuel semble tenté d’en reporter l’application, regrette Luc Farré (Unsa). Nous en exigeons la poursuite.»

Plusieurs réunions sont programmées en septembre entre organisations syndicales et Darmanin, avant un «rendez-vous salarial» le 10 octobre, date à laquelle sera annoncé le détail des mesures destinées à «compenser» la hausse de CSG. Seule bonne nouvelle pour les syndicats : reçus jeudi matin à Bercy, Darmanin s’est engagé devant eux à ne pas être «le ministre qui remettra en cause le statut des fonctionnaires». Ça aussi, Macron le promettait dans sa lettre.

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20 septembre 2017 3 20 /09 /septembre /2017 08:06

La Confédération paysanne reste mobilisée contre la Loi Travail et appelle les paysannes et paysans à prendre part aux manifestations jeudi 21 septembre. L'agriculture d'aujourd'hui est un avant-goût du monde que préparent les ordonnances d'Emmanuel Macron. Comment ne pas voir le parallèle saisissant entre la position d'un-e paysan-ne, qui doit aujourd'hui négocier seul-e face à un industriel les termes de son contrat de collecte, et celle, demain, d'un-e salarié-e, qui devra négocier les termes de son contrat face à sa direction et sans la protection d'un accord de branche ?
 

Nous, paysannes et paysans, nous battons actuellement pour un droit au revenu, comme l'ont fait les salarié-es d'autres secteurs depuis plus d'un siècle. Aujourd'hui, notre lutte pour ce droit rejoint la lutte de ceux qui se battent pour conserver les leurs.

Pour la Confédération Paysanne, la précarisation et la paupérisation des travailleurs que préparent les ordonnances du gouvernement Macron accroîtront inévitablement la pression déjà intenable qui s'exerce sur le prix de l'alimentation et du travail paysan.

Aujourd'hui plus que jamais, le sort de l'agriculture paysanne, et des paysannes et paysans qui la font vivre, est indissociable de celui des salarié-es, et donc de l'issue de leur combat dans les semaines à venir.

C'est pourquoi la Confédération paysanne appelle toutes les paysannes et les paysans à manifester le 21 septembre, et à prendre part à la lutte contre la généralisation de la loi de la jungle, que les ordonnances Macron cherchent à imposer aux salarié-es, et dont les paysan-nes souffrent depuis trop longtemps.

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20 septembre 2017 3 20 /09 /septembre /2017 07:59

 

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18 septembre 2017 1 18 /09 /septembre /2017 17:02

TOUTES ET TOUS EN GREVE

TOUTES ET TOUS DANS LA RUE

LE 21 SEPTEMBRE

RV 10H30 PLACE St PIERRE CAEN

Et ailleurs:

 

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