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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 17:55

 

 

Depuis 2007, plus de 150 000 emplois supprimés dans la Fonction publique. C’est le plus grand plan social jamais réalisé dans le monde du travail !

La règle dogmatique du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite frappe tous les secteurs de la Fonction publique sans exception.

 

Certains subissent même la règle du 2 sur 3 !

 

Qu’on en juge !

 

Plus de 60 000 emplois en moins dans l’Education nationale

Plus de 30 000 emplois dans la Défense

Plus de 25 000 emplois en moins à la DGFIP

Plus de 40 000 emplois dans le versant de l’Hospitalière dont 4 000 à l’APHP !….

Culture, Finances, Intérieur … pas un ministère n’est épargné par cette politique dévastatrice.

 

Ainsi depuis cinq ans, les services de l’Etat, de l’Hospitalier et de la Territoriale souffrent de façon dramatique.

 

Dans la Territoriale et dans l’Hospitalière, le recours aux emplois précaires se multiplie et aggrave la situation.

 

De ce contexte maintes fois dénoncé par Solidaires Fonction Publique, jailli désormais un état de souffrance au travail sans précédent car assurer les missions devient une difficulté presque insurmontable.

 

Au delà des pertes de repères, aggravées par la mise en place de la RGPP et de la REATE, chaque service connaît désormais son lot de découragement qui engendre pour certains agents des gestes de désespoir.

 

A cela s’ajoute depuis 2010 le gel du point d’indice, l’augmentation des cotisations retraites et complémentaires, le prélèvement au titre de la journée de carence en cas de maladie !

 

Non seulement il y a moins de fonctionnaires mais ils sont aussi moins payés !

 

Le mépris affiché par le pouvoir envers les fonctionnaires est insupportable.

 

Pour toutes ces raisons et biens d’autres encore, sans hésitation, Solidaires Fonction Publique vous appelle à participer à la manifestation nationale organisée par l’union Syndicale Solidaires.

 

Le samedi 24 mars à 13 h place de la Bourse à Paris

 

Aux côtés de nos camarades du secteur privé dénonçons cette politique anti-sociale.

 

Plus nombreux, plus forts, nous devons faire entendre notre voix et notre colère !

 


Pour lire le tract d'appel en PDF, cliquez ci dessous

 

 

Solidaires FP

 

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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes
6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 19:36

«On n'est pas gestionnaires de lits, on est là pour faire de l'urgence!»


Le service des urgences de l'hôpital parisien Georges Pompidou, en
grève illimitée, dénonce le manque de lits disponibles pour ses
patients.


Le service des urgences de l'hôpital Pompidou est plutôt calme ce
lundi matin. Malgré la grève de son personnel, qui demande plus de
lits pour les malades en attente de soins, les urgentistes ne semblent
pas encore débordés.

Quelques brancards sont stationnés dans les couloirs, quatre, pas plus
pour le moment. Une vieille dame attend, la main dans celle d'un
proche, une poche de perfusion attachée à son brancard. Un peu plus
loin, dans le couloir, un jeune homme, bassine dans les mains, ne
semble pas dans son meilleur état. Mais les malades n'affluent pas
encore à l'accueil, et la salle d'attente est presque vide.

"C'est encore calme parce que les c'était les vacances scolaires
jusqu'à hier. Mais ça ne va pas durer, les parisiens sont revenus",
explique Dimitri Boibessot, infirmier aux urgences, pansement avec
inscrit en gros "grève" collé sur sa blouse verte.

Cela fait 10 ans que le service des urgences de Pompidou se plaint du
manque de lits. Pour le moment les pré-portes — les patients des
urgences censés être hospitalisés dans les services appropriés mais
qui n'ont pas de place — attendent dans les couloirs, sur leurs
brancards. Et même s'il y a des lits libres dans les services, ils
sont programmés pour des futurs patients et ne peuvent pas être
utilisés. Et l'attente peut être longue, très longue dans les couloirs
sombres de l'HEGP. Plusieurs heures, parfois même des journées
entières passées à espérer des soins, et comptées à la Sécurité
sociale comme des journées d'hospitalisation.

