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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 22:08

La direction du CH Bayeux ,avec consentement du directoire, a décidé de taxer 75 centimes ( 5 balles environs) le personnel qui amène son repas aux selfs !!


 

 

Pour lire le tract en PDF, cliquez sur l'image ci dessous

 

Impôt sur la gamelle

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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes
17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 21:55

Communiqué CFDT – CGT – FSU – Solidaires - UNSA

 

 

 

1er mai 2012 : satisfaire les revendications pour le progrès social

 

 

 

Dans cette période de crise en France et en Europe, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA affirment leur volonté de faire du 1er mai 2012, journée de solidarité internationale du monde du travail, une forte journée de mobilisation, de manifestations et d’expressions revendicatives pour :

- faire entendre les priorités sociales et les préoccupations des salariés, des demandeurs d’emploi, des jeunes et des retraités, en France et en Europe ;

- exprimer la défense des droits fondamentaux et des libertés partout dans le monde ;

- faire reculer la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme.

 

Dans beaucoup de pays européens, les populations subissent des politiques d’austérité et des réformes réduisant les droits des travailleurs et leur protection sociale.

 

La crise ne peut être le prétexte pour remettre en cause nos systèmes sociaux. Il faut une véritable politique de croissance, prenant en compte les enjeux écologiques, qui passe par l’amélioration du pouvoir d’achat et la création d’emplois.

 

La pression sur les salaires et l’assouplissement des règles de licenciement ne peuvent que fragiliser la croissance économique.

 

S’il y a un manque de compétitivité des entreprises, elle est notamment due à la rémunération excessive du capital au détriment de l’investissement dans l’emploi, la formation, la recherche et l’innovation.

 

En ce 1er mai, nous voulons faire écho aux revendications portées par les salariés dans cette période de crise :

- priorité à l’emploi, en particulier des jeunes, alors que le nombre de chômeurs ne cesse d’augmenter depuis de longs mois et que les restructurations, les licenciements et les fermetures d’entreprises sont le quotidien de nombreux salariés,

- lutte contre la précarité qui touche un nombre croissant de salariés, en particulier jeunes et femmes, et provoque des situations de pauvreté intolérables ;

- la promotion des salaires et du pouvoir d’achat doit être une priorité. Il n’y a aucune raison de laisser les inégalités salariales perdurer, notamment entre les femmes et les hommes.

 

Nous réaffirmons avec le syndicalisme européen notre opposition à ces politiques et au nouveau traité qui, en faisant l’impasse sur la croissance, ne fera que renforcer l’austérité et la crise.

 

Nous voulons dans les mobilisations du 1er mai réaffirmer le besoin d’une Europe solidaire affirmant sa dimension sociale, ce qui impose de :

- développer les droits des salariés et assurer des services publics de qualité,

- mettre un terme à la concurrence sociale et fiscale entre pays de l’Union européenne qui tire les garanties des travailleurs vers le bas. Il faut une autre répartition des richesses et mettre un terme à la spéculation financière,

- faire respecter la place et le rôle de la démocratie sociale, de la négociation collective et du dialogue social.

 

La CFDT, la CGT, la FSU, Solidaires et l’UNSA appellent leurs organisations à se rencontrer dans les territoires pour déterminer les modalités concrètes d’organisation des initiatives et manifestations du 1er mai sur ces objectifs.

 

 

 

Le 16 avril 2012

 

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Published by sud-chu-caen
16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 21:24

À l'appel de toutes les composantes du collectif Hôpitaux santé 65, 500 personnes se sont rassemblées, hier, à Tarbes, pour la défense des hôpitaux du département.

 

 Quelque 500 personnes se sont regroupées, hier matin, devant l'hôtel de ville de Tarbes, pour dire non au projet de l'Agence régionale de santé Midi-Pyrénées (ARS) qui prévoit la construction d'un hôpital sur le site de la clinique Ormeau-Pyrénées et un partenariat public-privé. Une manifestation organisée à l'appel du collectif Hôpitaux santé 65, dans le cadre de la journée nationale d'action initiée par la Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternité de proximité, à laquelle ont répondu des élus, des médecins hospitaliers, des salariés et des usagers des hôpitaux publics des Hautes-Pyrénées.