"On ne peut pas prévoir le verglas ou la grippe"
Une situation qui révolte le personnel de l'hôpital. «On voudrait des
lits dédiés prioritairement aux urgences», explique Dimitri, qui
conteste également que des lits soient exclusivement réservés aux
interventions prévues à l'avance. «C'est aux autres services et à la
direction de voir comment articuler le problème. Nous on ne peut pas
prévoir combien de malades vont arriver aux urgences. Il y a des jours
où le manque de lits est gérable, pendant les vacances scolaires par
exemple, il y a moins de patients. Mais on ne peut pas prévoir le
verglas ou la grippe», raconte l'infirmier.

Et le problème ne vient pas seulement du nombre de pré-portes.
«Parfois, les services eux-mêmes nous envoient des patients qui ne se
sentent pas bien avant une opération par exemple. On nous demande de
leur trouver des lits. Mais on est pas gestionnaires de lits, on est
là pour faire de l'urgence!», poursuit Dimitri Boibessot.

Jusqu'à 20 pré-portes par jour
Si le personnel soignant est aussi remonté, c'est parce qu'il compte
entre 8 et 20 pré-portes par jour. Un chiffre énorme, d'autant plus
qu'il n'est pas reconnu par la direction de l'HEGP, qui estime que les
pré-portes sont en moyenne 5 par jour.

Une déclaration qui ne fait qu'agacer le personnel et les syndicats.
Pour la CGT, "ils refusent de reconnaître l'ampleur du problème. Il y
a des journées où l'on compte jusqu'à 20 pré-portes en attente de lits
libres!", explique Joran Jamelot, délégué de ce syndicat. "On sait
comment ça va se passer, les groupes de travail mis en place par la
direction de l'AP-HP vont calmer les choses provisoirement. Ils
sauront faire en sorte qu'au cours du mois, il n'y ait quasiment pas
de pré-portes. Mais la situation ne changera pas radicalement. Cette
fois on est parti dans un mouvement plus long, et on maintiendra la
pression. On attend des solutions à long terme, avec un accord qui
figure noir sur blanc".

Lundi après-midi l'intersyndicale CGT-SUD-FO a reconduit la grève à
l'unanimité. Le personnel gréviste des urgences reste assigné, et
applique le service minimum imposé au service public.

Demain mardi, les représentants du personnel de l'AP-HP manifesteront
devant le siège, avenue Victoria. Ils attendent de la direction une
amélioration de leurs conditions de travail, dans un hôpital qui
compte environ 50 000 passages par an.

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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 19:37

Incertitudes sur les contrôles de qualité, questionnements sur l'équivalence avec les médicaments de référence, réticences des médecins... Les génériques, ces copies moins chères de molécules tombées dans le domaine public, sont à nouveau sous le feu des critiques.

Et pour la première fois depuis leur lancement, en 1999, le marché est en recul en France : le nombre de boîtes de génériques vendues a baissé de 3 % entre 2010 et 2011. Une stagnation qui s'expliquerait en partie par le développement du recours à la mention "non substituable" (NS) sur les ordonnances. Par ce procédé, les médecins interdisent au pharmacien de substituer un générique au médicament qu'ils ont prescrit. Ils seraient de plus en plus nombreux à y recourir systématiquement. L'assurance-maladie va lancer une étude sur ce phénomène ;

 

 

Dans un rapport publié le 14 février, l'Académie de médecine s'inquiète, de son côté, des conséquences de la délocalisation massive de la production des matières premières des médicaments. Et émet cinq recommandations sur les génériques, dont celle d'"appliquer formellement les dispositions réglementaires de contrôle de qualité" et d'"appliquer les (mêmes) règles de la pharmacovigilance et de la pharmacoépidémiologie" qu'aux médicaments référents.

Comme le souligne ce rapport, les génériques ne sont pas des copies conformes de la spécialité de référence. Le principe actif est le même, mais couleur et présentation (gélule, comprimé...) peuvent différer, de même que les excipients. Pour être mis sur le marché, un générique doit simplement démontrer sa bioéquivalence (par des tests biologiques qui reflètent le comportement du produit dans l'organisme) avec la molécule princeps, avec une tolérance de + ou - 20 %. Un système qui, pour les autorités de santé, garantit que l'efficacité et la tolérance sont inchangées.

Pas si simple, selon les médecins. Globalement, les généralistes pointent des risques de confusion et d'erreur chez les personnes âgées qui prennent beaucoup de médicaments. D'autant que la marque de génériques délivrée par le pharmacien peut varier d'une fois à l'autre. "C'est une vraie difficulté, qui s'accroît depuis trois à quatre ans. On est aux antipodes des conditions qui permettent une bonne observance, et cela augmente les risques iatrogènes", observe Vincent Renard, président du Collège national des généralistes enseignants. De nouvelles dispositions réglementaires, qui permettent pour tout générique de copier l'apparence et la texture de son princeps, devraient résoudre en partie ce problème.

Des questions se posent aussi dans certaines familles thérapeutiques. Le cas des antiépileptiques, dont la marge thérapeutique est étroite, est emblématique. Des cas de déséquilibre de l'épilepsie après introduction d'un générique ont été rapportés, avec parfois des conséquences dramatiques sur le plan médical ou social.

Après une enquête de pharmacovigilance plutôt rassurante, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a cependant recommandé aux prescripteurs de bien informer le patient et de s'assurer que la prescription de génériques n'induit pas d'anxiété particulière.

Les neurologues préfèrent jouer la prudence. "Quand un épileptique va bien, je demande qu'on ne change pas la marque de son médicament. Je ne veux pas prendre de risques pour quelques centimes", souligne le docteur Arnaud Biraben (CHU de Rennes), en précisant qu'au Canada une enquête médico-économique a montré que le coût d'un traitement par antiépileptique générique était au final supérieur à celui du médicament de référence. Une telle étude se met en place en France. "Je ne suis pas sûr qu'il existe de grosses différences entre génériques et princeps, mais dans des pathologies où soit le taux sanguin du médicament est important, soit le psychisme joue un rôle prépondérant, un changement de marque peut déclencher des effets qui perturbent la vie des patients ", résume le neurologue.

Remy Gauzit, chef du service de réanimation de l'Hôtel-Dieu (Paris) a, lui, été alerté par une publication mettant en évidence une différence d'efficacité entre génériques et princeps d'antibiotiques dans un modèle animal. "Une revue de la littérature m'a permis de retrouver une quarantaine d'articles concernant les antibiotiques, qui montrent des différences à divers niveaux : impuretés, cinétique, activité in vivo ou chez l'animal..., ajoute-t-il. Il est difficile de savoir s'il y a des conséquences pour les patients, car il n'y a quasiment pas d'études chez l'homme, mais tout cela incite à renforcer les contrôles sur la fabrication."

De fait, en infectiologie comme dans la plupart des domaines thérapeutiques, peu d'études cliniques sont menées pour comparer les effets d'un médicament et de ses génériques, car ni pouvoirs publics ni industriels ne les financent.

Pour Antoine Sawaya (Afssaps), les génériques ne posent pas de problème particulier de conformité ni de pharmacovigilance. Il explique que l'agence mène des inspections (programmées) sur les sites de production et des analyses dans ses laboratoires comme pour tous les médicaments. Une partie des contrôles (qualité des matières premières...) repose toutefois sur des déclarations des fabricants eux-mêmes. Un système qui, dans certains dossiers de santé publique, a montré ses limites.