 

Au nom de la CGT santé, Sud Santé, CFDT Santé et FO Santé, Christian Dutrey a dressé un état des lieux alarmant des hôpitaux du département, « impactés au niveau organisationnel et personnel par les différentes réformes de l'hôpital public, touchés aujourd'hui par la crise économique, la crise du financement de l'assurance maladie… ». Et il a appelé à se « battre pour maintenir sur Tarbes et dans les Hautes-Pyrénées des hôpitaux publics de proximité performants, au service des besoins de santé de la population », tout en demandant « l'arrêt immédiat de tout projet de réorganisation, tant qu'aucun projet médical concerté et débattu avec l'ensemble des acteurs de santé ne sera pas validé ».

Ouvrir des débats sereins

 

Après une marche qui a conduit le cortège devant l'ARS, place Ferré, Bruno Gay-Capdevielle a pris la parole au nom du collectif Hôpitaux santé 65 pour demander « l'ouverture d'un nouveau dialogue apaisé entre les parties » ; pour y parvenir, « il faut que le directeur de l'ARS Xavier Chastel soit remplacé ; son attitude a été méprisante face au collectif des usagers, des élus, des salariés… ». Selon lui, il « faut pouvoir renégocier et ouvrir des débats sereins », donner « d'autres missions aux ARS » qui n'ont de cesse « actuellement, que de supprimer du personnel pour être en accord avec la RGPP

[Révision générale des politiques publiques] et donner les activités les plus rentables au privé ». La première des propositions du collectif 65, c'est « de faire un projet médical conforté et débattu ; il y a un travail mis en place par le Conseil général, qui réunit les médecins des hôpitaux, les élus, les syndicats, les comités de défense, il faut nous laisser travailler à un projet ».

Source : La dépêche

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 19:52

Les candidats à l'élection présidentielle divergent sur l'avenir de l'Ordre national des infirmiers (ONI), allant d'un franc soutien à la demande de sa suppression, constate le magazine Actusoins dans son numéro de mars-avril.

 

Nicolas Sarkozy (UMP), François Bayrou (Modem) et Marine Le Pen (Front national) souhaitent conserver l'Ordre en l'état.

 

S'exprimant au nom du président sortant, le député UMP européen Philippe Juvin estime que l'existence de cette instance "peut être enrichissante", tout en jugeant que, pour que "l'Ordre soit efficace, il faut le soutien des infirmiers". Il souhaite que l'ONI "aboutisse dans sa démarche de restructuration et de modification de ses orientations économiques".

 

François Bayrou considère, note Actusoins, qu'"il faut un espace de régulation et d'échange" pour la profession. Sa conseillère santé, Geneviève Darrieussecq, affirme qu'il faut "vivre l'existence [de l'Ordre] de façon positive, pas de façon contraignante".

 

Au nom de Marine Le Pen, sa conseillère protection sociale et santé Joëlle Melin assure que les infirmiers "doivent avoir un Ordre au même titre que les autres professions". Elle y voit une structure "nécessaire" pour le respect de ces professionnels, de leur profession et de leur regard sur leur pratique.

 

Représentant François Hollande, le député Jean-Marie Le Guen (PS, Paris) constate que "beaucoup de professionnels ne sont pas satisfaits [de l'ONI] et se plaignent notamment de l'obligation qui leur est faite d'y cotiser". Il se prononce pour supprimer cette obligation, et pour entamer "un dialogue sur l'avenir de cet Ordre".

 

Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) se déclare, lui, favorable à "l'abrogation pure et simple" de l'instance. Catherine Jouanneau, secrétaire nationale à la santé du Parti de gauche, affirme que "sans le soutien du ministre de la santé auprès des créanciers, cet Ordre aurait déjà disparu" et que l'ONI a été "mis en place pour contourner les syndicats".

 

Le syndicat Résilience, qui milite pour la disparition de l'Ordre infirmier, a lui aussi interrogé les candidats à l'élection présidentielle. Il a publié sur son site internet des courriers de François Hollande, Eva Joly (Europe écologie-Les Verts), Jean-Luc Mélenchon et Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière).

 

Eva Joly indique qu'il lui "semble judicieux et nécessaire d'abroger" l'ONI. Nathalie Arthaud se prononce elle aussi pour "sa disparition complète", estimant qu'il serait "préjudiciable qu'il perdure sous quelque forme allégée que ce soit".

 

La lettre de François Hollande à Résilience n'évoque pas d'éventuelle suppression de l'obligation de cotiser, indiquant simplement que le candidat souhaite rouvrir la discussion, s'il est élu, "sur l'opportunité de maintenir l'Ordre infirmier".

 

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Published by sud-chu-caen - dans Ordre Infirmier
13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 09:03

L'arrêt N°1001964 du 16 février 2012 du Tribunal Administratif de Bordeaux vient d'annuler la décision d'organisation d'un service de réanimation et de surveillance continue en 12 heures du Centre hospitalier de Bordeaux.

L'article 7 du Décret 2002-9 du 4 janvier 2002 relatif au temps de travail et à l'organisation du travail dans les établissements de la fonction publique hospitalière indique :

" Le chef d'établissement peut, après avis du comité technique d'établissement, ou du comité technique paritaire, déroger à la durée quotidienne du travail fixée pour les agents en travail continu, sans que l'amplitude de la journée de travail ne puisse dépasser 12 heures si les contraintes de continuité du service public l'exigent en permanence ".

Le Centre Hospitalier avait décidé, par manque de personnel chronique, de supprimer le roulement en 3 équipes pour le remplacer par 2 équipes en 12 heures de travail. Ainsi, le temps de consigne qui s'effectuait entre les équipes du matin, du soir et de nuit s'effectuait entre les équipes de jour et de nuit.

Or, le tribunal administratif a retenu que le temps des consignes et de transmission obligatoirement réalisé entre les équipes, engendrait le déplacement systématique de la durée des 12 heures et le non respect de la réglementation du temps de travail.

 

Source : SUD Santé

 

 

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 10:15

Une LBL

 

 

 

P2lLBL 2

 

P5 LBL

 

P3LBL

 

P4 LBL

 

Source : Liberté - Le Bonhomme Libre

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 18:31

A l'appel de l'intersyndicale CGT - CFDT - SUD Santé une centaine de manifestant(e)s se sont retrouvé(e)s le vendredi 6 avril 2012 devant la préfecture de Basse Normandie. Une délégation de 9 personnes ( 3 par organisation syndicale) fut reçue par le secrétaire du Préfet..

 

Tract d'appel

 

Y'en a assez

 

cliquez sur l'image ci dessous pour accéder au diaporama

 

 

6 avril 2012 (3)

 

 

 

Pour lire le dossier en PDF, cliquez sur l'image ci dessous

 

Appauvrissement cat C

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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes
4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 18:54

C''est un des grands absents de la campagne : l'hôpital public. Et pourtant, manque de personnel, manque de lits, urgences débordées et endettement chronique... l'hôpital est à bout de souffle. La tarification à l'acte devait permettre de calculer plus précisément les besoins. Une rentabilité à tout prix qui n'a pas empêché le déficit des hôpitaux de se creuser. Enquête.


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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes
31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 09:14

Lundi 26 mars 2012, un militant défenseur de l’environnement s’est rendu à la mairie de son village vers 18 h, ayant appris que le maire de sa commune, Loupian, avait demandé le déclassement de l’unique zone terrestre Natura 2000 du village. Il a alors entamé une action non violente dans les locaux de l’hôtel de ville en s’enchaînant à la grille d’un puits.

 Elus, gendarmes et pompiers se rendent sur place et décident, bien que l’action se déroule dans le calme, de l’hospitalisation d’office du militant par arrêté municipal !