Source : Le Monde

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Published by sud-chu-caen
5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 18:50

 

 

 

 

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Published by sud-chu-caen
5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 18:45

 

 

 

 

 

ONI ruiné par sa banque

 

 

Source : Résilience

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Published by sud-chu-caen - dans Ordre Infirmier
5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 17:23

 

 

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À Sotteville-lès-Rouen comme à Rennes, les salariées des hôpitaux psychiatriques se battent pour que les patients bénéficient de conditions d’accueil dignes. Et il obtiennent des résultats.


Après trois jours de grève, les salariées du centre hospitalier du Rouvray (hôpital psychiatrique de Rouen) ont décidé de suspendre leur mouvement, certaines avancées ayant été obtenues.

Depuis le mois de décembre les actions se sont multipliées contre la « sur-occupation » des lits. L’hôpital étant sans cesse saturé, les malades sont accueillis en nombre croissant dans des conditions indignes (lits dans les couloirs, les bureaux…).

Le 21 février, le personnel se met en grève reconductible, un barrage filtrant très suivi bloque l’entrée de l’hôpital, provoquant des embouteillages massifs autour de l’établissement.

Après une entrevue infructueuse à l’Agence régionale de santé (ARS) le 22 février, le personnel organisé en comité de grève (syndiqués, non syndiqués) soutenu par les deux syndicats, CGT et CFDT, décide de durcir son action en bloquant le service des entrées (Unacor).

Ce durcissement a provoqué l’intervention du président du conseil de surveillance, affirmant son accord avec les revendications. Une négociation avec la direction permet alors de concrétiser des solutions immédiates par rapport à la sur-occupation (augmentation du nombre de places pour accueillir d’anciens patients dans une maison d’accueil spécialisée, réouverture provisoire de 20 lits dans une unité désaffectée).

Des perspectives sont ouvertes concernant l’hospitalisation des adolescents (élargissement de l’équipe mobile, perspective pour 2013 d’une unité de dix lits pour adolescents).

Sept places dans des appartements collectifs en ville seraient également créées.
Les grévistes ont souligné les limites de ces propositions qui ne résolvent pas les problèmes de fond. La crise de sur-­occupation des lits est en effet la conséquence de l’abandon progressif du travail de prévention et de soins hors hôpital, mis en place au cours des 40 dernières années par la psychiatrie publique, dans le cadre des centres médico-psychologiques, des hôpitaux de jour, des équipes de soins travaillant à domicile. Sur ce terrain, les négociations se sont heurtées à un mur.

De plus, les engagements de la direction doivent être confirmés par l’ARS jusqu’alors totalement fermée à la discussion.
Rendez-vous est donc pris pour le 13 mars, où une nouvelle assemblée générale constatera ou non les avancées effectives et décidera des suites à donner à la mobilisation.

Cette expérience de lutte, débouchant sur des avancées grâce à des formes d’action radicales a redonné confiance dans l’action collective, notamment pour de jeunes soignants dont c’était la première grève. D’autant plus que son organisation démocratique leur ont permis d’y trouver leur place. Un premier succès qui en appelle d’autres. 

À Rennes, une victoire retentissante


« Nous avons obtenu la réouverture de 27 lits, l’ouverture de 20 nouveaux et la création d’un hôpital de jour de 10 places ouvert 7 jours sur 7 » triomphait, à juste titre, Michel, responsable syndical de SUD de l’hôpital Guillaume-Régnier de Rennes.

Il aura fallu cinq jours de grève reconduite en assemblée générale, à l’initiative de l’intersyndicale CGT, CFDT, SUD. Malgré un froid vif, le piquet de grève bloquait symboliquement l’entrée jour et nuit. Cet hôpital a donc connu une lutte massive et nécessaire, face la situation scandaleuse d’accueil des patients dont certains dorment sur des matelas et d’autres sont déménagés plusieurs fois par jour. Le personnel réclamait l’ouverture de 60 lits... Le scandale a été révélé par une photo de SUD transmise au ministère et à la presse locale et nationale. Tous les secteurs se sont mobilisés. Ce matin, les services techniques sont même venus distribuer des tracts à 6 heures du matin. Beaucoup de jeunes salariés inconnus des syndicalistes ont participé activement à ce mouvement sans précédent.