  48 heures plus tard, personne n’a pu communiquer avec ce militant. La municipalité refuse de donner toute information. La gendarmerie indique que l’action troublait l’ordre public et que le militant présentait un danger… pour lui-même !Depuis la promulgation de la nouvelle loi du 5 juillet 2011, sur les hospitalisations psychiatrique sans consentement, des situations analogues sont malheureusement de plus en plus fréquentes envers les militants ou les syndicalistes. En effet, tous les « troubles à l’ordre public » peuvent être dorénavant psychiatrisés, solution de facilité qui entraîne une privation de liberté pendant au moins 48h.

C’est une atteinte considérable portée aux libertés et aux droits sociaux. De nombreuses organisations signataires de l’appel commun contre les soins sécuritaires dénoncent avec force cette loi liberticide, entre autres : la Ligue des Droits de l’Homme, l’Union Syndicale de la Psychiatrie, SUD santé sociaux, le parti de gauche ou le parti communiste…..

La section de la Ligue des Droits de l’Homme « Loupian et les communes du Nord du bassin de Thau » et la LDH Languedoc Roussillon condamnent cet internement.

De telles pratiques s’inscrivent dans les dérives autoritaires actuelles et ne sont pas compatibles avec un Etat de Droit.

Nous exigeons que cette privation de liberté cesse le plus tôt possible.

Source : LDH

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 10:17

 

Le rapport 2011 de l’Observatoire national des violences en milieu hospitalier pointe une hausse de 13% des actes de violence signalés et réclame « une prise de conscience » des établissements de santé.

 

Pour la sixième année consécutive, les faits de violence enregistrés en milieu hospitalier sont en augmentation, révèle le rapport 2011 de l’Observatoire national de la violence en milieu hospitalier. Alors qu’en 2010, 5090 actes de violence ont été rapportés, en 2011 ils sont 5760, soit une hausse de 13%. « Il n’est plus possible d’ignorer que la violence existe au sein des établissements », insiste le document, publié ce mois-ci.

Une envolée qui s’explique en partie par une participation accrue des établissements, 337 en 2011 contre 303 en 2010, mais pas seulement. En 2009, année où les établissements déclarants étaient 331, « seuls » 4742 faits de violence avaient été recensés. En Basse-Normandie, 3e région la plus touchée après l’Ile-de-France et la Picardie, 488 faits ont été enregistrés, contre 430 l’année précédente, alors même que le nombre d’établissements déclarants était en baisse (19 contre 27).

Ces violences sont à 87% des atteintes aux personnes et à 13% des atteintes aux biens. Dans la première catégorie, la majorité des faits signalés sont des coups (55%); viennent ensuite les insultes et injures (26%), les menaces (18%) et les actes qualifiés de crimes (1%). Les atteintes aux biens relèvent en majorité de vols ou de dégradations simples.

 

« Radicalisation » des actes de violence

Les auteurs des violences signalées sont à 76% des patients, dans trois cas sur quatre à l’encontre des personnels de santé. Ces derniers sont auteurs des violences à hauteur de 4%, la plupart du temps envers leurs collègues. Les 20% d’actes restant sont commis par des visiteurs, accompagnants ou autres. Comme les années précédentes, la psychiatrie est le service le plus touché avec 25% des violences recensées, devant les urgences (15%) et la médecine générale (12%).

« La violence survenue au sein des établissements n’est plus une simple question d’incivilité » mais « relève d’une évolution sociétale bien plus préoccupante », souligne le rapport, qui s’alarme d’une « radicalisation de plus en plus marquée des actes de violence ». Le rapport fait ainsi état de plusieurs agressions et homicides à l’arme blanche, comme le meurtre d’un patient par un autre patient dans un établissement spécialisé dans la prise en charge des addictions, fin novembre dernier, dans l’Allier.

L’Observatoire réclame « une prise de conscience » des établissements de santé, qui ne sont que 11% à déclarer les faits de violence, et les incite à mettre en place des actions et des formations pour y faire face.

 


 

 

 

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