Les patients se sont également déplacés, certains ont été interviewés par les médias, d’autres ont fait signer une pétition pour dénoncer leurs conditions d’hospitalisation. La grève a été massive, de très nombreux soutiens extérieurs, citoyens ou militants, sont venus rencontrer le piquet de grève.

Le vendredi soir devant l’ARS, frigorifiés, nous étions une centaine pour soutenir les négociateurs syndicaux face à la direction du CHSP et de l’ARS. Ils sont sortis victorieux, fiers d’avoir mené un combat exemplaire et d’avoir retrouver leur dignité de soignants.

Une hirondelle ne fait pas le printemps… mais cette même semaine à Rennes, les cheminots ont aussi débrayé pour défendre 300 postes ; les salariés de l’inspection du travail pour leur condition de travail, idem les archéologues, enseignants et parents d’élèves, les ouvriers d’Eifage ont gagné une augmentation de salaire…

 

Source : SUD CHS Blain

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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 10:34

 

 

Pour lire le N°3, cliquez sur l'image ci dessous

 

Solidaires et égales N°3

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Published by sud-chu-caen - dans Elles
1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 18:08

Les agents des services hospitaliers du CHU continuent de manifester aujourd'hui après le mouvement d'hier. Un « ras-le-bol » qui s'exprime sur le gazon de l'hôpital Paule-de-Viguier. Les ASH s'occupent du « bionettoyage » de l'hôpital. Une tâche d'importance puisqu'elle vise à garantir un environnement sain pour les malades. « En 2007, nous étions 65. Aujourd'hui, à surface égale, nous sommes moitié moins ». Le personnel entend protester contre une logique de privatisation qui toucherait la profession. Une tendance qui ne serait pas sans conséquence, créant un « décalage » sur la façon dont le travail est effectué. « En arrivant à l'hôpital, on nous a fait suivre des formations bien spécifiques au monde hospitalier. Rien ne nous dit que c'est le cas des employés du privé. On ne parle pas juste de passer la serpillière », confie Annick. À cela s'ajoute une dégradation des conditions de travail : « avant nous étions dans un collectif. Aujourd'hui, c'est fini. Les infirmiers et les aides-soignants ne sont pas venus nous soutenir, tout est sectorisé ». Marie-Line est entrée en poste il y a douze ans : « on avait déjà fait grève à l'époque pour des sous-effectifs, on nous avait écoutés. Mais aujourd'hui, on nous en demande de plus en plus. À un moment donné, ça coince ». Il se pourrait que ce moment soit arrivé, alors qu'on semble se diriger vers un mouvement durable.

 

Mais aussi à l'hôpital Guy-Thomas à Riom (Puy de Dôme) :

 

Mardi, suite à un important afflux de patients, le service des urgences de l'hôpital de Riom a dû improviser. Une situation inacceptable pour les agents. Réunis en assemblée générale ce mercredi matin, ils ont donc décidé de déposer un préavis de grève qui prendra effet à partir du mardi 6 mars à 7 heures. Ils réclament une mise en place de lits supplémentaires pour désencombrer le service des urgences et un renfort de personnels.

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Published by sud-chu-caen - dans Hôpital en lutte
29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 20:18

Manif 29 février (4)

Très faible mobilisation ce mercredi 29 février, en effet à l'appel der l'intersyndicale CGT - FSU - Solidaires - UNSA ce sont environ 1500 manifestant(e)s qui ont répondu présent.

 

Manif 29 février (6)

 

En cliquant sur l'image ci dessous vous retrouverez Résistances Caen

 

2012-02-29-001

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Published by sud-chu-caen - dans Un monde de luttes
29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 19:02

 

 

Pour lire le tract en PDF, cliquez dessus

 

8 mars 2012

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Published by sud-chu-caen - dans Elles

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